J
A M
1Í'2te
2rií1lc.a
n
le
cheTal lJllIoie
g.l.llC:'.
oUlcn:~
nn
cheval d'ooe ou de deox
Jamba.
VOj<::'
So TL·IR .
L ,litrer tombe!
Ces
}am}",.
/Toye~
To. IflER.
App.o~ber
les
gru des
Jam6" .
Vo
ez
ApPROCIIE k. On dit du
chc:val qui devicOI Cenlible • I':¡pproche del
Jamba
de
I'homme, qo'il commcnce
2
preodre les aides des
/am–
bes.
Connoltrc, abé ir , répondre aux
J"",bes,
fc dit da
cheval .
Yoyu.
ces termes
~
lcon Icures. Courir • tou–
les
)om6es. Yoyez
COUR IR .
I...
MHES ,
de
jill",
( I<rme de ri",;u •. )
c'en la partie
8'un bateau foncct, Cervam retenir les rub3n du m';t .
IA
M BE,
r.
m .
(Littlr.) ram61"
,
terme de proCodie
#:Toque
&
latine, pié de vers compoCé d'"ne breve
&
d'unc
longu~,
cornmc dans
e,;
1 A;,.,
D i;
1
»:;;;.1 .
S")I/–
taha
I01fga
b,.~v~
fllhJtBa
1JOCftlIlT
;llmhH/,
CQllIme te
~dit
H orace, qui I'.ppelle .um un pié vile, rapide, p.r
crt,tI .
Ce mot, ('elon quelqu«-uns, tire
Con
ori~ine
d'
lam-
'b.,
61s de Pan
&
de l. nymphe Echo , qoi invento ce
p¡~,
00 'lui n'oC. que de poroles
choqu.nt&
de Cao–
glaDles mllleries
~
I'égud de Ceres
affiig~e
de
h
perte
Oc
ProCerpine. O'autres aiment mieax tirer ce ma l du
~rec
'It 1
V'/~"lIm
t
vcnin,
00
de:
ift}loIA,~
..
1
ma/etJico ,
je
méd:s; paree que ces
vcrS
compofés
d',ambn,
furcnt
d'obord employé dans la Catyre.
,piO.
de Tr/voux.
11 Cemble qu' Archiloqoe, telon
HM.ce, en ail <lIé
l'mvcOIeur , ou que ce verS ait <lté parrieulielemcnt pro–
pre
a
la COlrre.
Archiloch"m proprio rabín
nrnflf'V;J ¡ambo .
Art Poce
V Oln
'AMnIQ
E.
J
1\
M 13 E' , adj,
f.
(Marld",/lerie.)
bien
jnmbl,
ou
bien de l. jambe; bien dans
les
t310ns, dJns la main.
Y oy<::.
TAr.O "S
&
MAl :"; bien en Celle,
"oyez
S ELLE,
jAMBEIRO,
r.
m .
(8.1.
ex••. )
nom qlle les Por–
tugai donnenr :; I',rbre des Indes orienl.les , <¡ui parle
le jambas, fruit de la grotreur d'une poire, rouge-ob–
fcur eo couleor, faos noyau,
&
Ircs-agréable au goOI .
L e
jombeiro¡
crott. la haUlcur d'un pruoier, jelte nom–
bre de brancnes, qui s'é,endent au long
&
ou large,
forment un grond ombrage
&
un bel aCpea; fon éeorce
en litre, de couleur griCe-celoldrée; fon bo:s
di
ea(faO[;
fa feuille rclfemble de tigure au fer d'uDe laoee; dIe eO
uoie, d'un \'erd-brun par le haot ,
&
d'un "erd-e1air
ar le bas,
Cos
/leurs COOl rouges-purpurines, odolantes,
'un ¡¡oOt aigrelel,
&
001 au milicu plufieurs émmines.
et orbre fou rnil loute I'année des /leurs
&
des fruils
vcrds ou mOrs; 011 les cantil avee du lucre.
( D.
l .)
