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SI N

r le

Jlnur

toral,

y-¡::-;-:;:

el!: fon

co:fimu;

...!._,

fa

1

~

«

fécante;

V

1 _

«-;;'

fa

c~-fécance;

y

1 _

'

fa

tan-

gente .

D e plus, fi on no

m

'!le

z

un angle quelconque, on

zy-r

- z V-1

aura fon

finru

=e

1 ;: 1

,

&

fon eo -

zV-r

+

-zV-1

finur e

'

.

Vpy,

le

calcul inttgr¡¡l

de

M,.

de Bougainvílle.

E

é

·l

e

J

r

t. ·

fi•.

J

+'

á

-.i

n

gt!n ra

>.1'1. a.

co•.

11

=---

+ fin .

-- .

Sin.

J.¡;,.

b=-~co[.

d+ b•+

¿_ col'.

d..:.b.

1

Co-fin.

d

co[.

b

=

cor.

~~

+

cor.

.!..=!..

J

Sin.

d

+

b

= fin

d.

cor.

b

+

Jln.

b.

..:of.

d.

Co:fin.

ti+

b

=

co[.

¡{

c:o[.

b

-fin,

b

/In.

d.

Courbe

du

(i11ur,

~ll

\nJe courbe dans laquelle les

abfcdfes reprélenrent les arcs de

cercle ;

les ordon–

nées repréfentent les

fi•rus

de ces anglcs .

D one

ti

z

repréfemc le; abfciffes, on aura l'ordon–

zy-r_ ,- z V-1

Y=fin. z=c

.

,

011

bier¡

d

2y- ,

ti

z

=

_...!

-

Par

c~s

formulea , on trouvera

aíf~V•

-n

rnenr les propriétés

el

cecee ceurbe,, fes tangentes,

fa quadrarure,

&c.

(O)

.

SJN1JS,

r. m. (

0/holog. }

efpece de cavicé d'un os

. <¡Ui a plus d'écenóue dans Con fond que dans ron en–

trée, c'ell ce qu'on remarque

~

l'égard des

finur

fron–

taux, des maxíllaires,

&c.

(D.

J.)

StNVS

du

cerveatl,

(

Anatom.

)

Lr s

fin11r

dr1 cervea11

fonr des canaux vcineux, plus amples

&

m•Jrns coni–

q ues, par rapporc

~

IJ!urs arteres correi"pondances,

que les ancíens ne le fonc ordinairemenr , par rdp–

port aux l!lurs.

D

1ns ces

fi¡¡us,

Ce rarremble comme

dJns une efpece d' encrep<lt , le

fa ncr de différemes

y

cines , pour écre de- la r!iltnbué dans les véritables

veines , qui doi vent le

rapport~r

au t·reur.

11

y

a quaere

./inru

Pri nzioaux, le longitudinal fu–

périeur, qu i, rcc¡Olr le fan<r de quelques panres ex ter–

nes de la

e~

re

&

d.e la dure-mere, de la pie mere,

b

meme de l'cxcé'rieur du cervcau ; deux

fimu

lacé–

raux pa r capport

~

lui, l'un droir

&

l \¡urr~

gauchc

<¡ui en re'.ioi vent te fang;

&

\In quarrieme nommé

toret~lar

par les anciens, ou fe rama (le le fa ng qui

r cvtenc du l•cis choroi'Je,

.st

par conft!quenr des ven–

t ricules du ccrveau .

Tous les Anacomilles , excepté le céleb re Morga–

gni, ont cru que le

finur

longitudinal fupérieur écant

parvenu au

d~rriere

J e la rete, fur la rente du cerve–

ler, fe panage

&

fe fou rche en deux nutres canaux.,

qui font les deux

./inur

lacéraux , d nt chacun re<,iOÍt

u ne égale quancité

d~

fang,

&

qu'a l'endroit de cene

b ifu rcacion, le torcular verfe Con fang daos le con–

f!uenr de ces crois

fimu .

