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LE'tTRES toiFIANTES
de l'autre ne soit pas absolument la meme.
6.
o
Voici enoore une ohservation
qui
con–
firme ce rapport de la soude et du
nayou–
rilli:
c
'e.stque le levain dont
il
est parlé dans
le
l\1.émoire, qui · n'est autr:e chose que
de
l'huile de
sésame'
melée avec l'infusion gar–
dée quelque temps; ce levain, dis-je, étant
conservé avec soin , se
fige
enfin , et
d~vient
dur; et alors il
est,
di t-on, excellen!.
Il
est
aisé de voir par-la que l'.huile de
sésanw
,
avec
la
plante
nayourivi
,
forme un savon
fort ressemblant en lout a celui qui résulte
du
mélange du sel .de sonde et de l'huile
d'o'live.
Il
n'est guere douteux;
ce
semble,
que
l'un ne puisse suppléer a l'antre sans
inconvénient, pou
r
ne pas dire ave
e
avantage ~
7.
o
Les expériences
qu
i ontété fa· tes sur
l'
ea
u
qui
s~rt
aux Teinturiers
lndie~s,
o'nt donné
occasion au Frere
du
Cl~oisel
d'en faire /
d'autres sur le meme sujet. Je les rapportcrai,.
<lans- la persuasion· qu'elles pourront
faire
plaisir
et
etre utiles . .
«
Cette eau
a un
gout insipide et dégoú–
)>
tant , qui m'a fait croire qu'elle ét é-i_Ít
)>
chargée de quelque
partie de nitre.
L'expé–
>>
riencc m'en
a
convaincu : puisqu'ayant
>>
fait disso.udre , .dans
huit onces
d'e:m ordi–
»
naire _, un
d~n~i-gros
de
nitre,
je
]ui ai
»
trouvé en pat'tie le
50 ttt
de
celle-ci' :
e~
)) qui ' n'est point arrivé a
difféq~ns autre~
>>
seis miriéraux
que .
j'ai
fait
pareillement
· >>
dissoudre. Cettc ea u est
un
pen plus
l~gen~
)) que
c.elle
q
u_'
on
boit
a
Poadic~ery.
Elle