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6ó4-

1

s

des .

p:ndJ'2!e

'C'II

tU

ce qu'cllcs di ¡>enr"". de I'cm!"oi

de

~

,.

i,.mt'.J.

q!

di

d:tlici;C'

or aur: qoi oc

roO!

1'2< án<

l'

!)

lude dI.; m10·.r.

(J

1

"H ..

f '

T .

( JI-,

""lr_H1u.)

iI

S'''I''''''

1 •

liS

les

OUt

I

t

do.u on

01J\rr:cr

le

'~.rr

ur f.tiu: P

Ii'

f.t.

.

lem uf,,, o.

'''¡te.

Ce

.h!I2.1

ricO! 1I',e

l\~ndc

pI>

dlm ce D la ionJUire ,

&

i"or

nir>

un guoJ nombre dc

P llor".. .

., I NST O.

'EN~,

( .lhli,.

($

L.rh

.)

ce

fonl det ma-

chio..

iovelll~' difpnr~"s

por l'lrt d'J IUlhier ponr

u prilller les fons 'u Uf'''l des VOil, ou

p,

Ur imile.

13

?Oil nllrorclt ¿e I'htlrnmr. Ll m'Jfique

COJ'!lpor~~

rotU

~tr.

e{/!curée (ur ce,

ro ".

de

m~:hioc<,

fe nomme ;.–

flrU"'

!ltIl.lt

.

011

13nge

ordiol irrment e

ir¡

~rlllnrJlI

(ous

(( lis

C:la(fc· ,

ravoir,

, o.

les

;"pr."'tll./1I

cordes:

ils en

00[

plulieurs que I'on

f:ú

" ifonoer ou ,vcc 1 ... doi"s

commc le 10th

t

le rhcorbe

1

13

óui,t~:lfe , 1~ h3f~

& r.

ClU

avec un areh , C'omme It violon

12

v:ole

I~

'trom.

~tlC

marint, & c. ou

p:\f

le moyen

de!

rGU'tr~uI

C01n-

me l'épineuc. le ch_e llio , la " elle,

($,.

'

.le).

Les

JIIjI"-""'~JlI

J

ve'le

ql1t rOIl

f-ait

p3r1~r

tlYCC

lo

bouche, co mme les

n

le , Iromoc e' ,

h~UI-bois,

bl C–

fons, ferpeos,

&

<.

00

avee des [.,Uraels ,

roon

me les

m ufctlcs , les ch.lemi.. "" loures,

&

1''''l:oe .

3°.

Les

;'fI""''''''

de percullion qu'on frappe foir

avee de boguellcs, comIDe le I.mbour

&

ks

limb.les,

fof,

3Vc~

de pe!i!S bAtons, comme le pfaherioo, foit

3\'~C

uoe plume, comme le cir!re, foit cono " ec des ml r·

te.ut

ou des

~~U30S,

comme les cIl.>Ches,

&<.

VDva;

ces

;"flr..

""w,

il

kms ' Ilicles,

&

les figures des Plan–

ches de L mherie.

N ous obCenlerons [e"lemenl ici que choque

;"flru–

..mi .

ton treodue propre, fon e'prellioo

&

Coo

C2t:l–

a cre que le mu"cieo doi! bien eoon01l".

S'il parle

1';njJr"",,,,'

all-<lel:\ de f. v/!ri!able /!rendue

iI

le rendu .ign, fourd ou criard.

'

S'i1 ne cnnnoil pas Iho exprellion, il oe l'aDpliquera

pas dans ks circoor!aoccs

011

iI

aura le plus d'cffi,l .

C'dl lIoe por!;e trcs·imp"rlante de I'<!'lude d'un com–

pO"le'!.r,

<1.ue

celle du canaere

d~s

;"jJr;¡m.",.

C . font

les VOl

X

dllféremes p3r lefquelles 11 parle

3

nos oreilles .

