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Une

fec~nde

folie faifoit oublier la premiere> ·

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feconde-une troifieme: mais, en riant

le prem_ier _de

!~s

propres

ex'trava_ganc~s,

il_

nous la1ífo1t la liberte de foppofor

qu

elles

étoiencvoloñtaires,

&

lu'il ne s'y livroit avec

cette forre d'oubli de ui-meme, que pour

réjouir l'aífemblée.

M. Walden, conune il paroiífoit claire–

ment

a

fon front couvert, aux méprifantes _

agitations de··(es levres'

&

a

fon vifage en–

tier , qu'il alfeél:oit de· ne pas tourner vers· ·

le baronnet, fembloitirrité del'air riant qu'il

voyoit Cur celui de tour le monde,

&

qu'il'.

paroiífoit prendre en pitié, fans Clillinguer de

quelle fource il venoir , comme s'il s'étoit

cru tombé dans une compagnie fort

inég~le.

n

a meme alfeél:é deux ou trois fois de

s'adreífer

a

M. Simple, avec une Corte de pré_.

férence Cur toute

l'

aífemblée ; quoiqu'il fUt

alfez viíible que ce pauvre jeune homme

avoit beaucoup plus de gout pour

1'

agréable

fécondité du chevalier baronnet , <l,Ue pour

la feche emphrafe du favant,

&

qu

il

parut

applaudir des levres

&

des yeux

a

chague

mot de

fir

Hargrave ; au !ieu qu'il bai{foit

la vue avec embarras , daos le temps meme

que M. Walden lui faifoit l'honneur de

s'adreífer

a

luí' comme

a

la principal.e per-;

Coime del'aífemblée. Qu'il me foit permis de

faire une réflexion, ma chere Lucie. Ne vous

paroir-il pas

fort

heureux pour not¡:e fexe

léger

&

badin , que la plupart des hommes

»

ces chefs de l'efprit humain , ne foient pas

e

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