Mars M. Garengeor,, chirurg ien,

a

communiqué

~

J'académ ie fes oblervarions, fur ce f"uj er, forr diffé-

. remes de l'opínioo commune. Eclairé par Morgagni ,

il

a

rrouvé que anmmc le die cer habite homme , la

b ifurcarion prérenduo

dufinur

longitudinal lupérieur,

n'ell: propremcnt continu, qu'3vec le

lacéral droit,

qui re<,¡oit la plus srande partie de fa liqueur;

&

que

la gauche re<JOi t pnocipalement s:elle du roreular , qui

ne fe décharge que dans ce

jimu

gauche, un peu

apres qu'il s'en lépué du longitudinal;

& .

en c!l'er,

a

t'égard do ce point, M. Gareogeot remarque qu'il

ne leroit pas poflible que le rorcubr fe déchargeAt

dans le oonfluenc du longitudinal ,

&

de

Ces

lacéraux,

p aree qu'il y trouveroit une hqueur , done le cours

feroit comraire au cours de la fi enne .

Hifl. de

l'aca–

démie, 111111ée

17L7·

( D.

J.l

1

us

et¡ Chirur_(Íe

&

en Anatomie,

el!: une perite

ca

viré o

u

poche oblongue , qui fe forme pour l'orcli–

naire

a

cl}ré d'un,e blellure ou d'un ulcere, dans le–

que! le pus s'amaffe .

Un

fitrur

el!: proprement une caviré dans le milieu

d'une parcie charoue , qui fe forme par le croupiffe–

rnent ou la purréfaélion du fang ou des humeurs ,

&

gui fe fait

a

ellc-m~me

un pa(Jage.

Le

fimu

filluleux en une ulcérarion érroire

&

lon–

gue .

Scur~l

oblervc que les

Jinus

profonds qui vont

en bas, foar dí.fficiles

a

guénr;

ce~endanr

ce chirur–

g ien

enrr~prend

de guérir coutes forres _de

ji11ur

en

pne fema •ne , par les médicamens dont

1L

fJJt

la def-

T6me XV.

SI O

eription'

p.

33 8 '

&

avee un bandage bien collant .

lL

~~o~ce

qu'!l n'en viene jamais aux iocilions , que quand

JI s apper301t que rous les remedes de

la pharmacíe

í~.nt

i":Ipurffans ;

&

que pour ()Uvrir le

finus,

il ne

faJt pomr ufage du bJ(louri ou fca¡¡e l tr

rn

eur paree ·

qu'il ell bien plus fuje c

a

tromper l'opérateur'que le

malade.

La mérhode de Scucel pour la guérifon des

jinu.t

fans ()pération, dépend plus de la compreflioo

&

du

banddge expulfii,que des méd,camens.

PO)Iez

les mots

Co,M ? RES~ION? CoM?~E~SE , ExPUL~IF

&

h sr uu . (

SI OMIO,

l.

m.

(

Hifl . mod. ) C'ell

ainli yu'on nom–

me au J apon des feígneurs parnculiers de cerrains dif–

triéh ou terres 'done ils

Cone

propriécaíres ,

&

ou

i1s

reu~ent

la juíb ce au nom cies empereurs du japoo.

[ls fonr dans une relle dépendance de la cour, qu'il

ne lcur en pas perm is de reller pl us de

fJx

mois dans

leurs cerres; ils fonr obligé• de paffer les fix aurres

mois dans la

vil

le de J edo, o11 l'on rerient rouce l'án–

nt!e leurs enfans, qui rél'tmdent

a

u fouverain de la

liJélicé de leur< pere< .

~ lO .

011

Z

IO

, (

Gé•ff· )

farneufe montagne d' A- .

íie, dans _la J

ud.ée

, au midi

&

pres de J érufa lem, fur

ldquelle tur

b

~t

t

p

ar Salocnon le temple du

S~i,gneur

ou pour mieu.: dire, il écoit lur le mont Morra. Da:

vid

&

les autres roís fes fucceffeurs choi firenr leurs

fépu lrures fur la m ntague de

S

ion,

maís on n'en voit

aujourd'hui aucune crdce . Ce •none meme , done la

be.IUté efi rant vantée dans I'Ecrirure,

cfi

3

préfent

tellemenc d•fforme , qu'on ne devinerojr jamais qu'il

y eílr eu de llus une vrlle,

&

cnoins encore un chatea

u

ropl. Ce chaceau décruir depuis ranr de íiecles, a

¡<~

forr ren:>cn-né chez les Hébreux , par la perre funelle

que D.wid

y

fir de

Con

innocence;

CH

ce fue du haur

de

13

cerra(J e ou il fe pro

menoir, qu'

il lailla écha oper

un· regard inconúdéré fur Bechlttb.Se, femme d'Urie; '

&

ce fur dans ce meme endroic, que le prophere Na–

than l'ayanr repris de la pare dt! Oieu de !'adultere

qu'il avoit commis, íl reconnut humblement Ion eri–

me .

