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iovelll~' difpnr~"s
por l'lrt d'J IUlhier ponr
u prilller les fons 'u Uf'''l des VOil, ou
p,
Ur imile.
13
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COJ'!lpor~~
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e{/!curée (ur ce,
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m~:hioc<,
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C:la(fc· ,
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plulieurs que I'on
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" ifonoer ou ,vcc 1 ... doi"s
commc le 10th
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le rhcorbe
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13
óui,t~:lfe , 1~ h3f~
& r.
ClU
avec un areh , C'omme It violon
12
v:ole
I~
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marint, & c. ou
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le moyen
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rGU'tr~uI
C01n-
me l'épineuc. le ch_e llio , la " elle,
($,.
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Les
JIIjI"-""'~JlI
J
ve'le
ql1t rOIl
f-ait
p3r1~r
tlYCC
lo
bouche, co mme les
n
le , Iromoc e' ,
h~UI-bois,
bl C–
fons, ferpeos,
&
<.
00
avee des [.,Uraels ,
roon
me les
m ufctlcs , les ch.lemi.. "" loures,
&
1''''l:oe .
3°.
Les
;'fI""''''''
de percullion qu'on frappe foir
avee de boguellcs, comIDe le I.mbour
&
ks
limb.les,
fof,
3Vc~
de pe!i!S bAtons, comme le pfaherioo, foit
3\'~C
uoe plume, comme le cir!re, foit cono " ec des ml r·
te.utou des
~~U30S,
comme les cIl.>Ches,
&<.
VDva;
ces
;"flr..
""w,
il
kms ' Ilicles,
&
les figures des Plan–
ches de L mherie.
N ous obCenlerons [e"lemenl ici que choque
;"flru–
..mi .
ton treodue propre, fon e'prellioo
&
Coo
C2t:l–
a cre que le mu"cieo doi! bien eoon01l".
S'il parle
1';njJr"",,,,'
all-<lel:\ de f. v/!ri!able /!rendue
iI
le rendu .ign, fourd ou criard.
'
S'i1 ne cnnnoil pas Iho exprellion, il oe l'aDpliquera
pas dans ks circoor!aoccs
011
iI
aura le plus d'cffi,l .
C'dl lIoe por!;e trcs·imp"rlante de I'<!'lude d'un com–
pO"le'!.r,
<1.uecelle du canaere
d~s
;"jJr;¡m.",.
C . font
les VOl
X
dllféremes p3r lefquelles 11 parle
3
nos oreilles .
Mais ce n'er! pas alfez que de connolrre ch.que ;,,–
Jlrllmr1l'
eo particulier; il filUI encore avoir l'cxpérience
de l'dfel de leurs fons c" mbinés emr'col:
iI
ne f.u!
qnelquefois qu'une note de cors bieo placée, pour cau·
rer
J'~rnOlion
la plus violente .
11 n'y
3
po'nt de pbénomeoes daos la nature poiO!
de paffions, poliO! de f<mimens dans le C(Eur
de
\'holll–
me, qu'oo ne puilre imiler avec le m.!me
i"flr,.",,,,, ;
mai~
on ne peut pas dire qu'i1s Coi.m
lOUS
é~3lement
propres
a toU!e'.
ces imimioos ..Si les foos ••gus 'des
peure5 dUles f.
1001
eorenJre par IIHcrv311es dans la pein–
IUre d'uoe
lelllp~te,
ils lui donnerom beaucoup de _é·
rité. Les fans blS
&
lu ~uhres
des co« anoooccronl d!une
mani••e elfrayame l'grrivéc des fpeares
&
dl'S
ombrc~
.
il
iaU!
lam6r footenlr les fons des
¡"jJrllw"",
acorde'
tloró,
le.
pillcer,
é!jo.
'
Q ui
di-ce
qlli fail pum; oou. ce que j'appellerois vo–
lomiers la
p,,{pdl'7Jt mllJi<alt
1
Un
n'in venl~
plus
d'¡"f/rllm,,,/,
&
il
1
en a
alfoz d'in–
..eorés; mais je erois qu'il y a beaucoup de dé'couver–
tes a
f.~ire
fu, Icm faau«.
L.
flaUre
a
pour "bjcI la m. tiere
&
la forme. Com–
bien d'e, périence.
i
f.ire fur l'tllle
&
I'aulre .
L. m' liere compreod le ehoix des
ís
&
Ictlr pré-
p3rat!On.
La
for me comprend le rapport du pldn.u vuide les
cootours , les
ouvertur~s,
les
~pai(feurs ,
les
longuc:~trS,
Ja,~ems
&
protondeu.. , les accords, l. , cardes , les
touches,
&
e.
