V E R
S
t.
E
p
O L E D U
S
U D.
:2
$.
fonnes que
J.
e ne pouvois foupronner de
Fa~tíferé
d'u
~
rabh.:r des
n'
"tre
point infiruites ,
m'
ont
affuré la
fa
uf-
Hom:nror~.
f eté
du
tablier
que l'on
p1..
~te
aux
femmes
Hottento tes. Suivam ce
que j'ai
pu
induire
des relations que l'on m'a faites,
de
la céré-
rnonie d mjner
fur
les
é
aules des nouveaux
hommes
,
de
l'ornemem dom les hommes
parent
l
ur nudité,
&
e !'extreme
fujétion
des
fe
1mes,
il
m'a aru
qu e ce euple avoit
-a
grand honneur
le
f
exe , l'age
&
les qualités
iril
s.
eta aífure en effet l
ur
d
'f
enfe
&
leur
propaganon.
Les
ttentots Caffres n él event que des
r u eaux,
&
n
~
nt
oint u ti ateurs; les
b
ufs
l
ur
fen
em e monture.
Ils
n'ont
i
1t
e entes ·
ils 1
a
!cent
es
h:.
ttes
faites
avec des
j
ncs u a e des
~
ils ne
f
t
fas
fi
rrans
que
1
s
ta
1
lu
[
r ile
d
l
ns
r
s-ntes '
la
r
-
urs arru ,.,