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3·
Ah
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ma chere
!
Mais comment pourrez–
vous v1vre fans voir quelquefois votre tuteuf?
Quoi done?
11
vivra fans doute avec nous.
Non, non, ma chere. Et vous aitnerez
mieux alors vivre avec luí qu'avec moi,
n'eíl:-il pas vra:i?
Pardonnez-moi; Mademoi[elle. Je
fou–
haite, en vérité, de vivre
&
de mourir avec
vous;
&
je Cuis sfrre que la bonté de fon creur
l'amenera fouvenr pour nous voir. Mais vctiS
pleurez , ma chere mifs Byron
!
dires-moi
Clone d'oti viennent vos }armes? Pourquai
parlez-vous fi vire, avec une pronol)cÍation
G
courte? Vous paroi!fez c:fans un embarras...•
Je parle vite; ma prononciarion efl court'e1
&
je parois dans un embarras... Mille graces,
mon amour,. pour
votre
ob.fervation. J'err
profüerai. Faites-moi le plaifir,
a
préfent, de
me lai!fer.
L'aimable filie eíl: fortie fur
la
pointe des
pieds. C'étoit fincérement: que je la remel."'–
ciois; fon obfervation m'a Cervi réellemenr.
Mais vous jugez bien, ma chere Lucie, que
je devois erre un peu agitée. La maniere dont
íl
m'avoit quitrée.... N'y trouvez-vous pas
quelque chofe de fingulier? Se rerirer
li
bruf-.
quement, en quelque force! Et ne m'avoir
rien dit qui n'air écé accompagné de regards
fi
tendres;
de
regards qui [embloient exprimer
beaucoup plus que [es paroles ! Er s'errereriré
fans m'offrir de me reconduire, apres m'avoir
amenée ! comme G ...• je ne fais pas comme
quoi; mais vou& me donnerez votre 9pi11ion