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D E M AR C HAN D.
189
tuent ces
Pétnls,
un
a
un,
a
cóups de baton , sans
que le reste de la troupe désempare.
»
On trouve ces
Pétrels Cendrés
depuis lo soixante–
<leuxieme <legré de
Latitud~
Nord , jusque
~ers
le.
quatre - vingtieme : ils volent c;ntre les glac,'s de ces–
parages; et lorsqu'on les voit fuir de
fa
pleine mer pour
chercher un abri, c'est
(
dit-fJn),
comme dans
I'Oiseau
des Tempétes,
un in.dice pour les Nav,igateurs. que l'orage
cst prQ€-hain.
»
'
UN AUTRE
Pétrel
dont l'Espece parolt etre patti–
culiere au
BRÉ-SIL,
le
PÉTREL BRASII.IÉN (
N.
º
14
de
la Li-ste) , nommé
MAJAGUÉ
par les Naturels du pays,
a élé décrit par
PISON ' :
ce
11
_est, dit-il·, de la taille)
de
I'Oie;
mais son beca pointe crochue lui sert
a
faire
capture de
poisso.ns;il
a a tete arrondie , l'reil bril–
lant ; son co se courbe avec
g~ace
co
~
celui dª n
Cygne;
les p um s
e¡¡-ant de c
tt
par1'i sont ·au-
natres; le reste
1
age es <fun b n
rn'0'ratr. •
Cet
oiseau nage
érob
facil ement au
.bouchu're des e-uve.
que cette
der~iere
cirnonstance , si elle étoit constante , foroit
douter que cet oiseau fi'tt du nombre des
Pétrels
qui
tou s ,affectent de s'éloigner des cotes et de se porter er
haute mer. Ne pourroit-on pas ajouter
a
cette observa–
tion , que la faculté et ·l' habitude de
pkmget
ne paroissent
pas
~on
plus appartenir
a
un
P étrel
!
'
QU E L QUE
s Ornithologistes ont classé parmi les
Pétrels
Fóiseau connu aux iles du Venf de
l'AMÉRIQUE
'
Hi.rt.Nat. Brasilitf.
-
Scilicer Guill. Pisonis de Medicina,
ti
G.
Marcgra11ii de Lielmad, Hi;t,
rerum
Nar.,
trc.
179 ,r.
Février.
3·
PÉTRELS.
Le Cendré,
Le Brasilíe11,
le
Diable ou
Diablotin.
)