1000000039

•

O U

&e,

Itemacquu,</ue leo dimaoches & h:s Ute. Cont.eom–

pris daos le nombre des

jOH'S ae g,ace,

Voya"

Acc~-

PTAT10N.

JOUR NOMMÉ,

(COItt1l1trU,)

l>al~u d~

dlllgence,

dont

1<:

mahre ,'ell obligé d'arnver 3 eertall)

,ou,

pré.–

ñx daos le pOr! de Ca

~<lIioal;'.lO,

peine de

dimi~u

tioo de la moiti<! du ptlX porté par Ca Jeme de YOltU-

re.

Dia;o1t1lair~

de Com»urte.

JOUR DE PLAN!;HE,

(C9m""rf")

00 nomme amri

• Amllerdam

dans

les

autres villes maritirJ)es des

Provinees-

nies , le Céjoor que le maltre ou

~alelli~r

¿'uo bihimem freté par de< marchaod,\

eíl

oQli¡:é de

faire dans le

Ii~u

Con

arrivée, Caos qu'¡¡ lui Coil rien

dd au-del. du frel,

conv;ent ordinairement de ces

jou,s d,

pl."..h.

par la cl¡ar!e partie, ir-moil)s qu'ils oe

foiem ti xés ou par l'uCage ou p" des r!'glemens.

ROI~

terdam, rar e,emple & aUI eovirq!)', les b.aleliers

Con~

obligés de dOlloer trois

JOU'S

(1.

plancho;

cel}x de

Br3-

baO!, Flandres, Zélande, & <jes autres villes él'.alemeoF

dinantes d'Aml)erdam, en dqnneot cinq ou (jx, fllivam

.gran<j~ur

du bitlment; mais

apres ces

jours dr

pld/uh.

ou reglés ou eooveous, le

b~tim(!ot

relle ellco,

re chargé, le

march~od p~ye

la!)t par

fO'f'

par prqpor–

tion

¡¡

la graodeur, ou au prif

aecord~

pour le fPC,t,

Dil1i'ínl1a;re de

Cum1J!er; e.

]OUI<, JalJ/lNAL ;

(A,pmeag',)

graoele meCljre des

héritages: Cflre

d~oomionlioll

-eCJ

fort eo

uf.il!

:e en

~or"

raioe ; "'''

dit pour les rerres labourables

jours, '011'–

"""X;

pQur les prés fsuehés',

p()~r

les

forét~

'pmt:

11',(1

ccpendant qu'uoe

m~me

merure; elle e(}

COO1-

muoémellt dáns ce pay' de 2$'0 tOiees de Lorraine, Cer–

te toi(e

de",Ioogueor

piés de ' !.torraioe, le pié 10

pooe~,

le pouee 10 lig.nes;

"Ce

'lui fait environ huÍ! piés

neuf

p<JUce~

dix ¡¡giles, meCure de roi,

10VR,

t~rmt

ti'Ár,hitellltre;

mot,

s'entend de

tOt –

ou verture faite daos les murs par ou I'on

re~oit

la 1

miere,

'{lO

nomme au

(Jj

baye

Ol!

b/e ,

Jou, d,trit,

eelui d'une fentrre

haUle,!r d'appui,

FaHx-jQU',

celui qui éelaire quelque pelil lieu, com–

roe -une garde"robe, un

'retiaoeh~mel)I,

un pelil eCealier ,

J ou, J',"-halle,

celui qui Fa communiqué

par

3ba;our

qui oe, !ec;oil

I~ jou~

par le dÓm.,

foüpirail,

un~ l ueaF~e f~ltlere

de grelller, gén1ralemeDl IOUI

jo",

pns a

(jx

ou Cepl piés

q,e

ham ou plus,

J01!r-a plomb,'

celui qui vient direélemeot par-en-haut

com'me au Panthéon

Rome,

' ,

JOIf'

co';e,,"1"

voyéi

UE DE CQlJ. UME.

JOrtr d"fealie"

c'e(} le vuid. ou l'eCpace

qú~rré

01)

rond qui reae eDlre les

Jlmon~

droilS ou Tampans de bois

ou de pierre, Cur le[quels ea porté

.ampe de fer,

JOUR,

t,,,,..

a'Ho,log"i,;

c'e(l

eCpace qu'oñ laiC–

fe erilre deuI roues qui palreut l'uoe Cur I'autre, o'u eo:

tre les platines

ces roues, pot¡r empécber qu'eNes oe

fe toueheOl ,

~es

jou,s

de la grande roue moyennéa",ec

la platine des piliers

la grande roue;

du barrilfel

avec la p)aline du defrus

la grande roue, oe doiv'ent

pas ' étre trop cno(jdérables, ou, pour parler comme les

Horlqgers, ,doiyent

~rr~

pico

méoagé~;

atin de cooCer–

ver au barpller', & par

coor~quéDl

au graod refror!, le

plus de haulene qu'iJ ea poffible :

", '

] qUR,

(Peine"re,)

on oit qu'un tableau efi dans Coo

jou, ;

10rCque la Ipmiere 'lui 'fail qu'on le voi!', vient du

mémc e61é que eelle qui ée/aire les objets pcints daos

ce tableau ,

." ...

