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:nu

CHE-V.

GRANn1-ssoN.

~

Dod:eur

!

111011

camr fodfre de la penfé_e du

rnoindre délai ,

il

ne peut la fourenir..

N.

(

Plujíeurs lettres contiennent ici le1 pre–

miers détails

~ue

mifs

By

ron a demandés au

doBeur Barle't

:

ils font d'une exceffive

lon.–

gueur, qui obligepar conféquent d'en fr1pprimer

Je plus grand nombre, parce qu'ils rerardent

trop .Je cours des événements

;

mais on

Je

croit

·~bligi ~wffi

d'en conferver quelques, unes pour

foutenir ie cara8ere

de

f

ouvrage;

&

peut-ltre

placera t-on les autres

a

la.fin du derniertome,

_

~nfoime

defupplément).

N.

Confére1Jee de

Gr

Charles avec Clé–

·mentine )

a

l'-0cc-aíion de fes premiers acces

de mé'lancolie. On doit remarquer que

íir

Charles Me fe défioit point encore qu'il en

put erre le

fu

jet, quoiqu'elle eut rejeté

l'

ou–

·verture qu'il avoit été chargé de lui faire

·en faveur d'un autre. C'eíl: un .extrait de fes

letrres qu'on va donner; ainíi e'efr lui-meme

qui fait ce récir·au doél:eur.

-

Le marquis , la marquife

&

le

cheva~-

-lier Grandi!fon fe promenoient dansuneallée

du jardin. Clémentine ,

a

qui

fa

triíl:efie fai–

foit chercher

la

folitude, étoit afifez loin

d'eux dans une autre allée avec Camille ,

fa

femme de chambre, qui marchoit derriere

~

&

qui s'effon;:oit de l'amufer par fon entre–

tien. Quoiqu'elle l'aimat, elle ne lui répon–

doit point; elle fe plaignoit d'etre impor-

tunéc par fes difcours.

·

A

2