L

1

maifon de Ca't' he , qui éroit proche du mont

Sio11,

ella préfent changée en

Un<'

é~l ife

que les Ar–

méníens deffcrvem . Les Turcs onr fait une mo!"quée

~u

fainr cénacle. O n peur lire le voyage Je la Terre–

r.,i nt~

pa r le

P.

Nau, fur l'état aéluel de la monragne

de

S1on.

( D .

J . )

S

ION

011

SvoN,

(

Géo". )

en latín

Stdrmum,

&

Cfl

allemand

Sitten,

ville

de

Suiffe,

dans

le Vallais, done

elle ell cap•rale, lur la perite riviere de Sircen, prét

de la rive droire Ju Hh6ne, dJns une belle plaine,

a

20

li cues

a

u levant de Geneve,

a

12

au non! d' Aolle .

Cecee ville, l'ancienne demeure des Séduníens, efl:

propre,

&

bren bacie. Elle n'a point eu de íiege épíf–

copal qu':\ la fin , du

fi xieme íiecle. Son

év ~que

qui

ell fu ffraganr de Moulliers, prenJ ridiculemem

la

qua–

lité de prince de l'empire, quoiqn'il n'en foit plus

membre, qu'i l n'a ir aucune féance aux dietes,

&

qu'il

ne cloive aucune obéi{l¡IIICC

a

l'empereur

&

3UX

éti!IS

de l'empire, jouí(Janc ele la fran chife accordée

a

u corps

Helvétique,

&

aurorifée par le

crait~

de W ellphalie .

11

a

d'aurres grandes prérogacives.

[1

préíiJe aux

étars du pays

avec

une autoricé, a-peu-pres oCcmblable

a

celle du doge de Venife. La monnoie fe bar

a

fon

coin , fous Con nom,

&

a

fes armes .

11

en élu 'pa r les

fuffrages communs des chanoines de la carhédrale

&

des dépurés des dép;Irtemens .

L'

dUtorité fouveraine

en entre les mains de l'aflemblée

gén~rale

du pays'

qui el!: compofée d' un

c~rtain

nombte Je dépurés dc!l

fept départemens.

Apres l'évéque, celui qui

ti~nt

le premier rang

efi le baill i du pays , nommé en allemand

L•ndrhAult–

tllflll ,

c'ell-a-dire,

cApitaitr.

du

pays.

ll eH

juge ab–

folu des cau(es civiles qui fe porrent devane lui ,

&

fa charge dure deux ans.

Long . dt S

ion,

24·

2.

l•tit.

46.

8.

r

D .

J. )

SJOQ, (

Géogr. moti.)

une des quinze provincee

de la grande conrrée du Sud el!: Je l'emptre du Ja–

pon. Elle ell tres-coníidérable , puifqu'on lui donne

rrois journt!es de longueur de rous c6cés 1 c'ell un

pays médiocremenr ferrile, mais qui abond

e

en vers

a

(oie,

&

conféquemment en

monufaaure~

d'éroffes

de

ce

genre; cecee province

a

onze d1Qriéh

( D.

J. )

fOR , (

Géogr.

mod.

)

ville d'Afie·, capirale du

royaume de Coré, dans la provi nce de Sengado,

a

une licue d'une large riviere.

Long

141. 38.

latit.

37· 32·

( D .

J . )

SfOUANNA, r. m.

(

Hijl. mrt

. Botalt. )

arbriffeau

des [ndes OrientaleS qui préfer.te

Ull

COU il d'reit tres–

agréable .

[1

produic des baies

& d

es

Jleurs

en

Olllbet-

Aa

2-

les .