nu
CREV.
GRANnrssoN.
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adieu
a
la rnalheureufe Clémentine
,
quoi–
qu'elle a-emandat cette grace
a
genoux.
Et
quelles furent les fuites !Vous les apprendrez
de
M.
Barlet. Infortunée Clémenrjne !Ils me
propofent aujourd'hui de retourner
a
Bou–
logne.Malheureufe fille
!
quelles peuvent erre
leurs efpérances?
En finiífant, il m'a paru trop pénérré pour
répondre
a
me
s quefüons) quand j'aurois eu
la force de lui
deman1.erd'autres éclairciífe–
ments.
- O Lucie !
b
mes chers amis
!
vous voyez
a
préfent le fond du myfl:ere. Puis-je erre auíli
malheureufe que lui, auífi malhew·eufe que
fa
Clémentine
!
M. Barlet peur bien dire que
fir
Charles n'efl: pas heureux. Il peut bien
aífurer lui-meme qu'il a beaucoup fouffert,
&
de
b.
part des plus verrueufes Femmes. Il
peur
fe
plaindre des nuits qu'il pa!fe fans
-dormir. Inforrunée Clémentine
!
je le répete
aprt'.s lui. Di(ons aulTi, malhemeux
íir
Char–
les! Et qui, ma chere, qui connoiífez-vous
d'heureux? Ce n'efl: pas aífurément votre
HE
N
R I E T T E
By
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