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lIS

HER

du mme·feuille . Ton neforl ,

I.JI.

NI

huh.

p'}'f.

PLANTE .

(1)

HE R BE A [T E R

Ji

UE R,

( ldüt. mlJ. )

.ccue pian–

te

a tiré Ion

110m

de

I~

propriélt í1ernul'lluire qu'clle

polfede . Nous n'en

f

ir. os prefque point. d' ul2¡(e, p>rce

que nous avon des {lernm

ltOlrcs

plus

SJlrS .

HERBE

AU~

Rl.MORRRO i· DE

,(B.~.)P.)'.f.

SCROPRULA IRE

(p<llt<. )

HE RBE

A

lJ

LA IT,

X'Ol"',

(Bot.)

¡¡enre de plante

a

dCUI monopé!3le, faite en forme de cloche, quci–

quefois

~uv~rte, q"e~,!u,f"is

fermée ,

&

.t~UJOUIS.

dé–

coupée ; I1 10r! du mllaeu de la

Ocur

un plllal, qUI de–

vieO! daos la fuite un froit ou une coque ordioai:emem

fphériqu"; elle s'ouvre par la poinre ,

&

elle renierme

de pomos femences a!tachées

a

un placenta. Touroeior!,

¡"fI.

rú bub. Poyn

P

L A N

TE .

(J)

HE R BE AUX

~

ITE,

h1atlaria

( Bo~.)

L es plontes

de ce ,¡enre oe diff"rent du bouillon

bl~nc

qu'en ce que leur

fruit efi plus arrondi .

1

ournetol l,

["JI. r,i hubo Po)'",.

PLA NTE

(1)

L 'elpece la pluo commone nommée par Toornefort,

&

autres Buunilles,

hlatttlrJa IHlea , folitl /01tJo la('"uato,

3.

quelque rappor! avec

le

bouillon blsoe ; maisfesfeuilles font

plus p"lites , plus élroites, plus verte , demelées,

&

dé–

coupées fue leurs bords . les lÍt¡es font haUles de trois

a

quatre piés, bronchues, arrondies, garnies ver< le has de

quelques feuilles plus combées que les fupécieures. Se.

/leurs fom d'une feule "iece, jauDes, laillées en ro(elte,

donl les cioq quarders 10m oblus

&

arrondi.; du caliee

de ces Beurs qui répaudenr une odeur douee, s'élovem

cinq ""mines purpurines,

a

(ommers jaunes ; le pitlil qui

en61e la Heur, devienr 'une

~oque

dUle, arrondie,

&.

qui s'ouvre en deu, parti.s, eomenaor des femenees me–

lIue~

&

anguleu(es; lor(que eerre plome efi répandue

par le"e, elle atlire les mites , dil Pline, c'efi pourquoi

nous I'appellons a Rome

blottaria;

mais je ne fais li la

I¡larraire de Pline efi la nlltre .

(D.

J .)

H ElO,BE MUSQUÉE ,

m.f,h~"l/i"a .

(Bot.)

genre de

plame

:1

Beur radié.

&

découpée; il fon du calice un

pifiil qui en

altaeh~

comme un clou au milieu de la Beur,

&

qUI devient dans la fuite, fulvant I'ob(ervalion de Ray,

un feuit mou ou une baie, plein. de fue

&

de femence

applalie. Tournerfon,

¡"fI.

r<i herb. /70)'.

PLANTE.

(l)

HE

R B E A U X N

o

M B R I L S,

..

"phaloJes, (Bot.)

genrc de planre

a

deor radiée

&

découpée;

iI

(on du

calice un pillil qui efi a!taché comme un clou au milieu

de la íleur; il devieol dans la fuite un fruil compofé de

quarre captules concaves ; elles formenr chaeulle une for–

te de nombril,

&

elles

pO~I~ht

\lne femenee pre(que pla·

te,

&

anachée a un placellla t¡oi a la figure d'une

~yrn­

m ide

a

qU'rre faces . Tour efoet,

I"JI. rei herb. VO)'''''

PLANTE.

H E R

I!

E P

A

It

I

S,

( Bot.)