JAMUETTE,
C.
f.
(Charpentcrie.)
en une plece
de bois , gui fe mel au pié des chevrons
&
Cur les en–
coyures .
Yoye::.
'101
P lanches de Charpmu.
• JAMBETTE ,
(Pelleta;'.)
c'eO la Ceconde eCpecc
de Pelleteric, quc les
-1
urcs lirem de la peau des mar–
tres-~ibelines ;
elle ell fort inférieure
a
la marlre pro–
prelllenl dile, ou eelle de I'échine
b
&
fOlt Cupérieure
lIU
Camoul-bacha ou celle du col. n en pourroir avoir
enCOre une qu:uriemc eCpcce, du venere; mais on o'en
(ait aucun eas, fur-tout :; Coon.minople.
J AMBI ,
(Glog.)
royaume des Indes CUI
la
eÓle de
)'tle de Sumat.. ; on n'y coooott qu'une Ceule ville filuée
fur une riviere qui forme un aUe1. be.u golfe .
(D.
J .)
jAM13IER,
r.
m.
en Anatomie,
en un nom que I'on
donne
iI
deux mufcles de la jamb:, donr 1'1\0 s'appelle
~&lricllr,
&
I':lutre
pofllriu¡r.
Le
jttmb;tr
anlériellr
ot de l. parlie inférieure an-
térieure du condile externe du tibia,
&
,'avance le long
de 1:1 parric
:ll1téri(ure
de cet os,
deViene pcu-a-pcu
large
&
eharnu vers Con milieu; enCuile
iI
Co
relrécil
&
forme
un lendon
gr~le
&
uni qui parre Cou, le ligameo, annu–
lairc,
&
va s'inCérer
:lU
grand os cunéiforme
a
l'os du
mé,atarCe qui f" lIrienl le gros arteil . La fona ion de ce
muCcle
dI
de lirer le pié eo-ha\ll.
Y oyez
oos
Planches
J'
A"otomic.
L e
jambier
poOc!ricur viem du libia
&
du pérooé,
&
du ligameOl interorreux;
Con
tcndon qui en forl
&
ulli
parrc sous le I!gamellt arinul.ire par te finus qui
ca
der–
~iere
ta malléole interne,
&
va s'ioCérer a la panie iu–
terne de t'os Ce. pho'ide.
VOJe::.
nos
Planches 'mae.
P ctie
;a»1bit:T
pollérieur,
'lIO)'t".t.
PLANTA l RE.
IAMBIQUE, adj.
( Lilter.)
efpece de veIS com–
pofé emieremcllt, ou, pour la plus grande par de , d'un
pié qll'on appclle
iambe. V oye::.
L~MnE.
Les vers
rambi'fltu
peuvem etre conlidérés ou Celoo
la
diveróté des pié. qll'ils
re~oivenl,
ou Cdoo le nom–
bre de ICllIs piés . Dans ehaeun de ce genre,
iI
Y
a trois
cCpeees qui 001 des noms différens .
10 .
Les PlllS
'Amb;'{uCI
Can! ceUl qui ne fom com–
pofés que
d',am fes,
camIne la 'luatrieme piece de Ca–
~lIe ,
faile
i
la louaoge d'uo v:l.Itreau .
erO/1le
YlI!.
J
A M
Phsftl . ,
¡l/e , '{lIem
",i,útir ¡'ofpii<s .
La
Ceconde efpece COO! eeol qu'on appelle limpl....
meot
,amba
ou
,ambifj,leJ .
Ils o 'oot des i"ambes
qU':llU:
plés pairo , encare y met-oo quelquctms des lrIbraquc.,
<:%eepc:é 3a demier qui dolt tOuJours
~trc
un
,ad,;
&
~ux
impairs des Cpondé«, des ampelles ,
&
m~me
un
da&yle .u premier.
T
el
eO celui que 1'00 cite de la
M édée de Seneque .
Seruar, potui, pud,re
an
poffim r.gas !
