i
S
N
...oíeM pas lenir le
m~me 1.lIg~
de leor
pr~lcodQe
pjer–
re d'Agar. Scaliger a
rtmaa-~
une grande
~rudilion
au
fUJet de la ¡;icrre de Jaeob, dans fes
obJe,-¡¡a¡ions JNr
Eu~
J,be,
,,0.
21,Q; mais le
f.v.ntPoeock o'en
¡r.u
flJoins
euríeu! dans fes reeherchcs (ur la píerrc dp eulte
d~
de–
fecl}dans d' lfmael; eonÚJllcz. eel a.ICDr daos fes nolC$,
;/1
Jp«imin. hijl. arabo p.
J
13 ; je u'en veux j:lIraire qu'
)10
moto
La píe"e naire qu'íls veneront, dit-íl, .en plaeée dans
)10
dcs
eoj!l~
do temple
d~
la Me.:q\\C,
&
en
tlev.éea
pr~s
de ((01 .. eODdées de
~rre.
lis
fupporeot que détoit
J'une dcs pierres précieufes du paradi.; qu'elle fut envo–
yic
i
Abmham lor[qo'it biti{fojl le "'mple
&
que .ce
fUI l'ange G3briel qui la mil cmre (es mains'. Elle avoit
tté tu
:Qmmfneem~m P;~s
blanche qoe
I~
noige, mai.
elle deV"11
1j0l(e
:1
ce qu lis prélcndem, pour aYoir be
louchée par une femme qui avoit fes mois, ou comme
difem ouelqoes arapes,
a
force d'aveje été touehée
de
"aifé~.'
. '. .
.
11
y
a
une autre pierr. ce nfidérable
a
11 M ecqne tou–
~e
blanehe,
&
uoo moins vénérée; eelle·ci pa{fe pour
.ttre le fépulehre c!'lfn)'el ,
&
ell plaet€e daos une efpe–
ce
<I$'
parquet, proebe les f,'odemens du temple.
Apres leut les
IJma.lit"
ne fOI)t pas les feuls peuples
~hez
lefqurls l,es pierre.
~yeijt re~os
des bonneurs dí–
vins; c'cO·",
jo
penCe, une de, pr,l!mieres idolarriC$ du
monde, avo!)t lJuc ¡'art de la SeQlplur¡:
~t
connu, on
repréCenla les dloo; par de (¡mples pierres
&
les brety–
les furenJ les plus ancienoe ¡dolps.
Vovez::
BOETVLES
(D.
'J.)
,
.
T
J
..
•
. IS1'fE,
(Glog.)
yille impériale d'
Altema~ne
en Soua–
be, dans l'AIgow, fur le ruiITe.u
d'IP,.,
i
6
licues S .
O . de Kem!'ten ,
7
N.
E . de Lind.w,
2f
S. O. d'Ausr
pour~ ,
L png.
27· 4,·
lot.
47· 33.
(D.
J.)
.
ISN" I<;:If,
~
G/og.)
ville de la Turquie aliarlque,
dan~
la
Narohe ,
0'1
elle oeeupe la place de I'andenlle Ni–
,:ée; Olais elle n'a rien de remarquable íl\1jourd'hui qul
un aquedue., ne préCeme
iI
la yue que les triOes n,ines
de fOil.
anelen~e fple~deor, ~
eomiem
iI
p~ine
trois eent
mauvalfes mOlfans , ,a pl'Jparl halliu!es par des Juifs; [es
mues font pre[que
.¡ou~ r~e!,ommocjés
de
pi~s-dl'n~\1X
de
marbre
.&
de granlle. Son
r~rri!qlre
en fertiJe en fruirs
&.
ell
VIO ; 01)
peu~
dar¡s un vem fayorable faire le tra–
jet de ConOaotinoplc
a
[Jnieh
en fept h(!Urcs' ear elle
~n.
a
2,
Iie¡
¡cs.oeConflaqtinople, fm lellord' cjlun lae
pOla-onneu~
qUI
~
40 mIlles de tom,
&
qui dQnr¡e Con
pom rure a 13 yllle. C'en le lae
A[C'lliu~
, des anciens
&.
le
Nixae~
des Grees moderpes , Taveroier dlr '
qu~
ce lae slappelle
Chab~ngio1(l,
iI
cauCe de la ville de Cha–
bangi, quj en aum fur fes bords
:l ,
OU
~
milles de Ni–
cée .
·Long.
de la yille
d'lr"jeh
A~/'
á'.
lat.
AO.
1'.
(D.
J:)
{'
"
, J
,
"
J
•
ISQC¡-rRI1¡T~S,
f. m.
p.!.
(Tblol. )
nom d'une
feae q'!i parut vers le milieq d.,
fi
xieme Jieele .' Apre–
la mal! de N oqnu§ , llJoine prigéoifle, les Origénilles
fe
divjfer~ot
eo Pro¡oélilles ou 'fétradeles
&
~n
[(0-
ihrifte!.
