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1
3.
IJ,UEINES.
Peche
e1
Produit.
8
VOYAGE
furent en outre índemnísés des pertes qu'ils avoíent
pu essuyer précédemment' et jouirent en merye t emps
d'une exemption géné rale de tous Droits sur les obj ets
d'Équipemen t et d'Approvisíonnement; et les Matel ots
qui se roient employés dans les E xpédíríons furent dé–
cl arés exempts de la
P resse .
Enfin, en
1779,
le Par–
lement , dans la vue d'exci ter encore plus les efforts
des Armateurs et des Actionnaires, accorda une prime
aux cinq N avi res qui apporteroient une plus grande
quantité d 'hu il e de
B aleíne :
savoir, cinq cents livres
stcrling ( plus de
12.1
000
tt.]
a
celui qui en auroit
le plus ; quatre cent s
livres au second; trois cents
livres au. troísieme ; deux cents livres au q11atri eme ;
cent livres au cinquieme. En calculant tou s les avan–
tagcs que l'ANGLETERRE a faits
a
ceux qui s'intéressen t
da1s a
Ba eine ,
il résulte qu e l'État paie
un
t
cette Pech e : maii
a
a le
1'
a
e
a reconnu que,
i0yaume Je double
mm
o
1
t a ger des matiercs
qu
1
usa e
<
ui
fai
des besoins, a rendu es d'un e néces–
si~é
ind ispensab le : d 'ai ll eurs ,
n ANGLETER RE , on
ompte pour beaucoup, on compre pour tout, de donn er
la plus grande activité au Commerce et
a
la Marine
qu'il alimen te, et toutc l'extension possibJe
a
la Navi–
gation, et su r-tout
a
la grande Navigation ou s'éleve
cette innombrable pépiniere de Matelots qui, endurc is
de longue main
a
la fatigue et aux dangers' et verséi
en suite sur les V aisseaux de l'État, ces C itadel lcs. flot–
tantrs de la GRANDE-BRETAGNE , assurent a la fois
~ a
puissance et sa
liben~·.
Les Hollandais, situé3 avanlageusemen t pour la P cch