Mais ce n'er! pas alfez que de connolrre ch.que ;,,–

Jlrllmr1l'

eo particulier; il filUI encore avoir l'cxpérience

de l'dfel de leurs fons c" mbinés emr'col:

iI

ne f.u!

qnelquefois qu'une note de cors bieo placée, pour cau·

rer

J'~rnOlion

la plus violente .

11 n'y

3

po'nt de pbénomeoes daos la nature poiO!

de paffions, poliO! de f<mimens dans le C(Eur

de

\'holll–

me, qu'oo ne puilre imiler avec le m.!me

i"flr,.",,,,, ;

mai~

on ne peut pas dire qu'i1s Coi.m

lOUS

é~3lement

propres

a toU!e'.

ces imimioos ..Si les foos ••gus 'des

peure5 dUles f.

1001

eorenJre par IIHcrv311es dans la pein–

IUre d'uoe

lelllp~te,

ils lui donnerom beaucoup de _é·

rité. Les fans blS

&

lu ~uhres

des co« anoooccronl d!une

mani••e elfrayame l'grrivéc des fpeares

&

dl'S

ombrc~

.

il

iaU!

lam6r footenlr les fons des

¡"jJrllw"",

acorde'

tloró,

le.

pillcer,

é!jo.

'

Q ui

di-ce

qlli fail pum; oou. ce que j'appellerois vo–

lomiers la

p,,{pdl'7Jt mllJi<alt

1

Un

n'in venl~

plus

d'¡"f/rllm,,,/,

&

il

1

en a

alfoz d'in–

..eorés; mais je erois qu'il y a beaucoup de dé'couver–

tes a

f.~ire

fu, Icm faau«.

L.

flaUre

a

pour "bjcI la m. tiere

&

la forme. Com–

bien d'e, périence.

i

f.ire fur l'tllle

&

I'aulre .

L. m' liere compreod le ehoix des

ís

&

Ictlr pré-

p3rat!On.

La

for me comprend le rapport du pldn.u vuide les

cootours , les

ouvertur~s,

les

~pai(feurs ,

les

longuc:~trS,

Ja,~ems

&

protondeu.. , les accords, l. , cardes , les

touches,

&

e.

J

N . T R U M E

NT

E R,

v. n.

(]lIri{pr.J.)

f1gni·

fie

t_Tpl",,,~,

re evoir lIn .a. poblic. L es gretliers, hUlf–

tiers, notancs ne pellvem

mjlrllmr.Jlter

hors de leur reC–

fOr!.

(A)

J N

S U fiEl

ES,

(GID.(. a"e.)

aocien peuple d'Jralie

c1ans l. Gaute cifalpinc; il5 /!lObn voitios des Céllo–

m.os

fcloo

P

Iybe quí en parle comma d'une n3!ioo

puilf,nte.

M

:hn qlt'ils fonderenr élO;l kur capllale ' i1s

n'occupoienr du Milanet felon le P. flriel, que les' vil–

les de

M

ilau. de Ludí . de Creme . de GherrJ

&

POllle–

{tu-Pieleo .

Les

Orolliens, les Lépomiens

av~ienr

auffi

leur part du p.'ys, qui porte aujoued'hui le nom de la

C1Ipirak des

1,,{II:

ri.NJ

.

(D.

].)

• I

U

t

F I

S

A

N C

E

r.

f. (

Gra.,..

)

il fe dir

des chofes

&

des

perfollnrs.

L'¡"r"ffirtl""

coulillo d. ns

le rapporl. des moyens empl" yés,

&

de I'elfer

3

proóui,..

Je COOO?IS

I~on

,.f"J/rJal"<,

c'dl-¡·dire, J'ai com re

_ qoe Je pals

~vec

ce qu'oo cxlge,

&

1'oi recoOJlu qu'tI

1

s

ti·

m

(t\ ,

"Hi–

plu

lis!c

t

s'Hoocr

4

fo · m me

ti

n ,. ,.,.

