S 1
e
tl
no
s
reíl:e encore
p
uúeurs
fick.s
j
ifs, a
e I'inf–
ciip~io:1
,
Jeruf·züm
Ic.ed~halt
•
c'efi:a-dire ,
llrufaltm
l:z faime.
eHe
monnOl~
fe r pandit e?,:z
~e
natiOns
voifincs , fur-tout depws que la cap V1t d
Baby–
Jone eúr diflJerfé ce peuple dans l'orient.
P uye'{
a
ce
fttjet Lig foot,
&
l'apparat
de Walton
a
la t Ate de la
bible polyglotte de Londres. .
.
On Itt
d:
ns le
n.
l.
des ROlS ,
c. xJv.
2.6.
que la
chevelure d'Abfalon , qu'on lui coupoit une foi I'an.,
p'
foir dcnx cens
jieLes
;
cette pefanreur ne doit pas
,ronner, par:ee qu'il s'agit .iei du
jie';
baby louien ,
ui Ltoir envlron les deux uers plus leger que
lejicú
h e
r
u ;
car I'auteur qui a rédigé le livre
des
R ois
vi–
oir a 1I fin de I eaptivité de Babylone, OlLles JU.f
n
conr
,~ ífoient
que le poids babylonien.
(D.
J.)
SICLI
tt ,
ICHILI,
(Géog. mod.)
ville de
Sici~e
,
• n,
I
val de Noto,a 3lielles au fud-ouelt de la vll!e
d'
10,
fur le bord d'une petite riviere.
Long.
3 2. .
j u . /al.
3 -. .h .
S
r
~L1)
r ,
f.
m. (
Comm.)
petit poids dont fe
¡¡
rvent
1
's
',P )
hieaires I?our pe1er leurs drogues.
11
p'
f~
tll fCl.:t
ll~
.
dt:ux 1cmpules.
Yoy
'{
S
xtule
{;-
{Cfl/!,.
le.
J)icil.
J.:
CaTllm.
'
/ca
H. /
,(
Glnc.
ane.)
fleuv~
d'Efragne. r.l
f;' .
3rOlt les
H
' roeres de LaeetaOl. : dar ,
P~ne,
1
n
Caffius
&
Vibius Sequelter en tont mentIOn ;
&
il
l
.\
emire que
c'elt
de ce
fl~~ve ~ue
pr.'tend
parler
lIcydide,
liv,
VI.
10rfqtLll
ti
It
eOlr des
bord~
jiu
¡
lL
e
ieanus
en Efpagne, les icaniens
qui
,I n.:
C s'établir en icile.
e
fleuv fut plus
nr u du
tems de la guerre i
ile.
Lucain,
!iv. JI/.
,... 1 1.
le déerit ainfi en parbnt de la ille Illerua ba–
n
(ur {es riv s :
o/le
tllmU
modieo
,
Icnique excrtvit
in
altum
Pinguej olum
tumuto
:
fup. r./lIlne furz.datcl vel.u.f/á
urtrit Ilerda
mana.;
pLacld¡s prCEÜlhLtur undu
Hej;erios
im r
icoris
non
ultimas flfllnes ,
• 11:1.'
us
~Tl8Ulti
qucm
p ons I1mpl
flitur
a,cu ,
H iberll.ltJ pttj[ur¡¡.s
aquas.
S 1
e
:lúteu flcil.ieá ; c'elt-a-dire a 1an 1364 avant 1 ' ré
cbr '
uenne ,
Celon
la
chr no:ogi de T h ydide.
(D.
J.)
.
I~ULlANO
Oll
SICULlA A,
(CJlog. a,
.)
pe~
tlt vllle de l'lIe de Sícile d ns
1
val Manara .
la gauehe de Fiume di Caní , environ
a
deux mit'les
d
la
cote.
C'ea
l'ancienne Cena, entre Aariaentum
&
Allava.
(D.
J.)
~
b
.
¡C:
ULOT.rE,(Glog.
anc.)
peuples de la Dalma–
t le, 1 Ion Ptolom ' e ,
L.
l/.
c. xvij.
&
Pline
liv.
111.
c.
,xxV
C e d rruer dit qu
ils '
roietlt partag"
n
24
J
unes.
SI
r-:
1\1
~
(Glo.
ane.