J
N . T R U M E
NT
E R,
v. n.
(]lIri{pr.J.)
f1gni·
fie
t_Tpl",,,~,
re evoir lIn .a. poblic. L es gretliers, hUlf–
tiers, notancs ne pellvem
mjlrllmr.Jlter
hors de leur reC–
fOr!.
(A)
J N
S U fiEl
ES,
(GID.(. a"e.)
aocien peuple d'Jralie
c1ans l. Gaute cifalpinc; il5 /!lObn voitios des Céllo–
m.osfcloo
P
Iybe quí en parle comma d'une n3!ioo
puilf,nte.
M
:hn qlt'ils fonderenr élO;l kur capllale ' i1s
n'occupoienr du Milanet felon le P. flriel, que les' vil–
les de
M
ilau. de Ludí . de Creme . de GherrJ
&
POllle–
{tu-Pieleo .
Les
Orolliens, les Lépomiens
av~ienr
auffi
leur part du p.'ys, qui porte aujoued'hui le nom de la
C1Ipirak des
1,,{II:
ri.NJ.
(D.
].)
• I
U
t
F I
S
A
N C
E
r.
f. (
Gra.,..
)
il fe dir
des chofes
&
des
perfollnrs.
L'¡"r"ffirtl""
coulillo d. ns
le rapporl. des moyens empl" yés,
&
de I'elfer
3
proóui,..
Je COOO?IS
I~on
,.f"J/rJal"<,
c'dl-¡·dire, J'ai com re
_ qoe Je pals
~vec
ce qu'oo cxlge,
&
1'oi recoOJlu qu'tI
1
s
ti·
m
(t\ ,
"Hi–
plu
lis!c
t
s'Hoocr
4
fo · m me
ti
n ,. ,.,.
J.,',
J
fe f¡)Un
.~
ni
l 1\1-
dTus
de
11
f
rc.:s,
que
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ace,,!" "f ,
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que
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Ire
OtrofralC'lll
sCt'&hlt
2t!X
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du pubhc
~
I
'>
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O ,f.
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U.J. )
.aion
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fouldcr diOS quel'luo
O"
l<! do (""r •
p
ur lu nf.lIct–
tf"
a
qoelqoe
JtII
affi!d "e le remede qui lui
CO(\" l:nl,
&
qui pCUI lui
tu.
Ippliqu '
el
celle
!nln'
r~ .
lAs
,<–
me es U I""cm"" de
f.
néc
de
hI
c
10111
un
.Cpe-.
d" .J-"/'fiJm" .
• 1
L IRE,
r.
m.
(Gr• ••. )
qui
b~'te
une
ik.
Les
;.[_/4in s
té :uls d
~UIfCS
hommes, roal plul
long·tems
A
fe policcr.
Le
Rumo;ns lppelloknr
¡.r"I"¡,,,
, •
0. ("rot '10'.11
prépotoil l b s ude d.,¡ machin
iroll~;
1°. ctU
qu'
U"
employo
t
po. r fe flire ra)er des lucat\lircs d'ulle
lJ1.if'l1;
~o. d~'S
efclaves
If,"fpot(~s
¿:ms des iles,
&
cunü nné
3U~
oO "ra,'" publics.
I , ' S U L TE,
f.
f . (
Gr"",.) ((pec"
d'inJure acrom–
~'~I\éc
de meprí .
I~'J<:'
INJURF
~
Mtr..
l .
n
'''/lIlu
ou
par une
I
Mn ou
p
r un dtfcoa.!. ou par un
écri!, ou pu un rcg'rd, ou p2r
UI1
¡¡eRe.
11 Y•
m~'
me un fileltce
h
,r.It~",.
L e filente
,.¡.II'
lorfqu'it mar·
que :. celui qui
a
p:lrl~
le mcpris
~u'nn
f.h
de
ce qu'n
a dir. On
¡"[,,II'
iI
la miCerr p" 1onenradoo de
11
ri-
chellc.
.
•
In(:/I"
&
¡"r"lter
Ont une acccption p'rticaliere
i
l' rt
m;Ii!~íre.
On
¡n[Hlu
Dne place en l'
Jlt~qulnl
bruf" u.'
mem
& "
d~couverr.
Ceue pltee ,,'ell plS oche,·te,
m~;s
"Ir
ell horS
d';'.{.lf• .
La dj(bn e
~
laquell" nou,
COlO,"-S de l'cDormí nOIl$
10«
iI
I'.b,i de
1',,,[.1,,.
I
N
U
L TER,
(lI1"r¡.,. )
c'ell
31"\~Uer
UII .tiC–
fcau
&
lui C311rer quelquc d m",.ge .
