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OYAGE
e nt la s uite d
no mestll'e chronom ' triques, e l d 'e n
forn1cr une chaine continue entre les points qu e n u
v nons de nommer .
Dans cbacun e d e ces chai nes, c'est de l'ex trém ité
la plus rnpprnch ée qu e nous fai ons d épend re no
s lations intermédiai1·es : ainsi, le
lali ons depui
Toulon jusqu'a la cote orientale d 'Améri que dépen–
d ent d e Toulon; cell es de la cole occidentale d' m ' -
1·ique, au Sud e t au Nord de
allao, <lépendenl de Ja
lo ngitude assi gnée
a
Callao par M. de Humboldt, et
les stations aux il es Sandwich, s itu ées
a
égal e di -
lan ce des de ux ex trémil '
d e la chaine, Manille e l
Ca ll ao, d épende nt
a
la fois de ce deux positioo ,
c'est-a-dire que leur longilud e résulte de lamo enne
de mesures cbronomé triques comp tées de ces deux
points de d épart.
Quant
a
cell es si tu ées en tre Manille e t Bourb n ,
ll e sont to ut es mesuré s d epuis Mani ll e;
1
s longi–
tude
in lermédiaires résu lt ant de no me ure onl
é té assez pre de cell es qui sont le mieu déLermi née
p o ur nou permeltre de con er e r
a
Bourbon Ja Jon–
gitude donn ée par le montre .
Dan
ce cadre imrnen e, nou
n'a on
pu fix r
qu'un pelit nombre de Lalion , sou ent tr ' s-éloi–
gn 'e
les unes de
aulr s. Il eut done é té impor–
tant de faire concourir, a ec le mes ure
chrono–
métt·ique , de ob er ation
indépendantes. Les di -
lance
lunaires nou
offraieot un mo en emplo
'
a ec
ucc '
par quelque -un
d
no d
anc1
1·
mat n u
a on
r
onnu d e no
pr rn1er
e
a1