1!
T C U R I E U S E S.
Í
t:)7
point
de
pelliculc.
De
l a
hase
de
ce callee
naissen t dcux petites pellicules d'un rouge
fort
vif '
de la meme fig ure que
les
feuilles
du calice
J
mais beaucoup . plus petites,
n ' ayant au - pl us qu'une demi-ligne d.e lon–
guenr. La dispositiou de tous ces calices est
singulic•re en ce qu'ils ont ton s
la
i)ointe
tournée contrc terre. Ces calices sont dispo–
sés en rond autour des extremiLés de quel–
ques ,brtmch s , éloignées les unes des autres
d'environ deu.
lignes
J
au nombre quelqne–
foi s de deux ou trois cens, ce qui forme des
especes de queues "hérissées.
Chaque calice renferme t1n embryon
de
grainc qui devient dans la suite une semence
Iongu tte , d'on hrun foncé ou noiratre ·,
c_11ndri que ,
long e d'el)viron une derni- '
ligne sur un qua rt de
li;ne
de diametre .
2 .
o
Le 1émoire ne marq ue point com–
m ent on D ut con , ·t1tr . si. l'infu ion des cen–
dres de
n'ayuurivi
Pst
lro
p ou trop pe u char–
gé ;
c'cst. ce qu'on connaitra par les expé–
ri ences suivantes.
Sur
une cui1lerée ou envi–
r on de cettc infu sicn , on lais.:e tomber
q uclques gontLcs d'huilc de
sésmne :
melez..:.
l es
nsemb1e avec le dojgt ; si l'eau est lrop
chargée des scls de la plante, elle prendra une
cou1 eur jaunatre; si elle l'es t trop peu, l'huile
n e se mélera pas hien et surnagera en partie.
~LlH Tid
l'infusion CS t te1Je qu'elJe doit etre,
elle devi ent blanche comme du lait :
d'ou
il s'ensuit qu e si l 'infusion est tr'op fa ible _,
il
faut
y
ajoutc r des cendres; si elle est trop
.
l 3