.Les racínes de cCUe plan·

te, que pref'lue IOUS les B,'ramtleS" appellenr

huba parh

&

que nous 110mlnons

vulgairement

rl7ijin

dt!

rtnorá

1

eampeO! fur la (iJrl'ace de la lerre; elles filO t foibles

d~

cou,eur brune, pou(feor

'r'

&.

la des branehes ou .de'

1'–

&es I,JIlgues,

&

a

la h.uteur d'un demi·pié;

ce,

ti~cs

031

ordinairemem quarre, quelquefois cínq ou

lix

feuille< ,

Iarges , rondeleuc<,

&

lerminées en une poinle algue. Du

m illeu de ces feuilles , s'éleve une foible

li~e

qui a dellx

ou

trOlS

pouees de haul,

&

qui paree une fleur compor':e

4e

quatre feu'nes verles, au-delfims defquelles

iI

y en a

auranl qui fom étroites,

&

de

h

m€me couleur ; 3U mi·

lieu d'dles, croit une baie noire, ovo"ide,

enviran

de la

geo(feur d'un grain de raifin, infipide . u goul.

On trouve

I'hube pllril

dans les FeuI h.\lllides

&

cou–

ver!s; elle fleurit au primemps,

&

(a

baie

eil

mure en

JUlllel;

0 0

regarduil aurrcfois eeue plante commo vené–

neufe, enfuile on en

IOmb~

dans un oxces oppofó; on

l'a

vanté

c" mme

.111

co¡urepoi(on;

~lIe

n'a

ni ce déiaur,

ni cene qualité. ( /)..

'J.)

H ERBE A PAUVRE nOMME,

(M.e.

m(J. ) VOJn

G RATlOLE.

HERB E-AU X- RERLE S ,

(Mot.,.uJ.)/7oy.

GRE–

MI L.

H ERDE A LA PUCE,

toxicoJe"drum , ( Bot.)

genre

de plante

á

fle", compofée de plu(ieurs pelales diijlorés

en rofe ; il (on du calice un pillil qui deviem dans la

í ui.e un fruil arrQndi

&

fec ;

iI

en ordinairemem <;lanne–

U.

&. iI

renferme une remenee.

Tournefo~t,

Iqfl.

r,i

b<rb. Poyn

PLANTE .

(1)

H ERDE AUX P.UCES ,

pfyl/iun.

(Bol.)

Le~

plames

de ce genre ne different du plantaio

&

de la CQrnc d.

cerf, qu'en ce quelles s'élevem en liges

&

en branches;

I1ndis qUe les

Beu~s

&

les fruits du plamain

&

de la car–

ne de cOff (om (oulenus par de fimples pedicules, Tour–

~efort )

Il<j/il.

tti

herk. VIl)'<:¡;

PI,I}NTE .

(n

HER

HERBE Aex PI CE .-

( .\101t.

",d.) la

femenee de

cene plome ell

I:l

leule Plrlie qui !Oll d' uf•.:e en té–

Jedoe . On en I're , loil plf l. digell nn

.~ee

l'e:l1I eom–

mune

tiede,

e

,it por I'cau de ro(e , l'

I

de

f

o mil, l'eau

de ol3,onin ,

!.!fe.

un

mucih~c

dOIU plolicurs

alJteur~

out

vanl~

I'ulilité punculicre dJn

10US

1

cas

0 0

il fuuI

rath ichir ,

3.:doucir,

C31mer,

a

qUI

Metu!!

:uuibuc avcc

aulr.

peu

de f,mdement, un .creté

mali~ne ,

Cl hée , qui

doil rendre CuCpea Ion uf'lle intérieur ; mú auqoel nous

ne cnn" l1(foo>

vér'~blemc!nt

que le\

qUUlil~~

co mmunes

de. mucílages.

V o)'<t.

Mu

ILAGE . Au relle cette plao–

te ell plu connue

d.ns

les b::llniques rOJS le uom de

pfyllllU11

ql\e fous « Iui-cí .

,

HERRES AUX RHAGADE •

rh

!~arliol"l

(Bot. )

gen–

re

de plante

~

Beur compo(ée de plufieurs demi-lIcurons

pOrté> Cur un embryon door le filel ,'emboitc d.m ' Utl

trou qui ell 3U bas de chaq',e de<n;·Hellron ; lis fom (ou–

lenus par on calice dom le; rellilles de,'ienn Id ' gd–

nes, qui COnt pour I'ordinaire dilp ,fécs en

~Ioik

,

&:

q'li renfennenl une remence le plu (ouvent longue

&:

poinlUe. T ourncforl,

¡"fI.

rei

h.rb.

V .y.

PL.

NT E. (

1)

H E RDE:\. ROBERT,

grrani.m

rObt rt;dllum.

(Bot.)

