Table of Contents Table of Contents
Previous Page  29 / 300 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 29 / 300 Next Page
Page Background

'VERS r.E

Por.l!

nu

Sun·.

~t

'des

moyensde me

fes

f~ire

fürmonter.

Je m,.ap-–

perc;us enfuite

que

le

Capitaine

de mon

vaif–

feau ,

qui

me fuivit

de p

es

au Cap , étoit

peu

porté

a

ce

que

je l'entrepriíie : il

m'al–

légua

des

raifons

de

fervice

qu'un

malheureux

hafard

pouvoit

rendre

poffibles ;

la

forme

ri..

guliere

de

la

difcip1ine

l'emporta

fur

les nou–

velles connoiífances que je pouvois acquérir,

&

je

prévis avec

douleur

l'incertirnde

de celles

que

je pourrois prendre

pendant

le

cours de

ce

voyage. Un Marin , attaché par fon

état

a

bord

de fon vaiffeau , ne peut

qn'entrevoir

les chafes qu'un homme féjournant

a

terre

peut

voir

dans

leur entier.

11

arriva au

Cap ,

quelques

jours

apres ,

deux

vieillards

qui étoient les principaux de

cette partie

de la Nation

ottentote

qui

vit

fur

le terrein des ollando·s. Ils amenoient

quelques vache

pour

en faire

réfent

a

la

e

m

agnie '

&

il eíl:

d'ufage

qu'a

fon

tour

elle

leur

en

faífe

un .,

qui

e

nfiíl:e

en

erles

fauíTe

-renats

au

res m r han

if

s

de

traite.

Ces

H ottentot

ne

Y

ulur

nt

p int ha–

biter dan l

jl

e

&

fui\

n t

leur

ufage ,

il

cam

s

nt

s.

ur ce ui eft

d

s

autres ottc 1-ors

li fe

font et' és

dans.

les

t

rr

s

,

que les I

landois nommen

111