) vill de l'IlIyrie , dan la
J?alm tie , fur
1
cote. Pline ,
L. 1(1.
c.
xxi).
dit que
1
e m~
...reur laude y envoya des fol ats v ' térans.
S
len veut que c foit aujourd hui
S~benieo.
( D .
J.)
SIC NOIDE,r.
f·CHijl.
nato
BOL.)
¡te
noiJes
genre
de plante
a
fleurs mon p ' tales , en forme de 'toches
o
I
ertes
&
profondement décollpécs. Les unes
íi
nC
ft6riles
&
n'out poin d mbryon ; le autre font fou–
t.en.ues par un em ryon, qui devient dans la fUlt un
fnllt
f;
mbl.lble
a.
u
aman ,eharnu
&
hériífé
d
point
S.
Ordin irement ce fru its fo nt r ' unis en ma–
nt~re
de t Ate,
&
r J?ferm¿ hacun fou une peau
mll1ce, une feule
i
men e, T Ollrnefort ,
inflo
ni
herh.
Voye'{
PLA TE.
ICYONE ,
( G¿og.
anc.
&
mod.)
ville du Pélo–
ponnefe dan l'Achai propre ,
&
dans
1 s
terr
~
pres ?e l'Afo
II •
Cet e . v!lle a tr
f
i puifl:lnt ,
&
qll1
eut fes pro pre rOIS , devint enCuite libr ;
&
dmant la gu rre des ré ubliqu s de la Gre
elle
fut
tantot ioumife aux Athénien , t ntor
<tUl'
Lacé–
démoniens. Jultin dit,
l¡v. XlII.
ch.
v.
lmoflhems ,
Sicyolla
,
Argos;
&
Corinthum,
c(uuaj{¡lle
civit a s
eioquentid fud
,
Athen.ienjihus jllnxit.
Quoique
S icyo–
m
fut dans l' Achate , cómm
I
marque Pline,
l. ¡V•
elz. v.
cependant elle fe trouve avoir été comprife
dans l'Argolie.
Le royaume de
Sicyom
elt le plus ancien royaume
qui ait té dan la Gr ce. Son premier roi s'appelloit
Egialée ,
&
fdon Eufebe, le t::omm
ncem ~nt
de
fOil
r gne pr ' céda de 74 ans la naiffi nce d'Abraham. Le
d rnier roi, qui étoit le vim't-fixieme , s'app 1I0it
Zeuxippus.
Apres lui, la for':n e du gouvernement
changea; les pretres d'Apollon exereerent l'autoricé
fouveraine pendant 30 ou
40
ans;
&
enfin le rois
d'Argos
&
de
M
ycenes 'en emparerent. e royau–
me dura 96 2 ans; il finit 10rfqll'Hélie éroit fouverain
facrificatem
&
juge des Juifs.
On célebroit
¡\
Sicyone
de einq en cinq ans des
je'';'(
pyrhiens en l'honneur d'Apollon,
&
on y donnoit
pOllr prix d s coupes d'argent. Le ouvrier de e tt>
ille le difpuroient
a
ceux de Cory nthe pour la p r–
feaion des ouvrages. Dipél!nus
&
cylli enrichir nt
Sicyone
de plus beUes ltatue en m rbre; ils
ti
rme–
rent plufieurs éleves , qui fculpterent tam de fip'ure
de dieux, que les
icyomtns
en pr'\terent a leur:voi-
10
,qui n' n avoient point encore;
mais
le culté
que les Sicyoniens rendoient
n
cchu ,étoit tro
honteux pour etre agr " dans d autres pays ; car
i is
ad roient ce dieu fons un nCi>m fi conrraire a la dé-
,qu'il n'ya que des gens
tre
-efFromés
q
i
ofa(–
{enr le prof. rer dans une converfarion libre'
d
moins c'elt ce qu'afIure
CI
ment d'Alexandrie ,
aJ–
monit.
ad Ifuues ,p.
d.
Le luxe ' toir forf
1",
andu
Í1cyone;
les (ouliers
de c rre viHe
~a{ferent
en proverb ; ils étoient
fi
ga-
lans qu'il n' roit pas p rmis
a
\Ul
homm gra d
1 s
rter.
b is
au milieu de ce luxe
¡cyone
don na
la
n'>' f-
an e ¡'un de plus
gran
capita.ine de I'an iq
t '
t,!;
cux parler d'Ararus qui défic
j
o
le
tyran d
~
patrie) s'em ara d
.
de orinthe ,