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D E M A R C H
Á
N D.
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située en dessous, et élorgnée d'énviron · uh pied ' de
I'extrémité du museau, en sorte qti'.il pousse sa proie
devant
lui
' pour se disposer
a
la s-aisit ; . cette meme
position de
la
gueule l'oblige
a·
se tourner de 'coté
pour la happer , et par la souvent il lui donne •le
terhps de s'échapper , quoiqu'il • la poursµíve ávec
tant
1
d'ardeur et de rapidité, que quelquefois son élan·
le fait lui-meme échouer sur le rivage
1
•
C'est ordinai–
rement dans les temps calmes , lorsque le; eaux· pré–
sentent une surface unie, qµe les Requins s'e montrent
.' On
a vu cians la Relation du Voyage de
Marc/µwd,
avec que!le sécurité quelques fosulaires du
GRAND -
9cÉ~N
nagent pelecmele avec ces Tigres de la Mer; avec quc!Je intré-
,
•
¡
pidité l'Américain et e egre osent les, atta uer, et avec que!le
adresse ils en
hent (Tome
,cr
page
1
3 .
e)
1t
des
·ker¡uius
ui se
~rouvent
1 '11
'R':/Jgue
en
1
~
e
e ranct
,
fa
m r
it
l<.1c
p
emi'ere
de ces ifes,
rsque naus ét ons.
0
Lgé~
8 . mal' her en
pechant, nous,
eus
ommes souvent vus envir.onnés de grandes
troupes de
Requins.,
parn¡i lesquels. il
y
en avoit des. plus gros
qui ne nOUS
Ont
jamais
attaqu~s.
J'ai
VU
cent fois
a
J'!le
de
Fran~
une grande mente de c;hiens -poursuivant un Cerf
a
Ja
nagc dans la mer
/
et da¡¡s les enc\roits 011
se
tro ,y¡ent h,eau–
coup de
Requíns,
sans qu'if ieur auivat jamais auci:.2-
p¡~cident,
non plus qu'ª
no~s
q_ui nous baignions fréquem1rnmt.. le laisfe
a
juger au
Lecte~r
si cet animal est awsi vorace qu'on nous
le dit ; ou si les
Rer¡uí11s
de ces Mers soot d'une nat.ure diffé–
rente a·es amres. . • . . . Ce poisson
á
cÓmmun~ment quin~e
o'u.
seize pieds de long. (
V~ag;
et
Avenwres
d~
Fr.
Leguár.
Londr.es,sans date [ 1.707,
a
l'Épi.tre dédi.catoire] Tome
J:.cr,
page.
1
:i.
1, }
.
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e
>
179
r:
Janvier.
REQUIN,
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