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DU CH:eY. GRANDISSON.

r6r

Mifs Grand.

Et que fignifient, ehere Hen–

ñette , tous vos

que, que,

&

eette foudaine

émoúon? Donnez-moi ee-mouehoir. Votre

embarras me

fait

picié.

EH

e m'a pris brufquement mon mouehoir.

Elle me

l'

a mis autour du eou. Mes mains

trembloient.

Mifs Grand.

Pourquoi eette palpitation ?

Me répondrez-vous ? Ah

!

ah

!

chere Mifs,

vous n:e voulez done pas vous fier a vos deux

freurs

!

Eh

!

eroyez-vous , s'il voas pla1t

,

que nous ne vous euffrons pas déja péné–

trée?

Mifs

Byr~

.Eénétrée

!

Que voulez-vous

dire

?

En vérit.é , ehere mifs Grandiífon , je

·ne eonnois perfonne qui ait le feeret d'alar–

mer eomme ,vous.

Mifs Grand.

Oui? Vous me eonnoiífez; fi

bien? Mais pour aller víte au fait... Remet–

tez:vous done, ehere Henriette; vous paroiG

foz tout émue.... Efl:-il

fi

déshonorant , pour

une belle perfonne, d'étre vaincue par l'a–

mour?

Mifs Byr.

De

qui

parlez-vous

?

Moi , de

l'amour?

Mifs

Grand.

(

Eclatant de rire ). Vous

voyez , Miladi , que mifs Byron fe reeon–

noit dans la belle perfonne dont je parle.

Défavo.uez a préfent , ma ehere. Qui vous

empéehe ? Dites-n

01:1s des

fables. Donnez ,

dans 'l'µffeél:ation.

Affur.ez - no

us que vous

~'eres

pas une be

lle perfo. t.me

p

&

el'

autr~

Rropos de cette forc

e.

·