(Q)
• INSU PPO RTABL E, adj.
(lir...... )
qu'"n
ne peUI fupporter.
11
f. dit de< chufes
&
des perfonoes.
Le Joug dc 13 ryrannie devicm
¡.fllppDr'4H.
a
forCé Je
s'appef31llÍr . Cet hom,"e eC!
;,,["pport
,.1.
ovec
(cs
IOsa–
.aif~s
pla;fanteries _
A
vec be.ucoup d'"lplÍl
ulI
f~
rcnd
¡"ft,ppo,,""le
d!ins
b
coo'·crC.liun, l\lrfqu'"u 1'.Ctire
1
[o; lOute emiere . vec des talen!
&
des verm on
fe
rend
¡"[,,p/l.rlilhl,
dans la fodé!/! pu des défauls
Ic!~~r$,
mois qui [e font femir
¡¡
tOUI momenl . Si on ne
~'oc
cupe Cérieuremcnt d'alleger aux aUlres le poid, de la
ro–
péti\Jriré qu'un a
(ilr
<'nI,
i1s
ne ludeO! po>
i
le !rou–
ver
"'{lIppo,,"b/e.
• 1
'<1
S U R M O N T A B
LE,
a
jj.
(Gr...",. )
qui
ne peul
étr.
iuranonré. Le hof.,d, l. milere,
&
d'.m–
tr<'S circnnnanees noos UPOCCllI
1
des lCn!Jlino$ pJ<fqu'
'''[I/r''''''tablu .
Les prnjels quí paroi.rent le, plus
C.cj–les
'0
prom'er
cou~,
plc!l"mem ell lu;re des dicliculté,
¡nft,rmo1llabl" .
Lorlq
t
nnus ju)(eon qu'ul1e eh fe en
",¡,,",,"'''Iabl.,
c'ell par le rappo"
des
moyel1s aux
b.–
lbcles. Ainli ce joge01eut fuppofe dcuI chole, bien con–
IlUC"
la force des morens
&.
IJ granJeur des obll.c1es.
1N S U R ,( Ji:
e
T O N,
r.
f.
(H,ft.
tUI,
)
on
nommo;t .ioti le dro'l de foulevcmen<
~ceordé ~U(
c i–
loyans de Crele" lorfque la magill,.lure abufoil de r.
puilf.nce
&.
tranlgreflOlI Irs lois . Alors
iI
élOit permís au
peuple de fe foulerer, d. chalTer Ces rnagillrau eoupa–
ble; , de
le~
obl;gcr de rentrer .l3ns la ('ondiliaR
ptiv~e,
&
c!'en nl1mmer
d'~u"CI
1t
leur place .
Une inllirul;oo
par.mequi perm.IloÍl la rebellion poor
emp~eher
I'Jbus du pouv";,, ferobloll devoir "lIverCer
quelque république que ce
fO';
tlle ne
d~lruiCoil
pOl
cependan< celle de Crcle, paree que c'tloil le veaplc
du monde qui avoil le plus d'amour pour l. palrie,
&
la (orce de ce grand yrincipe I'cntr.inoil uniquernrnt
daos res
d~mlltcfies.
N
~
cnlgRan! que les ennemis
du
dchors, il
commen~oil
toujuurs par fe rtunir de
ce
có–
té-la, a-am que de rien entreprendre "u-dcdaos , ce qul
>
'appelloil
fyn"it¡{mr,
&
c'ell uoe belle exprcffion .
L es lois de
Polo~ne
ont de nos JOuu leur .fpece
d't;lIf"rn!1iolf,
Icur
librrllm
Vd_;
milis ourre que cclte
prtrogalive n'apP'flicnl qu'au! nobles daos les dictes ,
OUlre que le, bonrgeoí. des villes fom fan, au!orilé,
&
les
l
'2yf.osde malheureux cfelaves ; les incoovéniens quJ
réfllltent de
ce /ibullm
"'JD,
fon! bien volr, dil M . de
Monrefquiou, que
le
fenl pcuplc de C,ete tlO;1 en élar
d'employer un pa,eil remede,
tao!
que l., principes de
Icurl:0u,.elllemclII reRerenl
[~ins.
Ji.[prie Jo
1,",
/i ,
VII .
ehap.
9.
( /J .
1.)
I
N·TA
KE R ,
r.
m.
( H ifl.
",.d. )
/l"m
que I'on
donna .utrefo;s
i
eer[llin! bandlls qui
h~biroicnl
ooe par–
lÍe du nord d'Anglercrre,
&
faifoie"l touveol de, rOur–
Ce. lutque d:ms le milieu de l'EcolTr, pour en pille,
k.
tubil. US.
CtlU