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V O Y
A G
E
179
r.
MARTIN dit que cet oiseau est de la grosseur d'une
Février.
CorneiLLe )
.
et
e
L
u s
I
u s
lui trouve dans le port et
3·
dans la figure quelque chose
d~
Faucon :
son bec, for-
PÉTRELs.
tement articulé , et tres - crochu;
ce
est, en effet , dit
Le
Cendré.
BUFFON,
un bec de proie; le cro'c de la parlie supé–
rieure et la gouttiere tronquée qui
termin~
l'inférieure,
sont d'une couleur j¡unatrs, et le reste du bec, avec
les deux tuyaux des narines, sont noiratres dans l'indi-
idu mort; m¡¡is on assure que le bec est rouge par-tout,
ainsi que les pieds; dans l'oiseau viv:ant : le plumage du
corps est d'un
blanc~cendré;
le manteau est d'un cendré–
bleu, et les pennes de l'aile sont d'urf bleu - foncé et
presque noir : . les pi umes sont tres-serréés, tres-four–
nies, et garnies en dessous d'un duvet épais et fin' dont
la'
peau du corps est par-tout revetu : . ))
( Dans -Ie
N
RO , dit-
il
ailleurs' on s'accorde
a
donq r le nom d
Hajf'Jrl.
ou
v-Hest
[
Cheval
de.
c'est, selon Po
N
To
P -
d um s n semblable au
en
ó
geant,
il
n es
pas-a~rs-e'-de
.concev-0ir con1n1ent
un oiseau qui
nage fait le bruit d'un
Clzeval
qui trotte; et .n'est-ce pas
plutot
' á.
cause de la course du
Petrel
sur l'eau, qu'on
luí aura donné cette dénomination
!
L e meme Auteur
ajoute que ces oiseaux ne manquent pas de suivre les
bateaux qui vont
a
la peche des
Chiens-de-Mer,
pour
attendre que les Pecheurs jettent les entrailles de ces
animaux : iI dit qu'ils s'acharnent sur les
'Baleines
martes
ou blessées, des qu'elles
surn~gent;
et que les Pecheurs
"'
Hist, Nat.
d~
Narwé!J!.
l
1