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339
III.
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Rom•i111
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Amphora,
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Culcus, .
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IV.
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A~tgltltrrt.
Chll. Pinu.
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ME
URES RONDES
1
(
Anli'f. ArtJ
f:J
Comm.)
on ap·
pelle
mtfura
rondtf
ou
mefm·u áu choftJ
fu~J
1
celles
qui furvem
a
mefurer les grains. le• graines. les
1
égu–
mes, les fruits fecs, la farine, le fcl, le charbon,
&c.
Ces
mrfuru
font dillcrente¡ dans les divers pays,
&
quel–
quefois dans les prov inces d'un
m~nie
royaume.
Mefurti
rontle~
de Franet.
Elles fom faite de bois,
&
ce fom le
htron,
le
hoi.Ottrtt,
le
,minot,
&
lel\rS di–
minutions ou nugmemations. De deu
x
minors, on com–
pofe la ,;,,; de
d~ux
mines le
feptitr,
&
de pluficurs
fepuer s, fuivnnt les lieux, le
m~<rd
QU
le
tQnn~"".
Le litron te divife en deux demi-htrons,
&
en qua·
lre qunrts de
li~roo
. Le hrron CQiltient v cmc-tlx pouces
cubiques .
Voy.:<.
LrTRON.
.
·
Le
boilfeau cfi trcs·dilférent en France, change pref–
'lue
d~u~
toutcs Jnrifdiélions ,
&
fe uomme eo plufieurs
cndroits
.hichtt.
Vuyr::.
Bors
EAU.
Le mmot comiem trois boitfeaux ;
il
faut quatre mi–
'nots pour tilire un fcpticr,
&
les dou1.e feptiers
font
le
muiJ ; mais le minot donr on
!t
fert pour mefurer le
charbon
&
le fel, difiere en cominence de cclui des grains.
VD\t'l.
MINOT.
Lu
mine n'efi pas un vailreau récl te! que le minot,
qui fer ve de
mtfrtre
de continencc mais une cOimarion
de
plulieuts au11es
m<{Nrn;
&
cette' cfiimarioo \'arie fui–
vnnt les heux
&
les chofe .
A
Paris la mine de graios
dl
compoféc de lix boifleaux
j
ou de deux minots ra–
dé ,
&
fans graíns fur bord.
1
fJut dcux mines pour
le lepúr,
&
vingt-qustre mines pour le muid .
Voy<:r.
1\ltst:.
Le lcptin eO comme le mioor, une efiimntion varia·
lile de plulieurs autrcs
m•[lirti.
A Paris le icpti r fe di–
Tt~lt
X .
Co{OO , Chomer,
. 71'
1'
7,62f.
vife en deux mines,
&
les dou1.e fcptiert foot un muid
Voyn.
SEPTII!ll .
Le muid en femblablement une efiimadon vsriable de
plufieurs aurres
mt[Hrn.
A Paris le muid des grains qui
fe mefurent
r~dés
ef\ compof6 de dou1.e feptiers, qui
fom dix-huit muddes d' Amfierdam,
&
les dti·ncuf
fe–
ptiers fonr un !afie .
Voy<
'l.
M
u
10.
L.e
rouneau cfi une
tntfur.
on quantité de grains, qui
comi<nt ou qui pefe plus ou moins, fuivam
les lieux
du royaume. A
~
a.nr~s
le tonneau de grains contiene
dix feptiers , de fei?.e boilleaa.x chacun.
&
pefe
2.200
a
uso
livres.
11
faut trois ronneaux de Nantes poor faire
vlngr-huir
feptiers de Paris,
&
trei1.e mudd,es
&
demi
d'Amfierdam.
Voyn
ToNNEAu .
Mtfrtr« rowdes dt1 N ord,
d'
llollanát .
En
Hollande
&
dans le Nord, on énlue le> chafes feches fur le pit
du
/,.fl,
ltfl,
ltth,
ou
lu!Jt,
alnfi appellé, IO!on la dif–
férente prononciation de ces peuples . En Hollondc le
lafi erl é,¡al
a
dix-neuf
feptier~
de Paris, ou
i
trente–
huít boifleaux de Bourdebur.
Le
lafi de froment pefe or·
diuairement
.¡6oo
a
.¡,800
li vrcs poids de ma{C.
Co
me–
me lafi fe divife en vingt·fept
m~tddti,
le mudde en qum•
tre
fcht peiJ ,
le fchepel
en
quatre
'IJitrá<vati ,
&
le vier–
deut en huit
l<op1 .
Voy•
a
LAST .
L a
mt[llrt
d'Archaogel pour les graios fe nomme
chtf·
ford;
elle rient environ
troi~
boi!feaux
mt{ llr<
de Rouen,
&
fe fubdivife en qume parties .
hlrft~rn
roNdts
d'
ltali<.
A Venife, L ivourne, Luc–
ques,
&c.
les chofes feches fe mefurent au
flaro.
Le
Oaro de L ivourne pele ordinairemenr cinquante-quorre
Ji.
vres;
112
!larosf font le
l~fi
d'Amfierdam, so lict1
V
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