. nu CHiv.
GJiANn1ssoN'.
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Vouloit me Cuivre. Non, non, lui ai-je dit'.,.
laiífez-moi,laiífez moip0ur un quan-d'heure'..
Je vous rejoindrai moi- meme dans votre'.
cabiner.
Elle a eu l..r bo1
'1.téde fe retiret.· Je me
fufa.
jerée dans unfaur
euil. Je me
fu
is ahandonúée
quelques moments
a
mes !armes,
&
j'en al
tiré du foulagement, pour recevoir les deux
fceurs qui fonr veflues, en
fe
tenant par
fa
main, dans l'im_patience de me confoler.
Mais je n'ai pu leur raconter, avec la moÍli–
dre liaifon, ce q:.::i venoir de fe pa!Ter: je leur
ai dit feule ment que rout étoir confommé;
que leur frere éroit digne de ¡:ilrié; qn'il ne
rnéritoit aucun N ame; que
íi
elies vouloient
m'accorder quelques heures pour me rappel–
ler ce que j'avois entendu de plus touch;mr,.
ie les rejoindrois,
&
qn'eHes en auroient uf1
récit plus exall:. Elles
tb'
0nt'. quitrée,
l'orC~
qu'elles m'ont vcre un peu plus tranquille.
Sir Charles eíl: forú de
fo11
carroífe, avec
le doéteur 'Barlet. 11 s'eíl: infol"!né pfulieurs
fois de ma Canté, en difant
a
fa
ireur Char:..
lotte, qu'it crnignoit de m'avoir caufé rrop
d'émorion par les rriíl:es récits qu'il m'avoit
faits. Avant fon dépa-rr,
il
a fait demander
la
permiílion de ne pas revenir pour d'lner•.
Qu'il eíl:
a
plaindre
!
Quelle doit étre fon
aftliétion
!
N 'erre pasen état de nous voir, de·
s'
aífeoir avec nous !Jeme ferois excufée auífr,
dans le défordre ou Jérois encare. Mais on
a>
refufé d'y confenrir. Je fuis defcendue; je·
me fuis
mife
a
table. Que le temps du dinet.
H
i.