11 Y

a ,des auleurs qui ,

pr~~elÍdent

qll'on appelle

jour,

les

en<!:oJI~

les plus éclalrés d'ur¡ ,ableau; mais on

fetl pomt de ceue expreffion: 00 dit la

lumi,,,,

les

1,,·

mi,rú

d'un tableau,

non" les

jours

d'uo tableau : "

]OUR'S,

(R'fb,,!,ni,r,)

ouvrag,¿

j~Hr,

terme plus

prop~e

3U ¡(alon qu'a 10U¡ alllre ouvrllge, puiíqu'il n:y a

preCque que le galon qui

Coil

CuCeeprible <le pareil Ir.",aíl ;'

raremenr or¡

~r¡

ménag

Cue le< rUDao; ñgu,rés;

I~s

jON'S

foor des ornemeos pr311qu6s dans les defrems, qui hilf–

Cem effeélivemenl

ji""

les

eCpaee~

qr¡'iIs, doivem repr,e–

fenter

ces

jo~rs

Co,,! appellés

f~rpJ

j/pares,

parce qu'lls

font trayalllés chacu,,! fép,arément & I'un apres I'-autre

par 3111aot de' navettes différeme"; ce qui fail 'qu'il

y '

des

ouvr~g~

& méme

25'

ou '1.6 Mvertes:

quand les

jo"rf

Com pratiqués I'UD a cÓlé de l'autre

faul avoir

Coin

de ne Irav.ilier que q'oelque coup' de

~a~

V~tte

Cur chacuo de ces éOlps Céparés lam qulil

en a

a6n que le

b311~m

"pnifre' frapper le plus <!galemelll qu!¡i

ell ,

pom!>l~

ces coups

navetre, autremenllr",n raehe–

VOII entlllremenr

jour,

flui ea quslquefois de beaueoup

de, ces

~oups,

que 1'00 paffilt eoCuite ' :1 un aUlre I'é–

palfreur de ce

pr~mier

qui yieOl

d'~tfe

fait empecheroil

qu~

le balt".nt

1)"

fr3ppat"régulierement les' autres coupS

gUI

re(lc:nt a fa"e .

.. ,

,. .

, •

JOVil-1\

(1.1\),

Glog,

ile de

Arcltipel perire &

de–

ferIe; c'o(l le Gyaros des ¡lIIciens; life'lo ce qu'cn dit M,

Spon, !iol(le¡¡ills croyoit que

l'~ncienne

Graros <!to;t

Caloiro; mai.

pefition des

lieu~,

& le oom meme

]0..''',

qui n'e(l qu'l¡ne ,corruplioo d..

Gya,osb

illdi–

quellt que Graros &

JOII,a

Com

meme ¡le, (

, J, )

]OURD!).IN (LE),

Glqg, al,1{,

aujourd'hui

Schl,i""

riyiere de la Pdelline;

J'~tI'~"t

dans PaUtanfas,

]a,–

d.,,,is

dar¡s PJine,

xv,

Certe riviere, djt·il, qul

CC)rt

de la fOl)tline Panéas, ell

Ir~s-a¡¡réable;

/le

.U13m

que la tiluatioD <les ¡ieUl YQi(jos

1m permel, elle

f.il

111ille détours, comn¡e pour Ce

pr~ler

aux beCoins des ha–

¡¡liaos, & Icmble oe fe rendre qu'a

r~grel

dans

loo

Cphallique, (la mer Morte) ,

Jqu,dailf,

apr~s ~voir

liré Ca

Ceul~

fource de Pa–

lléas, forme

quelque

dilbnc~

le lae Sémélhop,

p~rcourt

(Caos pouvoir aequérir een! piés de largeur daos

le for,t de fon cours) enviroo fO lieues,

julqu'~

Con

embouchllre daos la mer M orJe, ol}

Ce perd. Se.

bords

COn! '

couverts de jQncs, de roCeaux, de callOes, de

C1ules, & d'3lltres arbres, qm font ao rapp,m de Maun–

dren, que peOdallll'été, on

afrez

peioe

voir

1'~11

de eette riviere,

l..¡e

pere Hardouin dérive fon num

I'h¿breu

JP'–

Ed,,,,

qui v'eut dire

ft."v,

d, D/pus;

c'e(l

Ca (our–

ce que plutieur.s 'menent le paradis lerrellre, cepeodaoc

J oCephe afTure que toule la pl.ioe qu'iI arrole e(l defer–

te, extrememellt aride peod¡nt

l'étC!,

que ¡'air en s:(l

IDal Cain a eaute de

l'e~cem"e

chaleur.

