190
~
1
Ij
~Hand
oh
riotiñe
ala
perfonne
me~l1e
ce 'qtie ron a
a .
luí dire,;
~
domicile, lQrCqlle l'huJÍúel:,Ce tranfport,e
au domícile de la pel'Íonne
"P0Hr
y
nouñer ce dont
1,1
.s'agi
t .-
V
9,'Y
C{
AJOU,R
~MEN'J:, EXPLOI~ ~
Hur'SSIER ,
PROCUREUR, SERGENT.:;(A)f
, {.
,
SIGNIFlER, v. aéb.
(Gramfn.. )
,marquer, defigner,
_~i:reJ~ 'figne~
Que
jig,yfi,e.(¡,e
p~opos,. c~ ge_~e,
cette
_coadu,i:te:?-- ::rGlutes (es p.rOtdlatlbnS ne
jignffient
1'1en'.
Faites-lui
jignijier
vos demandes.
VoyC{
t'
artleü
SI
GNI-
FJ
CA
TLOft.
,~":,
" )', -
_.
Sj(;¡g[.!fO,M
OPl1.S,
(Archit.
rO~l~)
..c'eíl:
du
,ci~
"ment fait de cbaux
&
dé'bri'<ques pilees.
~e ,mortie~
,
,étoj! ?in·fi appell& a cauCe
,dll~,pays de~ Sirle~s
,
O~I
.f~ er~n0ient
les
meilleure~
bn,qu,es
l~o'-~r
e
Clmen~.
,Vitn~ve ef1t~nd
qRelqUefOlS neanmoms par'
~e
:fi.gm–num
tonte orte
ck
m,Órtiú;
&
'en partleuher ,
l~ ·rP~rtie.r .
fait ele
'c~u_x
" de. fable
&
de gros cail–
(loutX"
m&Í-é-s,.(m(e~1ble
,.cloñt
~n fonnoit,~es eiterne~.
'{D.J.,)-
'
_ .' .. -
'< •
SrGTUN
A
(Géagr. ,,,-oJ.)
on'écrit'auffi
,Sic1,;Jza,
:Sig~1lI2¡a~; Sigl~nc.; .
vllleíde: S.,uede dans
'l~Uplande~
{ur le bord du lae Maler; entre Up[al
&
Stockolm.
Elt~ ~ft
tres-ancienne,
&
Jean Magnus erolt que Sig–
.gon
V,
rQi:jde
Su,~de,
la
f-it,
batir
l~our
,oppofer
~tne
·bar.1<iere aux cour[es -dSlS FmlanqOJs, aCcolltumes
a
•
Ye~r 'r~váge_r
la Sueele.
'
;:'SIGYENZA
Olt
SIGlJEN~A,
(Géog.
mod.)
en la–
ti!1.
SeglLnti~i.
apcienne. petite ville
d'E(p~9ne, ~ans
la vieille Caf!ille, fm une hautettr
,.CU1
pie du mont
.-A,!ieRsa.,
pt~std~1
Henares.
E~le
eft:
défendu~
par une
·
~n~~~nt~.de
ln.tl~ailtes,
l1l1_chateall
&
un arfeoaJ. Son
é~c;Jlé
qui e!J; fuffragant de
Toled~
,
v~ut
tre?te a
~qll.ara_nt.e
mille duc!lts de,
rev~nu.
Son unlver fite, au–
jourcPhui fi miférable;a été fondée en
1600}
fous le
_regne
d~ ,Ferdinand
V.
Long.
'd.
1+
Lalle.
4
1•
7.
,(D.f.)
_'
.
SIGUETTE ,- f: f. .(
Ma¿ze,ge.
)
e'eíl:
un
caveífon
~
u ne efpeee de
demi-cer~le
de fer creux
&
vOlIté,
&
avee des dents de fel' 'comme celles d'une feie.
Il
efr
'tqürné en demi-cercle,
O;.
quelquefpis.compoCé -d.e
_plu[l!'!urs pieces qui fe joignent par qes; c;harnieres.
Il
ert monté d 'une tetiere
&.
de dellx longes,
&
1ert a
.doIllpter les chevallX fougueux.
