HOR
Les plo.s ancieones mdi 'oos r:lpporlCDt qoe
~
dln–
(es 'rcolaires avoiem éu! inClltut es :; l'lm'calion du mou–
"ement d
~flres,
á
qoe: , daos leur origine, elles s'e–
s écutoient a\'ec
gravil~
.
Les ch.nts de ces danfes t.oieol divifés
ro
Orophes
&
antiOropkes : d. ns les Orophes,
00
.oomoit eo rond
d'oriem en oecident, ou de droi.e
:i
gauche;
&
daos
l'antiOrophe,
00
prenoi! une dé!ermioalion oppofée,
,,'.fl- ii-dire d oeciden. en oricnt, ou de gluehe
:l
droi–
te; quelquefois le eh<Eur s'arrEtoil
,&
e'el! ce qu'oo .p–
pelloi! l'
/pode
Les
bor111is
ou danfes en rund fe Irouvenr che?
100-
les les n3t10nS,
6<
Jurques dans les balle.s danlans des
modernos: elles exmoien. déja Jo lems d'Hom<re, qui
De les
11
P"
oubhées
d.osla deCcriplion du bouelier
d' Aehille. On .y voyoi., dil
il,
de jeuoes
&ar~ons
&
de
jeones 6lles qui danCoient eoCcmble, en le .enant par
la
main; les 6lles pOCloienl des robes de ¡¡ne,
.YCC
des
COllroones fur
la
.e.e,
&
!es
gar~on
étoient
V~tUS
d'é–
toffes lunrüs,
ay.ntii leurs
c6.ésdes épées d'or, f01l–
lenues par des bludriers d'argem ; 130.6. i1s fe puta–
geoient en plutieurs 61es q\li fe meloient les unes avee
les autres, & bieml'll apres d'un pié fayam & léger, 10u–
les les filies fe formoient en rond pour dlOfer; ces dan–
feues é.oieO! environnés d'nne foule de peupk, qui pre–
noil ¡;'r>nd plailir
a
ce fpe8acle;
&
a\l milieu du eercle,
il
Y
avoie deux fau.eurs qui faiCoient
d~s
fams merveil–
leux. _ ....
(D.
J.)
HORN,
(G/ogr.)
peeile ,'iJle d'i\ lIem3¡;ne dans la
balfe Autriehe, (ur les eonfins
de
la
M ora"e ,
:1
quin-
7.e
lieues Jloed-en de Viellne.
Long.
3f.
10.
/"t.
48.
2).
(l) .
J.)
'
'.
HOR ",
(G/ogr.)
peti•• ville des Pays-Bas 3,miehiens,
au pays de L ic.¡e, ca?ilal. d'un
eomr~
de mc!me n m,
'1ui
a
Cepr lieues de
lon~ucur
fur cinq de hrJe""
ir
une
Ileue de la Meul;'
&
de R" 'emoode ,
a
lix de M lllrich•.
L ...
g.
23· 30- 1",.
p.
12.
(D.
J . )
H OR')<
(cap de), G/og.
il form e la poinre la plus
méridionale 4e la lerre de Feu. Les Géographes pla–
cenr Cllm 'llunéml!nt ce e3p.
3.
f7
d .
30'.
d~
ion,til.
mais
ji
parait Jémuntré, aprc\
d'éX:1él:i:!S
obferv:nions , que fa
v éri,ab\e lilllati,'n eO
J
f6.1.
2<¡' .
d. long.
(D.
J.)
HüRl'-IS.'\CH,
(G/,)~.)
p-d,c ville
d'
Allemagne ,,"u
duché de D eux-Poms, fur I'Horn, avee une abb"lc de
bénédiélins ,
a
un mil)e fud-cli de Deux-Poms. o"g.
26.11 . /""t.49.
'3·
(D.] . )
H O R B E R G, (
Glogr.)
ancienne ville
&
baronni.
d' Allem.gne, dans la For ct-noire, au duché de Wue–
temb~rg,
avec une efpeee de foreerefTe Cur une mOllla–
gne ; elle ell fur la ,h'iere de Gutaeh, " einq I'eues
nord-ouefl de R ,'!weil, lix nord-eO de Fribourg .
Lo"g.
24.
rp·
la•.
.18.
' 0.
(D.
J.)
HORNEDEN,
(G /rrgr.)
ville d'Auglelerre daos la
provinee d' EHex .
HORNS rEIN,
C.
m.
(Hifl.
114#.
Minlrn/.)
eCpeee
de pierre ainr. nommée par les mineurs d' Allemagne .
Voy-i
Co R'NE
(.p.;""
de) .
HORODISCZE,
(G/ogr.)
peri.e ville d'Ueraioe,
au nord de Pulr:lwa , fur la riviere de PriCol .
HOROG RAPHIE, f.
f .
