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joli hom1ne aux yeux de mille aurres femtne$!.
elle' agé
e d~ vingt ans'
ave~
une
fo~tun~
qui·
ne paile
po1.ntdouze ou -qwn21e m1lle
hvres
frerlings·;. car
la
meilleure panie du bien de
fon pere, qui éroir beauc©Ulf>' plus confidé-
1·able, eíl: paífée dans une autr.:e branche,,
faute d'héritiers males' n'attendant d'ailleurs–
oue ciH.q eents livr
es íl:erlings de rente apres
í'.-i
grnndºmere;
&
quoiq.uefou.
onde·Selby
foit fans enfants,
&
qu'il ait beaucoup d"af–
feél:ion pour elle ' il a ' de fon coté' des
neveux
&
des nieces qu'il aime auffi; car
cette Henriette eíl: la niece de
fa
femme.
Je ne défafpere de rien.. Si la réfolurion,
íi
kt
perfévérance ont guelque pouvoü:,
&
íi
nufs Byron eíl: une femme, elle
fera
ma–
dame
Greville. J€ l'ai
dit
a
fa
t.ante Selby,
je l.'ai
d.ita
fon onde, je l'ai dita
fa
couforn
Lucie, quj,
dl:
digne de
toute
l'
am~tié
qu'elle
a
pour elle,
&
je
n'
a·i pas fait difficulté de le
dire vingt fois
a
elle-meme..
Mais ,. pour venir
a
la
defcríptíon' de
fa
figure.•.._qurt je meure,
(i
je fais par mi com–
rnencer
!
elle eíl: univerfellement charmanre.
Ne l'avez-vous pas enrendu dire
a
rous ceux
qui
l'
ont vue ?· Sa· taille.••.
Commencerai-j~
.E'~
fa
t.aill.e?·
0~1
ne peur pas d.ire qu'elle
fo1t grande ,
m~us
elle
e!l:
un peu au de.ífus.
de _la moyem:ie. Nous autrns jeunes AHglois,.
qm
avons couru
le
rnonde, nous faifons peu
d'
attention au;x: tailles
d'
Angleterre
>
&
nous
leur préférons la négligence francoife.
J'
ob,..
{ene.>..en
pa!fant
~
que
les \l.ames.éri.
....mg,eres;