Quoi qu1jl

éñ

COil,

n'y

poir¡t de' tleuve,

je pui,

en parler alnli, plus célebre dans les livres Caerts: on

fllil par ,ceror les miraeles qui

s'op~reren!

dans

l~ ]~"'dai",

IQrfqu1il (e parlagea pQur lallfer un paífag!! lipre

aux HébreuJO;,

CqllS

cooduir~

de JoCué,

chap,

i¡,

perf

:'1,

[uivans;

lorf'1UI EHe

~1iCée I~

palferenl eo mar–

ehar.t fur les eaux,

IV, fiv , def Rois, c xj, v,

14,

10rCqu'EliCée tit matcher le fer de la coigllée qui

~lOil

tombée

d~l'Is

Jou,dain, IV,Iiv , d,s Rois, c,

vi,

,71: Enlio, 10rCque le

~~uveur

du mc:¡nde fot bapriCé

daos le rJ)eme tleuve, que le eiel

s~ouv_ril,

que le

Saim-Efprit defcer¡dit fur lui

il'faeh¡,u, eh, ii;,

16,

Cel¡e dern;er.:- cireonaance du

bap¡~me

de] : C,

dOIJ–

né aux Ohrétieos une grande

vénér~tioo

pour c;,tte pe–

tite riviere;

311ffi

c'éc'oit anciennement une dévotiqn gom....

muoe de

faire baptirer daos le

JQ~,aa¡'"

ou du-moins

de s'y baigoa,r, comme foOl encore 10US les

p~lerins

qui

pareonreot la Palellioe,

Voye",

GA>lGE,

(Q ,

'j, )

JOURNAL,

f. m,

(G,am, Litelrae,

Commua,

&c,)

mémoire de ce qui Ce fail,

de;

ce qui Ce

pa(J~

chaque

JOur ,

JOUR}/AL,

.en termes d, Comm,r",

ell un certain

livre ou regiijre, dont les M_rehands Ce [ervern peor

écrire jour par jour tOUles les affaires de leur c0ll!mer–

ce 3 mefure qu'elles Ce préCeoteql ,

Voy''''

MAN!!l!U; D,J':

TENIR LES LIVRES DE COMPTE,

, On doone aujourd'hui le nUID de

jou'1f~1

eertains

ouvrages 'luj contienoenl le délai! de

'lui Ce pafre JQur–

nel1emeof en Europe,

Voy''''

GAZETTE,

- JOURNAL,

(Liet/raeure,)

ou ouvrage

p~rlodique,

qui

cOOli~nt

les extraits des

Ijvre~

nouvellemem ia¡l'ri–

més, avee un délail des découvertes que I'on fail

~ou~

les jours dans les Ans & dans les Seiences,

Le premier

jou,,,,,1

de ceue eCpece qui ait paro eA

France, ell 'celui 'lu!on appe)le le

]oH'lIal <in

Sil"!!!"',

qm 3

~té

inventF pour le Coulagerpem

c;eu1( qoi font

ou trap oocupés ou trop par.eífeux ilour

IIre

les Iivees

enliers, C'ell un moye,o de Catisfaire Ca curiorilé ,

deveoir favaot

pell de frais, Comme ce deaeill a

p3<U

tres7cÓmmóde

tr~s-lItile ~- iI

a élÍ! imilé dans la pl¡1-

par! des aulres pays 'Cous une i06ñité de litres dífféTens,

De ce oombre -COOl les

AaQ

.rl';¡ieo~um

d¿ Leiplic,

les

Nouv,lI,s de IQ-rlpublit¡u, dtI Lett"s

de M, Bay–

le,

1" Biblioth''1H' ""i"",,¡_II(, ehoi/ie,

""ci.,,,,,,

f!!

modern,

ele M, le 'Clere,

'les Mlmoirn d,

rr,/v./ex,

&c, En 1692, Junekér ,a publié

én

lalin' un

'j",ait/

¡ji–

flo,i'lue'

des

journaux d,s Savans, pub)ils

divers e1f–

d'Dies d(

Eu,opi Juf¡u'J f,lfollt,

'VÓJliu~,

Struvios

Morhoff, Fabricius;'oOl falt a-peu-pres la

'm~l1lé choC~';

, Les rnémoires & 'l'híltoire de I'aeadémie des

Sci~ñ

ces, eelle de I'aeadémíe des Belles- Leures, les

Eph,–

n.~r;d~.r;

Mif(ellfl"~ff

natllYce

cl,ri~forum,

les

Sagg;

di Ha#flrali

.fp.,;,"Ú

ja#u

",1

'!f,!d,inia d,1 úmmto;

les

alla

p4ilo-txot;corllm

lIatur~

IIrtis,

qui ont

JY¡Jru

(lepuis Mal'5 1686, juCqu'en "Avril 1(\87,

qui Ibnt

une hilloire de l'aeadémie de BreCeia

¡'

les

_~11úl"n"a

Beroli1fmjia,

qoi roOl en lalío, l'hi(lolre de 1'3cadémie

royale des "Seieoces & Bdles-Leltres de Prulfe, qui en

en fran90is

: '~el com~tai[es

lie I'académie

impéd~lC;