(Aflronom;e.)
e'en
Pare
de ' Ialfe des eadrans; on I'appelle eneore
H or%giogrlf–
phi., Sc,atlri'l'te,
Pbo.~rciat/rÍf{u"
&
plus eommuné–
m em
Gnomo"""t. Voy""
GNO~lú)«QU!:.
. Ce )not
yie~~
du grec
~,4,
hellre,
&
i'f«cp.,
[(ribo,
J'écris .
Chamóal .
(O)"
- HORO LOG E,
(L itbur.)
ell le nom que les Grees
donnem
i
UII
de kurs livres d'offi e, paree qu'il eon–
t iem les heures ou I'"ffice que I'on doit récieer .ous !es
jOIlr .
V.Y'>-
H EURE,
BREVIA.RE, HOROLOGION_
Diél. d. 'Jrlv.
. HuROLOGIOGR.'IPHIE, f. f. I'an de faire des
eadt.ns,Le P: de la Mldeleme, feuil l1m, a donné un
traieé 'fur Ii¡ eonllruétion des eadrans, qlli a poue tÍlte
tra;,1 d' flor% giographit.
Cet ouvrage ell
~Ire?
eomple.
pour ce qu'
re~arde
la pr. lique
&
la deCeriptioll de 10U–
tes fo,tes de cad rAros
i
m.isles méthodes que donne I'au–
leur nc lum pllim aecompagnécs de leurs démonllrations :
VoX"-
GNOMOIHQUE
&
HOROGRAPHIE.
On
n aum dnnné qllelquefo;s le nom d'
H or%liogra–
,hit
a
\'.H.
de faire des horloges, plus communémem
appellé
J-1orlo;{<Tie . VO
Y ""-
H OR LqCER .E.
(O)
H OROLOGION, f. m.
(ThI~/.)
ell le nom d'"n
de, livres'
~cclé fiJniques
des Grecs, qui leur Cert eom–
me de bre i.;,e, ou Com marqués eouS leurs offiees;
fp voir, eelui qu'ils .ppcllen!
m/fonyélicon,
ou
de mi–
nNi,;
celui
qu~i1s
difem des le grnnd mallll, prime, rer–
ce, fexte, none, v!':pres,
&c_
Le, G recs 001 un grand
nombre de J[vres qoi fom eonfacrés aux ufages de I'égli-
HOR
fe : de fone '!.o'i1
r.
m o
l;~é
d'a\'nir raour •
t~
ces livres 10rlqu'lIs ehllll'eI\' leoe officc:_
e'ell
ce qui
dODlu occalion " Amoine ,'\reudio , f..lu< le
pGDe
CI\!–
mem
V111.
de recueillir de tou leurs livre-
UD
offi-:e
qui
I De pUl
felvil
eomme de bee wre,« qui
lil.
compri dan.
un feul volume; nui les Geccs l'uOl reJ<tté, b'en qo'il
\cm!
t\l. plus eommode: de 10m: que
ce
reeu 1 cIi de–
meuré inunle, ti ce o'ell
ji
I'\!!f.ltd de quellu s
m
in •
grees qui ne fonl
¡>ti
éloi né de Rome,
<\
qui en
~pendcnr.
JlUm.
"11
( ..".
(G)
H
O R O
M
ET
R
1
E, f.
f.
1'3ft
de mefurer OD de
divifee les heuees,
<\
de reoir e
ID
te
du eems.
Ce'
m
t
¡'icot
dc:<:
mOl grecs
.,.
h~.,t
't
&:
~.,u
1
,,,t(.,..
V.
PENDULE, HORLOGE , TEMS,
éS, .
(O)
HOROPTERE,
C.
m.
tvnl<
J'Up'if.';
c'
11
la
ligue droi.e qui en lir05e par le poinl ou les deul
a
es
oprique- eoncourene enlomble,
&
qUl en pa,.Urle
1
cel–
le qui joinr les centres Jes deux yeul:, ou des deUI
prunelles.
Voyt:.
A
JI
E, O
P T 1
Q
u
!: .
Telle eO
b
Iigoe
A B (!lla.,.
J'Oplitl.',fi~·67.),
.ir.!e par le point de eonc urs
e
des axes "pt ques des
yeux
D
&
E,
pU311c1ement
a
H 1,
qui Joint les cen–
tres des yeu
~
H
&
l.
On appelle cene Iigne
horop't" ,
paree qu'on
a
crO,
.d'3pr~s
quelques cxptricnees, qu'elle
teoi.
la limi.e do
la vilion diOinae.
V.ye::
V
1 S
ION .
Le
plan d. /'boroptcrt
en IIn plan qui
parre
p:tt l'hD–
roptt",
&
qui e1l perpendiculaire
a
eelUl des deu'x
a–
xcs opliques.
Ch"",.rrl.