Ce~~-ci
difoient :
fi
le~ ªp~lres
foOl
a
préfent
des
mtrac1~s ~
fon¡ en
q
grand hunoeur, ql\el avanta–
ce
reeevront-¡Is
~.ns
la
rérurr~~íon,
sl¡1
!1~
'fon! égaux
i
JeCus-Chrifl? C me prQPofitioil fUI eondamnée au con–
¡oile de Connaminople en
e~3.
l foehri ne
fignitjp
{.al
1111
f:hrift.
J I
,J\
~< ., . '
b
•
rsoq'IRONE, adj .
(Mech.
&
Glom. )
[e di! des
vibradons 'd'un peudule ,
quí
fe fom en ¡ems égaux ,
V.y.
PE N~V!-E
&
YIBRA,T,ONS,
Les yi\¡rations q'un peqdlJle font toures regardées'
eomme
i[ochroneJ ,
c'~Il,'-d¡re,
eomme fe faifanr tou–
~cs
dans l. meme e[paee de
tel1l~
1
roit que Pare que le
pendule déerit Co!t plqs grand '\lu
plu~
petir : car quand
I'arc en plus pe!ir, le pendule fe meu¡ pJus ' lenrement ,
~
quand I'are en plus grand le
p~ndQle
fe
m~UI
plus
VI¡~:
eependant il en bon de
íem~rquer
que
le~
vibra–
¡íons ne fonr pas
ijoehrq"eJ
iI
la rigueur,
¡¡
moins que le
pe'1dule no décrive des ares de
cy~le(de
¡
mais qlland
iI
déerí! de peti!s ares de eereles, on p.eur prendre ces
pe~
tits ares pOlI! des arcs de eycto"ide,
parc~
qu'ils n'ep dif–
ferent PQs fenliblemeot ,
Voyei:
OSCILLAT10NS, CI–
CLO'(DE
&
T A\lTOCHRoNE,
& •. ' .,. ,
. LiJ(pe
ijQeh.ru"e,
~n cett~
par laquelle on fupp" fe
QU'
un corps deCcend fans aueune acctl,lération;
c;'ofl~i-dire
de maniere quIen tem,s égaux
iI
S'SPPío.e!,e
IOltiou(i'~ga
lemen! de I'horiíbn , au licu que quand un corps
tQ01,
pe en Iigne droite par
f~
pe('a1lleUr,
it
parc9u,rt par exem-,
pie "
pi~s
dans Iq prell1iere feeonde , 4, runs la fecon...
de,
&e.
de forte que dans des lem' égaux il
O"
par–
court pas des parties égales de la
Ii~ne
verticale ,
VOY~".
P ESCENTE,.
A<;CÉL~H.ATlON
&
ApP;9~H1!, .
f
1
S O
M . J"t€ibnilt.
3
dooaé dans les aacs de Léiplie, poor
le mois d'l\.vril de 1"IInée t6S9 , on éeril fur la ligoe
ifochr."e,
d,,"s lequel
it
momrc q.r'un corps
pef.nr3vejO
un dcgrj! de Ylrc/I'e acqaife p.r
fa
chute <te quclque hau–
tenr que ce foil, peat defceodre dll
mtme
poil1.t
par
une
infillÍlt! de
ligues
jf.ehr."..
qui foO! 10utes de méme
eCpeee,
~
qui oe diiferent en\.Ce ellos que par la grao–
deor de Jeurs parametres: ces eourbes
[001
des p3Jabo–
les apf>.C1I6es
fec.nda
par4b./~s
",biv"eJ.
11
montre lum
la mantere de IrOUyer une l,gne par laquelle un eorps
peCam velja\)t
ii
defeendre ,'éloignera ou s'approehera
uniform.ém~o¡
d'uo pojor c;lonné.
M .
J"éiboit2 a réfolu ces problcmes
fyml¡étiquemen~
Cans eo dQnncr
I'~n"lrfe.
elle a .été donoée depuis par
MI'
hcques )3ernoulti
&
Varig noo; par le premier dans
la
J"Ir"lIleX
d<
L I;pJie
d.
¡
Ó9Q ,
&
p~r
le Cecond dan.
la Jlfem. de l' Acad. da Sei."c.. de P aris
1'"
1699.
Ce
derQier a, felon fa eouroni¡:,
~toéralifé
le
probl~me
de
M. L éibnilz,
&
a donné la maoiere de trouver les eour–
bes
ifochron<1
dans l'byputhefe que les
dir~élions
de la
peCanteor foient
convergen~es
yers un pojnr,
&
de plus
iI
a enfeigné
iI
Irouver
des
eourbes d3QS leCql/eljes un
~orps
pe&nl s'approehe de I' horifon, non pas éllalemeot
.en lems égau¡
I
n¡ai¡ eo lelle raifon des Jet¡ls <ju on you–
dra.
(O)
ISOCHROl>:l" ISME,
r.
m .
(G/om.
&
M,eh. )
éga–
tité de durée dans ¡es yibrations d' on pendule, ou
tll
génbal d'un corps q)l<)conque.
Voye"
ISO¡:HRONE.
11 Y
a eette différenee l'tltre
íJoehrqniJ¡n.
