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DE MAR C H 'A N D. ,,
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~>
Je n'ai pas ou'i dire qu-'il se reñcontre de ces oiseaux
dans d'autres iles qu'a la:
GUADELOUPE
et
a
la
DüMI–
NIQUE,
ou
¡¡;
vienne¡¡t en certains temps· de l'an.née,
17 9 1.
Fevrier.
)·
s'accoupler, pondre
et'
élever leurs
Peti~s.
La morltagr:i e
PÉTJ\ELs.
,de
LA SOUFFRIERE ,
et sur-tout celle qu'on appelle la
Le
Dubl.e.
montagne
DES ÜIS.EAUX,
dans
la
p'remjere de ces Iles, •
semblent etre pour enx des points de rendez - vous :
cette derniere moqtagne est pe;cée par les
Díables.comn.1e
une garenne par les
Lapins.
1
,, lis commencent a paroitre yers la fin du mois de
Septembre : on les trouve alors deux a deux dans chaque
trou, Ils demeur.ent ainsi
jusqu~a
la fin de Novembre;
apres quoi ils disparoissent,
e5
on n'en voit irt n'en
entend aucun jusque vers le milieu du mois de :Janvier;
qu'ils se montrent de nouveau. Pour Iors on n'en, trouve
plus qu'pn , ou qu' une, dans chaq e rou , jusqu'au
mois d'e Mars qu on
t ¡;
N-
la n e e a ec
n 'I?e
It'fi.
Quand on pr.end l
Día l s
a cetre ' p,oq1
so11t couverts d'un
.----
des
Gísons :
ce
}t
des
l'etons
ae:
ra·
SS
e·
cet état on les a elle des
Cot ons,
Vers la fin e ai ,
ils sont assez forts pour yoler : aussi est - ce le temps
ou ils s'en retournent
~
et j'usqu'a la fin de Septembre ,
on cesse entíercment· de les voir et de les cntendre ' .
.
' " Je crois, dit
Labat,
que ces oiseaux vont a
la
Vfrg.it~i'e
.et dans les pays voisins , p(;lndant que nous ne les voyons poin t
aux íles; car j'ai lu une Relation de .ce ·p.ays-la qui fait. la
Descrip¡ion d'un
Oiseau de pa¡sage
qui s'y
trouv~
pepuis.
le
mois de Mai jusqn'en Septembre, et qt¡.i est tout-a-fai t sem-
'
.
.
blable
a
nos
Diables.
,,
On
n~
cons:oit pas trop
~omment
des ·oiseaux qui ne voi.ent
~