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E T C U R I
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U S E S.
I
OJ
plier en plasieurs d oubles, et de la
frap–
per
fortement sur une pierre
~
avcc le
méme
mouvement que font les serru riers et
l<1s
maréchaux, en frapp ant de leurs gros mar–
teaux le
fer
sur l'endume.
Quand la toile esrsunlsamrnent battue e11
un sens, on la h at dans un autre et de
la
meme
fa~on
: vingt ou trente coups suffise nt.
pour l'opération préscnte. Quan d cela est
fin i , on trcmpe la íoile dans du
canj e
de- –
riz. Le mi eux serai t, si l'on en avait la com–
modité , de prcnd re du
k evarou
,
de le
hroyer, de le meltre sur l e fe u avec d e
r
ea u ,
comme
si
on voulnit le faire cuire , e t ;:¡van t
que cette eau soit fort épaisse ,
y
trernper la
t oile, la retirer aussilót, la faire séeher ,
et la b attre avec le
cottaoóulli
:
comme on
a fait dans l a premiere' opération pour la
lisse r. •
.
Comme le bleu ne se peint pas avec tm
pi neea u, mais qu'il s'applique en tl'<'mpant la
toile d ans d e l'iudigo p·réparé ,
iJ
fau t pein–
d re ou endu ire
b
toile de cire généralemen t
' p::lr-tout ,_ excepté
a'ux
endroits ou il
y
a du
noir , et
a
ceux ou il doit
y
avoir du bleu
ou du vert. Cette cire se peint avec un pin –
ceau de fer, le plus légerement qu'on peut..
d'un seul coté' prenant bien garde qu' il ne
r es te sans cire' que
les
endroits crue j'ai
di
t ;
aulrement ce serait aut::Jnt de
tach es
bl eu es ,
qu~on
ne pourrait-pas effacer. CeJa
étant fait, on expose au soleil la toile cirée
de
la sorte ; mais il faut
etre
tres-attentif
a
E
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