':2.
HrsTOIRE
confrances , ma chere , celles que je
fuis
im·
patiente de favoir, font celles qui fuivem.
La premiere converfation de
fu-
Charles
avec Clémentine , au fujet du comte de
Belvedere.
La conférence qu'on le pria d'avoir avec
elJe ,
a
l'
occaíion de fes p remiers acces de
·fnélanéolie.
'
Les moyens par lefquels Mad. Bemont
Earvient
a
tirer d'elle-meme
1'
aveu d'une paf.
Iion qu'elle avoit -íi foig.neufe¡.nent cachée
aux plus tendre,s paren,ts du monde.
,.
L accueil qu on
fit
a Gr Charles, lorfqu il
arriva
a
Vienne.
Cmnme fes articles de conciliarion ,
pour la religion
&
la
réíidence, furenr re–
cus de la famille ,
&
de Clémentine en par–
ticulier.
La plus importante, chere Lucie, cette
trifie
&
derniere fépararion; ce ·qui la rendit
néceff:-üre , ce qui efi arrivé depuis
a
Bou–
logne ,
&
quelle efi aujourd'hui la .(ituation
de Clémentine.
Si
le doél:eur
s'
explique nettement for ce
dernier arride, nous faurons peur-erre ce
'qui fait déftrer le rerour de
fir
Charles
a
Boulogne apres une
íi
longue abfence ,
&
-tiourquoi il paro1r perfuadé que
fa
complai–
.fance ne fera urile
a
rien. O Lucie
!
que de
grands effets dépendent de cet arride
!
mais
pojnr de délai , je vous en conjure ,
fir
Charles Grandiifon
-!
point de délai, cher