Il
y
a
une autre ef–
;p ece
dejigueue,
qui eíl: un fer ronel
&
d'une fe lile
piece ,
&
qui eíl: eoufue fons la muferolte de la bride,
pour qu'elle ne paroiífe pas. On la fuit agir par une
martingale lorfqne le cheval hat
a
la main.
SIGULONES,
(
G/og.
ane. )
peuples de la Ger–
manie. Ptolomée ,
L,
JI.
dit qll'ils habitoient dans la
partie occidentale de la Chedonnefe cimbrique , au
norq des Saxons.
(D.
J. )
. SIHUN ,SIHON, SIHOUN , (
G¿og.
mod.)
grand
.fleuve d' Afie, qui fépare la Tr.aníoxane du pays de
Gété. Les Arabes appellent la provinee de
Marvna–
ralnahar,
toute l'étendue de pays qui eíl: comprife
entre les fleuves
Silzun
&
Gihun.
Le fleuve
Sihun.
eft
le Jaxartes des aneiens ,
&
le fleuve Gihull , eíl: le
Baélrus on l'Oxus. Le
Si/wn,
fuivant le P. Gallbil
prend fa tource íous le
9:J.
d. 13'.
de Longil/tde,
&
au
40.
d.
de
LatÍlitde.
(D.
J. )
SJIROGGI, f. m. (
Hifl.
natoB otan.)
arbriífeau
du Japon , dont l'écoree eíl: rabotellfe, les fellilles
longlles de trois pouces, pointlles aux deux extré–
mités , fans découpllres. Ses fleurs, placées fur des
pédiellles difpofés en ombelle, {ont en granel nom–
bre, petites
&
pentapétales. Ses baies, en hiver
apres la chftte des fellilles, {ont d'un beau roucre '
m?ins groífes qu'un pois"d'une ehaire blanehe, pul:
puleufe
&
amere. Ses gra1l1es fom triangulaires
&
ele
la groífeur de eelles du earvi. On diilin!!.ue au Japon
-l~n
autre
sjiroggi,
no~mé
vulgairementnamone,
pe–
tlt arbre dont les feuilles font creufes dans leur lú
gl~eur,
reeourbées,
&
tres-Iégerement dentelées
a
lrmr bordo Ses baies {ont a-pel1:-pres de la groffeur
-s
1 L
'd'une
'cer~te;
&
fes remences, qni fom en'petit
Mm,.;
ore de celle de 121 graine de cnmin:-
SIKI ,
(G¿og. modo
')
viltage de la Turquie, e'n.
Afie ' fut la coté
de
la'Propontide¡
Il
efrpeu éluigné
du
ct~lphe
de
M0ntaq~l¡'a,
&
eít'appellé
Sequino
darls
nosoeartes. Mais
Siki
eíl: fon 'véritable
110m,
qll'il
a
- pris de fon terroir plein de figaiers f.auvages: On fait
_que
jiki
veut
e1ire.engrec une
flgue.
C e vlUage
dI:
granel,
&
a -üne 'églife que les ?recs appellent
(1gi~s
Jtrat~gos
;
e'eft atíffi: le no.m qu
lis
clonnen~ q~te15tle
fbf
a
l'arehancre Sámt MiChel , cOmme qtll dlrol! le
j'aim,ep.pitaine.oPres
du riv,age , on
~étollv,re
une'fon–
taine appellée
eh'iflos
,
¡\
laquelle tls attnb.uent des
mir·acles. Ils en nommentl'eau,agiafma, c'eft-a-dire,
J'eau
benite.
(D.
J.)
, ,
- $IK'INO,
(GJog. modo
)
~idvo~
,
He
de
la mer
- Egée ,
~ntre
eeItes de Milo
&
Amorgos , proche de
Policandro., a huit milles de Nío. Elle a environ
xingf milles de tour,
&
n'a point de port, ce n'eft
, proprement qu'une montagne , mais qui ne laifi'e pas
dtqJl'odl:lire le meilleur froment deyArch' pe!.
.