&
/)',!ehr.–
ni[me ,
que le premier fe dit de l'égalité de ¡jurée entre
¡es
vibralÍons d'un meme pendulJ:;
&
le feeond
d~
I'é–
¡(ruité de durée entre les vibralÍons de deux pendulcs dif–
férerys .
V.yez
~YN!;HR O NE,
VOYez
au/Ji
T",uTo~HR o
ljE .
(O,
ISO CA,
( Qlogr. )
it
Y
a trois . illes
d~ ~e
nom f n
1t2lie; la prem iere
~fl
dans le
duc~é
de Milan, au
c~mté
dIt\ nghiera. )..a fellOnde ell tour aupres de la prem,ere ,
fur la ri viere d' l\nIa .
~.
troilicn¡e
s'appcll~
lfola ¿.IItI
fcala,
dans le Veronois.
. 11
Y
a eneOre une ville de ce nom el1 Inrie, dans
pn~
n e dll golfe de Triene.
• I S O LE' , I S O LE R,
(Gramm.)
den
Ceparer du
rene,
rendr~
feul. On
ifule
un eorps des 'l1!re,; on
)la,
limem du rerle d'uue habil.tion, une rlame dans un Jar–
pin, IIne
~gure
CUT un
!able~o,
une eol.Qulle 9u mur ,
&e.
Un homme
i(oll
ell un homn¡e libre, II1dépendant.,
Rui
n~
lico¡
¡¡
ríen ' On
slép~rgne
I¡ieq cjes pemcs;
ma~s
pn fe prive ¡le beeucQup de plallies en
~'ifQI4n~.
y
a-I-II
plus
¡¡
gagn~r' qu'~ p~rdre
r
je n'en Cajs ricn.
l!~Ipéri~n
C~
m'a appris ql¡lll
ya'
bien des drconljanees ou I'!lom–
me
jfoU
deviont inotile
a
lui-m~me
&
aux au¡res ; fi le
danger le 'pretrl! , perfonne ne le COOnOI!, ne s'intére(fe
¡,
lui, ne loi !eod la
m~in .
11 a nt€gtigé IOut
I~
¡n onde,
.jI ne peuI dans le beCoin follidter pour perronne .
.
¡"e~ cQnnoitTane~s
prenneot beaucQup de tems; m alS
on
les
trQuve dans lloeCl\lion. On ell 10U!
~
foi daos
l~
fotilude; mais on
~fl
felll dans
I~
'Illonde
En n<; fe mon!rant poin¡, I'n
I~i(re al1~
aUlres
I~ tlb~r
té de nous imaginer eomme il leur pi.!! ;
&
elell un m–
~qovénien!;
oc¡ rifqne 101\!
~
Ce mOlllrer :
\1
v~l\!
enca–
re
mi"u.~
qu
1
i1s !1Qlls imagineqt eQm¡ne nous ne fo m–
P.les
p~s,
que <le nous voir eomt¡1e nous fommes "
En vous répandant, vous vous
a[taeher~z
aUI( ª utres ,
les autres
a
VQUS;
voqs fere?. corps avec cux, o n
VOU¡
rompra difficilemen!; en vous
i(ola"e ,
rien ne yous for–
tifiera,
~
il eq fera
d'~Utant plu~
aifé de vqus briCer .
ISOLÉ, adj.
Cl:(ydr. )
Ce ¡jit d'uo bam n de foorame
¡létª ché d'un mur,
&
autour duquel on peu! 10.uroer;
on le dir de m eme d' uq povitlon, d'one
úgl\¡~
qui fe
voil de tOns
e~tés
1
&
qui ne !iem
a
fieQ , '
.
ISOMF.R1F;,
C.
f.
terrne d' lIlgel;rr ,
maniere de dé–
livrer une; équa!ion de
fr~aio)1s.
VOJe<..
.f
1\ AC
l'
¡
o N,
EQuATto>l
(5
EVANOU IR . Ce
!e(m~
n', n e(1 .¡Cage
qoc
dall~
les anaiens a\l!eurs.
(Q)
IS OPE:~IMET R E, ~dj .
( G/om.)
les pg ures
ijoplrim~tr.",'
fon! eelles. dont les
~i¡~onf~re!1ces
font
~gales.
Voyn
Cfll eQNFÉRESCE .
11
en dC!mo.nrré en Géométrie qu'entre les. fi gures
jJoplri",.<er(J
\
eelles-Ia
Con!
les pll\s
gr3nde~
qni om le
plus de;
eÓté~
QU
d'angle~.
D'ou
iI
f\lit qlle le eercle en
de !outes. les
6s~¡es,
qui onr la meme ci.reo_l1fér.nee
que lui eelle qui a le plQS de capacité.
Cette propofitio.n peu! fe
démon~rer aiC~\1\ent ,
fi
on
compare le eerde "u. feols poligones régulters . It en
facile
d~
voir
qo.~
de tOUi les po.! igones réguliers
ifopJ–
;'imttrn,
le cerele
.1\
eelui qui
a.
la plus grande
rurf.ee.
En effe!, fUPPQ.(bns par exemple, uo cerele
&
~n'
oao–
gone;
{éguti~r,
donr les <;OOtours_[oient, égauI, le leer-
,
e e