Les aOlcues d'O plique fe Conr fervis princip.lemcnt
de
I'boropt..·. ,
pom cx¡>liquer la caufe qui 61i. quelque–
fois p>r.,iere les ob)e,s d\lubles.
11
prétendcnl
'lile
rou–
tes les fo's qU'lIl1 OD)e. en hors du plan
¿e
l'hDrtp' ert.
iI
doit parollCe double ;
paree
que, fdon ces aUleur>,
c'eO
3
I'
hor.p.atqu'on ;.tpporte .01lJours 10US les 0-
bjclS qu'on voi.; de Corte que
le
obJet paroilfcnr
lim–
pies lorf'!,,'ils font plaeo!s dans
I'bor.ptat,
&
doubles
lorfqu'its
n'y
fon! pos. N ous lIe prétendons poin. dc!–
cider de l. juneHe de eelle explicat;on; il nOllS paco'l
feul.emen! qu'elle Ce rédlli. :. eeci, q u'un obJe. eO
va
limpie; quand
iI
en dan le cone urs des ues optiques ,
011 p1Ul6. des deux
ales
des ye"';
&
qlle cet ob}e. pa–
rol! dOllble,
qu.ndiI
ne fe trou ye poilll dans le epn–
courS
de
ceS 3xe .
Un des aUleurS qui om fait le plus d'uCage de
I'bor.–
pterr,
efl le P . _"quilon,
Frlf"cijOIJ "'l,,;/onill1,
] éfui–
ee,
d.nsun
~ros
tr'li.é d'Opllque ,
in-ro/Jo,
ionpnmé
1
Anvers en
16'3.
(O)
HOROSCOPE, f
m.
(DifJi"",. )c'cllle
de~ro!
de l'aCeendane, oi! I'allee qui monte Cur l'horiCon en cer–
tain mOmem qu'on veut o,ferver
p.mrprédl": quelque
événement; la fOClune d'lin h mme qui ,'iene'D mlln–
de,
le
Cucces qu'aura une entrrpriCe , la qu.lÍtt du lems,
& e. Voy"-
ASCE NDA)<T.
Ce mOl en puremeill gree,
&
eompofé d'
~I·,
b••-
,.~,
&
du verbe
0'&1""1'0,101" ,
fprtlo, confiduo,
je contem–
pIe . Les Latins I',ppellem
e.•rdo Oritl1la/il,
quelquctois
af«ndant. V .Y"-
A
S
e
E N D A
)<
T •
Mereur~
&
V
énus
t.oi.oldans
I'baro{copt.
On étoit
autrefois r. infarué
d'bq"ofcOptl,
qu' Albell le Grand,
Cardan,
&
qllelques autres, eurelll, • ce qu'on di., la
témérité de tirer celle de ]eCus-ChriO.
00
appelle aum
bororeopt,
une ñgme ou ,heme eé–
lene, qui eondem les douze maiCoas, e·.II-a-dlCe les
douzc lignes du 7.odiaque, dan! lefquels on mJrquc la
dirpoli!ion du eiel
&
des .flres en un ce"ai" momcm,
pour faire des prédiélions.
Vo)'e,;;
M A I ON
&
F
1-
C U R
E·S.
On die
tir" rborofcopt,
f~;rc
I'borD(eop., &e.
Otl
appelle 3Um cela plu, propremelll
drcffir
IIN,
>lati" itl,
quand
iI
s'.git de prédi8 ion
1m
la vie
&
la fonune des
hlJmmes ; car on
f.íeI'bo"fcope
des villes , de' é11U,
des 7,"ndes enrrepriCes .
L
borofcofIL '/uNai"
eO le point d'ou roCl la llllle,
quand le Coleil ell au poille afeendam de I'oricllt. C'en
ce qu'on 1I0mme autremem la
p"rtit d, fort1l"e
en A-
Orologie.
Voy"-
PAR T
1
E.
.
. H"r.feop.
en 3Um un inllrumem de MaehémalÍque
fail en torme de planifpher<, invemé p" ] ean Padua–
nus, qqi en a fair un troilé parliculier.
l/oye::;
ft
Diél,o,,–
Ilair~ d~
7
rlvoux- .
HD R REA,
{ Hi(1 .anc.)
c'!leo;enl des magatills pu–
blies é.abl is d,ns les
ci.és&
maonoos,
&
pourvus d'a–
inas de blés
&
de eh.irs Café«, puur les dillribuer aux
foldat en ro'!.e fue les ehémin ITlilitaires de I'empire.
C'en de-l., que viem le .iere de Droi. all eode ,
d.
&o"áit;s
;"
"pHblieiI
hfJrr~;I;
leCqucls
(úwáita
OU
provifions
de viyres, devoiem
~tre
déhyrées ¡ux troupes faines,
enrieles,
&
non-corrompues _
Les
I