Pline , ApolIonius de Rhodes , al11fi qt'l'Etienne le
gé'ogral)he , afit¡rent qu'elle fe nommoit anciei111e–
me'nt
(Jf.lloé,
l'¡le au 'vin ,
a
cauCe de lq fertilité de fes
vignobIes ; . fur quoi le {eholiaíle
d'
Apollonius re–
marque qu'elle prit le nom de
Sikil}/ts,
d'un fils de../'
Thoas , roi de Lemnos , feuIe per[onne de l'ile qlÚ
, fe {ilUva par
l'a~lJ'eíle
de fa fille Hypfipyle , dans eette
c:ruelle expédition all
t~utes
'les
femme~ égor~erent
, non-{euleIñenr
leur~
mans pendant la
mut,
ma.¡s tous
les gar<;ons du pays , enragées de
ce
qu'ils leur pré–
féroient les efdaves qu'ils venoient
d~
faire en Thra
t
-
ce. J'hoas done aborda dans l'ile dont nous parlons,
&
fut tres-bien -re<;u d'une nymphe qui lui fit part
de fes faveurs ; Sikinus en naquit , beau gar<;on, qui
donna fon nom au pays.
Sikino
a Bté du domaine des ducs de
Naxie; il
n'y
a dans l'ile qu'un bourg de meme nom, & qlli n'a
guere plus de deux cens habitans qlÚ font prefque
tous grecs.
Long.
43. 2.6.
Latit.
36. 3.5.
(D.
J.)
. SIKKES, f. m.
(Hifl. modo
)
nom fons leque1 les
habitans du royaume d'Arrakan , fitué dans la pá-- '
ninfule ultérieure de l'Inde , défignent les
miniftres
d'état
&
les principilllx Qfficiers
du
1'oyaU!ne.
.-
SIKOKF
tLe
, (
GJog. mod, )
la trojúeme des trois
grandes ilcs qui torment l'empirc:
dn
J
¡pon.
Elle
eft
prefque quarrée ;
&
eomme on l'a divifée
en
quatre
provinces ,on l'a
n~mmée
Sikokj,
c'eft-a- c\ire , le
pays des quatre prov1l1ces.
(D.
J.)
SIL, f. m. (
Hifi. nato
)
nom donné p r les anciens
a
une efpeee d'ocre rouge; ils en di. inp'uoient trois
efpeces ; le
jiLauimm
étoit d'un rouge°pourpre ; le
jiL ,.lYrieum
venoit ele
Syrie,
étoit d'un rouge vif;
le
jil, marmoro{ulIl
OU marbré, quí avoit la dmeté
d'une pierre. lIs avoient auffi le
jil aelzai'crtnl
dont
nous n'avons point de defcription.
M. Hitt
cr~it
que
le
ji! auicum romanorum
dont il eft parlé dans Vi–
truve, étoit un fable rouge
&
brillant préparé , qu'il
ne faut point confonclrc avec l'ocre attique dont
011
a
parlé.
Voye{
HiU ,
IZotes fur
Théopltrajle.
SIL, (
Géog.
modo
)
rivie re el'Afie. Elle nait aux
confins elu Carduel ,
&
apres avoir trave rfé la Cir–
caffie , elle fe décharge dans la mer de Zabache.
(D.
J.)
SILA,
(Géog.
ane.
) foret d'Italie dans le Bnt-,
tium ,au nOi·d.
el~
la
~ille
de Rhegillm, felon Stra–
bo~
,
l. ,VI.
q,Ul ?lt qn
011
y,
recueiltoit une forte de
pOIX tres-eftlmee , appellée de-la
pix
B ruuia
SiLa.
C~¡.te fore~
occupoit une partie de l'Apennin, ce qui
falt qne Phne,
L. lIl.
e.
V.
la nomme
Apennini
Silva
, . . Il
décrit au{f¡.,
L. XVI.
e.
ij.
la poix qHe
l'o~
r~leilloi t
dans cette fonh.
(D.
J. )
S,ILAHDAR
AGA,
Olt
FELICTAR
AGA
,
f. m.
.
(Hifl·l1lod.
)
offic~er
du grand feigneur, tiré du
corp~,