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1791.
F
évricr.
P ÉTRELS.
1-e Pulli r,
186
V O Y
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de la Pointe Sud de l'!le de .MAN , appelée par les
Anglais THE CALF OF MAN
[Le Veau de Man
J :
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arrivent en foule au Printemps, et comn;encent par
faire la guerre aux
LapÍn9
qui en sont les seuls habi–
tans; ils les chassent de leurs trous pour
s'y
ni eher.
Leur ponte est de déux reufs dont' l'un, dit-on, teste
prdi.,airen1ent infécond; mais Wn,LUGHBY ( Naturaliste
anglais) assure positivement qu'ils ne pondent qu'un
seul reuf. Des que le Petit est éclos ., la mere du
Puffin
(a
laquelle on pourroit cornparer nos femmes de peine
de la campagne, qui 'aban don nen¡ I'eur nourrisson pen–
d¡¡ nt le jour) le quitte de grand maün pour ne revenir
que le soir; et c'est pendant la nuit qu'elle le nourrit,
en le gorgeant , par intervalles , de
la substance
du
p oisson qu;elle peche'
0
tout le jour'
a
la .mer: l'aliment
a
denn clig re da s son estomac se convertit en une
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II paroit (¡ue
Espece
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P etrel Puffin
n'est pas
uniquement attachée au climat de notre Pole, mais qu'elle
est cómmune
a.·
toutes les M ers; car, suivant BUFFON,
k
on peut la reconnoltre dans quelque
Pétrel
des ifes de
r'AMÉRIQUE' et dans
l'ArtenJia
c!u '
.GoLFE'.
ADRIA–
T!QUE; en sorce qu'elle paroit fréquenter également
l~s
différentes Plages de {'ÜCÉAN et celles de la MÉDI-
TER RANÉE.
•
Le
Fulmar.
UN
autre Pétrel, IeFULMAR, est regardé par BuFFON
•
comme étant d'une Espece tres-voisine de la précédente:
elles ne different erare elles, dit-il , ' qu'en ce que ce
P étrel Fulmar
a
le plumage d'un gris - blanc sur le