386
VOYAGE
soin dans les comparaisons diurn es le mou emenl
<l es montres, puisque, si la marche a
été
irréguli ere,
l'hypothese da ns laquelle est calcul ée la valeur de
z .
introduira certainement une erreur sur la nouvell e
marche. I1 est prucrent, avant d 'employer les marches
ainsi calcnl ées , de les éprou ver pendant plusi eurs
joms, en comparant leur différence deux
a
c.l eux
a
la
difTérence d es comparaisons diurnes corre pondante
de deux jours consécutifs. Si la différence des marches
deux
a
deux n'est pa s reproduite dans la différen ce
de deux comparaisons consécutives, autant que le
comporte l'exactitud e de celles-ci, il faut rejeter ces
marches, ou du moins celle qui est affec tée de l'e rre u1·
qu e l'on vieut de déco uvrir. Si les aut1'es marches sont
reco nnues boones, on déduira par cornparaison cell e
qui a été trou vée en défaut.
Ceue épreu ve toutefois es t loin d'e lre
~onclu an te,
pnisqu'il peut arriver que les marches calculées aient
la meme différence entre elles que les marche réell es,
saos etre égales
a
cell es-ci.
Daos les memes circonsta nces, l'expression du
chao geme-n t de march e, en snp posa nt l' uniformité d
1
h
.
2e
a marc e moyenne, sera 1t
z
= -
.
n'
de l'équation (b)
e= zn.
2
aleu rqu e l' on Lir
Les formules d e
il
l.
les capita in e de F re cin
t
e t
Duperre , pour .obteuir la aleur de l'in coooue
z,
sont fon<lées · ur cett e derni ere hypo th e ; et ll e de
M. <l e re cin et qu oiqu e déd uile de con id é rati on