La
Iroifieme efpece
Conl
les veIS
,omb;'{lus
libres,
qui n'onl par néceillté d'i"ambe qu'3u dernicr pié , com–
me tous les verS de Phedre .
Amín;#- meritó prop,.;um ,
'111;
a/im.J(m
np!'I;f.
D30S tes comedies, on ne ,'en pas plus géné,
&
peut-~tre
mnius encare, comme on le voit daLls Plau,(!
&
daos T érence, m3is le fi¡ieme pié en 10t'lJours ill–
difpeoCablemenl un
II"" b•.
Quam aur variélés qu'apporte le nombre de Cyllabes ,
on appelle
¡amb.
ou
,ambi'{lu
dimelrc cclui n'
3
que
quatre piés.
fl!urTllltMr in
jylfJis
aVeJ .
CeuI qui en oot lix s'3ppellem
tr;metru,
ce
COI1l
le;'"
plus bcanI,
&
ceu. qu'on emploic pour le théatre, fm–
loul pour l. tragédie ; ils COO< ln6niment pr éférables
' ux
vers de dix 00
dO\l~e
piés en "Coge dans nos picees mo–
dernes, parce qu'i1s .pprochenr plus de la proCe ,
&.
qu'ils
Ccmeot moins I'.rt
&
I'affeélalion.
Dii
~o1dug
..leJ,
llItlue
genia/is 'ea,.;
Luci"a cúJlos, &c.
Ceux qui en 001 huil fe oommeot
tltrnmetres,
&
t'on
n'en Irouve que dans les comédics.
P(cllniam in /0(6
negligere,
maxim1lm
/lfterdlun
cfl
/¡¡(rllm .
Terellt.
Quefques-un; ajoüecnt un
r"mbre
monometre, qui n'a
que deuI pié• .
Virtul beat .
00 les appclte
monometrn, dit1lctru, erimdrn
&
Il–
tramdrcs,
c'eO·a-d ire, d'une, de dcux, de troís, de
quatre meCures, parce qu'une meCure étOil de deux piés ,
&
que les Grees les meCuroient deux piés :; deux piés ,
ou par épilriCCS,
&
en joignant I'rambe
&
le fpondée
enCemble .
Tous ceux doOl 00 a parlé juCqu'ici fonl parfails, ifs
onl leur nombre de piés complets, fans qu'il y manque
rien, on qu'il
y
ait rien de
trap.
Les imparfaits Com de trois Cortes; les calalcéliqucs 3Ul–
quels
iI
manque une
Cyl1.be.Mllf'" jovem cnneb",st.
Les brachyc:uateaiques auxquels
iI
manque
un
pi&
eoticr.
MlIf.e jovil gnatd!.
Les hypcreataleaiques qui f01l1 ceux qui
OIH
une Cyt –
labe ou uo pié de Irop .
Mllf", fororu f,mt M inervd:,
M"f'" fororer PalladÍJ l"g."e .
La
plupart des hymnes de l'EgliCe fom des
,'ambi'{II<J
dimetres, c'efl-a-dire de quatre piés.
DiO.
de 'Trlvo1tx .
JAMBLIQUE
SEL DE,
( P hormac. anc.)
Carie
de
Cel préparé avee le Cel ammoniac , le poivre, le gim–
gembre, le rhym, I'origan,
&
aUlres drogues aromali–
qUel, dOn!
iI
efl inulile de donner les noms
&
les do–
Ces ; cene eompofitioo imaginée par un certain
jambli'{"e,
ineonoo d'ailleurs, patroil
che~
les .ncicos pour
UD
n–
celleO! miooratir nomaehique. On le prenoil a-jenn, foit
Ceul en poudre, foil daos un reuf poché , ou daos quel–
que liquide .
f/oy<~
Gorra:us.
(D.
J.)
J
AMBO,
C.
m.
(HijI.
Hae. B ot.)
arbre de 1'lle de
Ceylan, donl on dil que
le~
fruits reffembtem
i\
des
Z
1.
;¡,
pom-