J.,',

J

fe f¡)Un

.~

ni

l 1\1-

dTus

de

11

f

rc.:s,

que

d

ace,,!" "f ,

~

que

'ro

Ire

OtrofralC'lll

sCt'&hlt

2t!X

Y

tUl

du pubhc

~

I

'>

U

r

F L

TI

O ,f.

f_ (

U.J. )

.aion

ele

fouldcr diOS quel'luo

O"

l<! do (""r •

p

ur lu nf.lIct–

tf"

a

qoelqoe

JtII

affi!d "e le remede qui lui

CO(\" l:nl,

&

qui pCUI lui

tu.

Ippliqu '

el

celle

!nln'

r~ .

lAs

,<–

me es U I""cm"" de

f.

néc

de

hI

c

10111

un

.Cpe-.

d" .J-"/'fiJm" .

• 1

L IRE,

r.

m.

(Gr• ••. )

qui

b~'te

une

ik.

Les

;.[_/4in s

té :uls d

~UIfCS

hommes, roal plul

long·tems

A

fe policcr.

Le

Rumo;ns lppelloknr

¡.r"I"¡,,,

, •

0. ("rot '10'.11

prépotoil l b s ude d.,¡ machin

iroll~;

1°. ctU

qu'

U"

employo

t

po. r fe flire ra)er des lucat\lircs d'ulle

lJ1.if

'l1;

~o. d~'S

efclaves

If,"fpot(~s

¿:ms des iles,

&

cunü nné

3U~

oO "ra,'" publics.

I , ' S U L TE,

f.

f . (

Gr"",.) ((pec"

d'inJure acrom–

~'~I\éc

de meprí .

I~'J<:'

INJURF

~

Mtr..

l .

n

'''/lIlu

ou

par une

I

Mn ou

p

r un dtfcoa.!. ou par un

écri!, ou pu un rcg'rd, ou p2r

UI1

¡¡eRe.

11 Y•

m~'

me un fileltce

h

,r.It

~",.

L e filente

,.¡.II'

lorfqu'it mar·

que :. celui qui

a

p:lrl~

le mcpris

~u'nn

f.h

de

ce qu'n

a dir. On

¡"[,,II'

iI

la miCerr p" 1onenradoo de

11

ri-

chellc.

.

In(:/I"

&

¡"r"lter

Ont une acccption p'rticaliere

i

l' rt

m;Ii!~íre.

On

¡n[Hlu

Dne place en l'

Jlt~qulnl

bruf" u.'

mem

& "

d~couverr.

Ceue pltee ,,'ell plS oche,·te,

m~;s

"Ir

ell horS

d';'.{.lf• .

La dj(bn e

~

laquell" nou,

COlO,"-S de l'cDormí nOIl$

10«

iI

I'.b,i de

1',,,[.1,,.

I

N

U

L TER,

(lI1"r¡.,. )

c'ell

31"\~Uer

UII .tiC–

fcau

&

lui C311rer quelquc d m",.ge .

(Q)

• INSU PPO RTABL E, adj.

(lir...... )

qu'"n

ne peUI fupporter.

11

f. dit de< chufes

&

des perfonoes.

Le Joug dc 13 ryrannie devicm

¡.fllppDr'4H.

a

forCé Je

s'appef31llÍr . Cet hom,"e eC!

;,,["pport

,.1.

ovec

(cs

IOsa–

.aif~s

pla;fanteries _

A

vec be.ucoup d'"lplÍl

ulI

f~

rcnd

¡"ft,ppo,,""le

d!ins

b

coo'·crC.liun, l\lrfqu'"u 1'.Ctire

1

[o; lOute emiere . vec des talen!

