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nu

C1nv.

GttANotssoN.

I7f

Quelle bizarrerie, par conféql:lenr, d'erre

fa–

chée conrre lui

!

Jamais ranr de bonté, tant

de f

eníibilir~,

tanr de compaílion, qui eíl:,

je crois, la principale fource de fes peines,

:ne s'eíl: trouvé en[emble dans

Ul'l

cceur male.

Dites, dites, ma chere Lucie.. . . . . Mais

non, ne me elites rien, avant que nous ayons

lu les lettres que je dois recevoir du doél:eur

Barlet; c'eíl: alors que nous aurons toutes les

pieces devant .nous..

Samedi 25 au marin.

il

eíl: ( mais pourquoi cet

il,

qui eíl: un

tenne peu !;#!fpeél:ueux? La perireffe de mon

creur me fait honre ).

Sir

Charles

eíl: parti

pour Londres. Ne pouvant erre heureux dans

lui-meme,

if

va fe procurer le plaifir de con–

tribuer au bonheur <les autres. 11 en jouit

eomme eux. Quel préfent du

ciel,

qu'un

cceur bienfaifant

!

Que toutes les d1fgrnces

pollibles tombenr fur un homme de ce carac–

tere , elles ne le rendronr jamais tout-a-fait

m.alheureux

~

Samedi

d

midi.

Sir Charles eíl: parri,

&

je fors d'un long

entrerien avec milord

L...

&

le~

deux clames.

Que direz-vous, Lucie? Ils fonr tOLlS per–

foadés que le grand combar de

íir

Charles,

fa

peine

b

plus vive, vient de.... Son

~rand

~ombat

(en vériré, je ne fais ce que j'écris...

,nais je n'y changerai ríen, ma chere) eíl:,

pu

y¡enr

1

n'¡ú-je

pas

dir

l

d'un parrage

entr~