D E M A R C H A N D.
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drux cornes
a
la tete, comme le
Limafon :
on trouve
que!quefois cet insccte sur les ri.vages de la mer '"
1792.
Juillet.
EN
R
EMONTANT vers le Nord, pour parvenir
a
la du
1
5
au
z
5.
hauteur du DÉTROIT DE GIBRALTAR, LE SOLIDE
rencontroit que!ques-unes de ces
Tortues
errantes, ou
égarées, que des circonstances particu!ieres ont portées
hors des Parages
0
que la Nature semble avoir affectés
a
cette E spece d'Amphibie.
On en rencontra une le
15
J
ui!!et, par
36
degrés
de Latitude Nord ,
et
46
degrés et demi
it
l'Ouest
de PARIS:
·
Une autre, le
22,
par 41 deg.
f
N.
et
37.º
O.
Deux autres, le 2
5 ,
par 41 deg,
t
N. et 27 deg.
f
Ouest.
O n avoit pris, dans l'interval!e,
l'on n'avoit
LE r
.cr
A
Aoút.
VINCENT,op
'·
mer, que leur gravité
spécifiqu~
moipdre que cdle de
l'eau fait remonter
a
la su rface, et qui' bal!oués en tous
sens par le mouvcment des vagues , et se réunissant et
s'cmmelant avec d'autrcs plantes flottantes qui se rencon–
trent sur la direction qu ils suivent, finissent par former
quelquefois des plateaux si étendus, que , de loin, i!s
présentent l'apparence de petites iles de niveau avec la
surface des eaux et entierement couvertes de verdure.
( Voyez
ci -
devant page 28 3
,
l'Art.
G oémon
,
et
pages
1s8 a
t 62, ce qui ese dit des grands
Fucus.
)
LACE1
s.