&

des verm on

fe

rend

¡"[,,p/l.rlilhl,

dans la fodé!/! pu des défauls

Ic!~~r$,

mois qui [e font femir

¡¡

tOUI momenl . Si on ne

~'oc ­

cupe Cérieuremcnt d'alleger aux aUlres le poid, de la

ro–

péti\Jriré qu'un a

(ilr

<'nI,

i1s

ne ludeO! po>

i

le !rou–

ver

"'{lIppo,,"b/e.

• 1

'<1

S U R M O N T A B

LE,

a

jj.

(Gr...",. )

qui

ne peul

étr.

iuranonré. Le hof.,d, l. milere,

&

d'.m–

tr<'S circnnnanees noos UPOCCllI

1

des lCn!Jlino$ pJ<fqu'

'''[I/r''''''tablu .

Les prnjels quí paroi.rent le, plus

C.cj–

les

'0

prom'er

cou~,

plc!l"mem ell lu;re des dicliculté,

¡nft,rmo1llabl" .

Lorlq

t

nnus ju)(eon qu'ul1e eh fe en

",¡,,",,"'''Iabl.,

c'ell par le rappo"

des

moyel1s aux

b.–

lbcles. Ainli ce joge01eut fuppofe dcuI chole, bien con–

IlUC"

la force des morens

&.

IJ granJeur des obll.c1es.

1N S U R ,( Ji:

e

T O N,

r.

f.

(H,ft.

tUI,

)

on

nommo;t .ioti le dro'l de foulevcmen<

~ceordé ~U(

c i–

loyans de Crele" lorfque la magill,.lure abufoil de r.

puilf.nce

&.

tranlgreflOlI Irs lois . Alors

iI

élOit permís au

peuple de fe foulerer, d. chalTer Ces rnagillrau eoupa–

ble; , de

le~

obl;gcr de rentrer .l3ns la ('ondiliaR

ptiv~e,

&

c!'en nl1mmer

d'~u"CI

1t

leur place .

Une inllirul;oo

par.me

qui perm.IloÍl la rebellion poor

emp~eher

I'Jbus du pouv";,, ferobloll devoir "lIverCer

quelque république que ce

fO';

tlle ne

d~lruiCoil

pOl

cependan< celle de Crcle, paree que c'tloil le veaplc

du monde qui avoil le plus d'amour pour l. palrie,

&

la (orce de ce grand yrincipe I'cntr.inoil uniquernrnt

daos res

d~mlltcfies.

N

~

cnlgRan! que les ennemis

du

dchors, il

commen~oil

toujuurs par fe rtunir de

ce

có–

té-la, a-am que de rien entreprendre "u-dcdaos , ce qul

>

'appelloil

fyn"it¡{mr,

&

c'ell uoe belle exprcffion .

L es lois de

Polo~ne

ont de nos JOuu leur .fpece

d't;lIf"rn!1iolf,

Icur

librrllm

Vd_;

milis ourre que cclte

prtrogalive n'apP'flicnl qu'au! nobles daos les dictes ,

OUlre que le, bonrgeoí. des villes fom fan, au!orilé,

&

les

l

'2yf.os

de malheureux cfelaves ; les incoovéniens quJ

réfllltent de

ce /ibullm

"'JD,

fon! bien volr, dil M . de

Monrefquiou, que

le

fenl pcuplc de C,ete tlO;1 en élar

d'employer un pa,eil remede,

tao!

que l., principes de

Icurl:0u,.elllemclII reRerenl

[~ins.

Ji.[prie Jo

1,",

/i ,

VII .

ehap.

9.

( /J .

1.)

I

N·TA

KE R ,

r.

m.

( H ifl.

",.d. )

/l"m

que I'on

donna .utrefo;s

i

eer[llin! bandlls qui

h~biroicnl

ooe par–

lÍe du nord d'Anglercrre,

&

faifoie"l touveol de, rOur–

Ce. lutque d:ms le milieu de l'EcolTr, pour en pille,

k.

tubil. US.

CtlU