Sa racíne e(l menue, de

la

c<luleur dll bui . Ses liges

(om haules de neuf • dix pouccs, velues , noucufes, roo–

geltres, (ur-lOut pres des n<Euds

&

de la I<rre, bran–

ehues

&

garoies de quelques po'ls. Ses feuilles (orreat

en il3rrie de la raeine,

&

en panie des nalUds; elles lonr

cotonneu(e , un peu rouges :\ leurs bord , quelquefois

tOules rouges, Meoupées

:i

peu· pres comme eelle de

la matricaire, en

trOis

re~ml:ns

principau:<; fes flcurs

(onl purpurincs , rayées de puurpre elair, • cínq pétales

dilpnféo en rofe , renfermés dans un ealice velu , d'ulI

rouge tOlleé, partagé en cinq quarliers, garni

:i

(on mi–

lieu d'éramines jaunes . Q uand

ces

Beurs fom

IOm~ées .

iI

leur fuceeqe des fru;rs en torme de bee, pOiIllUS, char–

g¿s de peliles groines oblongues,

&

brunes d3ns

I~r

Ola–

IUcité.

T oute cene plante a uoe odeur a([ez forte, mais ce–

pendam a.¡réable; (es feuilles nnt une (aveur nypliquc.

.faiée

&

acidule. E lles rougifle1\[ le papier bleu,

&

fen–

lent le bilume, ou le pélrol. 11

PirO"

de 1:1, qlle la plan-

. te conde

n!

Ilfl

fel e([emiel

&

alumilleux, uni :lVeC

un

peu d'huile f<Elide

&

de' fel ammoniac.1.

l

D .

J.)

H ERRE A RonER T, ou BEC DE GRUE,

(Alat.

m<J. )

Cene plame e(l

re~Jrd~e

comme un bon

v}.lnér:tir~ ,

afirin~em,

lempéré. O n le donne dans les décoélions

vu luéraires pour I'u(age intérieur . On croil que

ces

dé–

coéli" ns, Oll le' vin dans lequel on a fJil macérer cene

plame,

.rr~1C

IOtlles (orres ci'hémorrhagies .

011 I'cmploye encore eXlérieurement en enlaplaCin e

&:

en 10lion, pom délerger les

ulcere~ ,

&

dans

b

vue de

ré(oudre les rumeurS redémnlcu(es. Fabrice de H ilden

reeommande I'applicarion de la

déco~i

n

de ceue plan–

le. Cm les c.tleCts des mamolles; mais loutes ces pro–

priélés (onl peu confiotées.

On emploie pre(que indifleremmelll

I'

h.rb•

roberl,

le

bu

J.

grtU

fan!(uin,

&

le pié de pigeon, qui font

trois e(peces du me.n" genre;

I'/urb.

a

rob.Ft

en cepen–

dam la plus ufilée des trois ; nu relle elles lIe le foar

beaucoup ni les uncs ni les autreo.

(b)

H EKOE DU SIÉGE,

(Bot . )

plante du genre appellé

fcro~bf/la;r<.

PO)" f.

SCROP.HULA1RE.

MERBE

nu

SlÉGE , (

l1.t . m<d. ) VIl)'<:t.

SCROPHU–

LAtRE AQUATIQUE.

H EKDE AUX TEIGNEUX,

(Mat. "uJ. ) Poyt:¡;

BAIl~

.DANE.

H ERBE. AUX VARICES,

,irc';um, (Bot.)

genre do

plante a fleur compolt!e

d~

pluneurs lIeltrons découpé. ,

ponés fur un embryon,

&

(ourenus par un calice 6eail–

leuI qui n'a poim d'épinei; I'embryon dcviem dans la

fuile une (emenee ¡¡amie d'aigreue,. Ajoulez' ees

ca~

raélores, qoe les feuilles om des épines molles;

I'hub,

allx tJariuJ

a donc des 6pines fur feuilles, mais non pas

(ur le calice ; IU conltaire, le calice du chardon efi épi–

neUI,

&

la jncée n'a p'linr d'épines (ur le calice ni fur

les feuilles . TOllrnefort,

InJl.

Ni

h.rb.

VOJn

PLAN–

TE .

(1)

H ERBE AUX

VERR U~S,

h, lio/ropium, (B.t.)

genr..

de plante" Beur monopélale en forme d'cntonnoir, plilfé

en éloile dans le centre,

&

dom les bords (om décou–

pés en cinq parties, emre le(<¡uelles il s'en trouve cinq

aUlres beaueoup plus petÍles; II (Ort du caliee un pifiil

arraDhé comme un elou

l

la partie

inférieur~

de la fleur,

&

emouré de quatre embryons qui devielluenr

d.ns

la

fuite autant de (emences in¿gales d'un cllté,

&

renllées

de I'autre . TOllCl\cfort,

I"JI. Cti h"b. V.y. :¡;

P.LA

l>¡–

T E.

(1)

H ERBE