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D E M A R C HA. N D.
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pour ceux que I:.E SOLIDE avoit rencontrés hors de la.
meme Zone du coté du Nord : c'est
a
la suite de l'Été
de l'Hémisphere Austral que ceux du Sud se trouvoient
en dehors de la li:mite.
Mais
¡
le
9 Mai,
a
vue de la TERRE DE NATAL,
dans le Parage du Cap' de BoNNE - EsPÉRANCE, on
n'apercevoit plus
~ucun
Oiscau des Mers chaudes; les•
airs n'étoi.ent pius peuplés que d'
Albatros,
de
Pétrels,
bruns, d'Alcyons
qui se montroient en- grand nombre;
et les
Damiers
commcn~oient
a
se faire remarquer.
L a violence d'un coup de v&nt que LE SOLIDE essuya
le
1
o,
et la furie d'un.e meP d émontée, ne dissrperen ti
point son escorte aérienne.
LE
1
3 '
a
en.viron
70
lieues dap s f'Est du· Cap DES
AIG
UILLES , on vit p,our la
premi~re
fois un
MAN–
~HES-DE-
LOU RS : cette
E
pece
d'oi:s~au
st cqmmune
dans les Parag
isi
e.et1
Ca
BoNNE–
EsPÉRANCE
BUFFO
taincs ou
in¿o~ii'é;:dO'ñi
dications.
«
Les MA CHES - DE - VET.OURS
[ les
Mangas
de
Veludo
des Porcugais] sembleroien t , dit -
il,
suivant les
dimensio ns ec les C aracter\'s que leur donnent les uns
,_
Atre des
P tlirnns
¡
et 1 suivant d'autres indications, il?'
offrcnt plu s de rapport avec le
Cormoran
».
A
n juger par quelques indications qui se trouvent
dan s
I'
flistoire gt11éralt des· Voyagrs,
et dans le
Voyage–
d~
Si11m
par le P. TACHAR D
,
le nom que porte cet
ois au lui a été donné, selon les
uns,
parce que son.
plumage est uni comme du
elours
~
sdon d'autres
,
par e
ue
la
pointe de ses ail s ese d'uo noir velouté,.
3
1 0~
1
¡.
MAl<CHES•11E·
\'ELOU~,
I'