DE LA BONITE.
389
pendant la campagne ont été conigées dans l'hypo–
these de la marche diurn e progressive. Au commen–
cement, n'ayant pas de plan arreté, nous avons du
adopter de préférence l'l1ypothese qui offre le plus de
chance de probabilité, et nous en avons continu é l'ap–
plication jusqu'a la .fin, quoiqueplus tard nous ayons
été conduit a penser qu'on ne doit pas en faire un
systemeexclusif; car ce n'es t guere qu'a la fin d'une
campagne, lorsque Je plan général des opérations est
bien arre té et que le mouvement général des montres
es t connu, lorsqu'o n peut apprécier par l' é tude des
comparaisons diurnes le <legré de régularit é de ce
mouvement, et faire un choix éclairé des mesures qui
doivent, sui va nt le cas, concourir a déterminer une
Jongitude;c'es t seul ement alors qu'il est possible d 'é–
purer tout le Lravail, et de luí do nnel"le <l egré de pré–
c isi o n auquel il peut raisounabl ement prétendre.
JI.
PRÉCIS DES OPÉRATIONS.
Apres avoir ainsi exposé le mode de calcul dont
nous uous sommes servi, il reste a parler du plan
géoéral des opérations.
·
To utes les longitude appartiennent ·a trois grandes
chai ne
chronométriques : la premiere, partant de
Tou lon, finit
a
Callao; la de uxieme va de Callao a
Man ill e, et la troisieme de Manille a Bourbon.
Les résulta ts des
mo n~res
o nt e u avec les longi–
tudes fi xées précédernment un acco rd assez é troit
pour nous permettre de ne pas interrompre plu s so u-