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DE LA BO ITE.

30 l

que les lrois cercles d e l'expédition é tai e nt impt'op l'es

a

cette es pece d 'observation: il arrivait en effet qu 'e n

renv e rsant l'instrument, le p oids d es ven es et d e

leur monture fai sait fléchir l'a lidade, en sor te qu e le

parallélisme <l es miroirs é tait détruit. Nous n' h é–

sit o ns pas

~

dire que nous préférons le sexlant pour

les obset'vations de distances lunail'es .

D' un autre coté, comment aurions-nou s pu , seul

observateur pendant la courte durée de r e]ach es Ja–

borieuses, amasser assez d e matériaux, accumul e1·

par centaines, distances orientales et distances occi–

d entales, pour offrir un faisceau comparable

a

celui

des observations d e

La Thétis?

Puisque la réunion d ' une si gran d e masse de don–

nées es t une condition indispensable, ne peut-on

pas tirer d e la un argument contre la m é tbode d es

disLances?

·

Ce n'est pas

a

nous qu'il appartient de juger Jamé–

thode d es culminations lunaires de M. Baily; nous

dirons seul emen t qu'elle a é té empl oyée avec succes

par le capitaine B_eechey dans la campagne du

BLos–

som,

et plus r écemment par Je meme capitaine aux

cotes occidentales d'Amérique. Si les. culminati ons

son t presque aussi fréquentes que les distances, si

l'observation est facile, si Je caleu l est facile, p ou r–

quoi n'en ferait·on pas u sage concuremment avec les

di s tan ces e t ]es mes ures cbronomé triques ?

No us n'avons pas eu

a

nous occuper sérieusement

des obsel'vations d es satellites d e

J

upiter; on

sa i~

q u'el–

les ne comport ent pas une grande précision .Quan t au x