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5 )

d'instruction in1-blique.. Les

n~otifs

sur lesquels

(onde;

les vues que je vais vous

'soi~me.ttre n'exigen~

aU!=.une

connoissance

positif de cet art qui tlil'es't

presqu'e_ntiere~

J;Tlent ctranger.

me bornanc

<les considerations genfa;iles

et philoscphiques' j'ai

;roi.re

que le raisonnement

sever~

guide~oit

mes pas avet

quelq.ue fideli.te

; rnais je ne m'en

suis pas rel?ose 9llr moi seul; j'ai solli.cii;e

I.a

censure des

iuges !es plus comJ?et:ens ,_ et ce sont leurs

Qpinion~

au.tant

que Jes mie_nnes dont i'enonce ici le. re.sultat..

. La medecine , la chimrgie,. fa pha.rmacie s'apprennene

par·. une suite d'observations et d'ope.rations1qu'il four faire

~oi-merne.

leur pratique

<ltJ.

moins !es formes pai:

,Jesquelle_s on

acquie.tt

drqit de s'y

liv.rei:, elles

doiv~ni

~tre

attentivement_surveillees par le .

pouvo.ir

publi~;

le-µr

c;onseignement J?OUr

lequel ii

se~0it

coqpable

temoignei:–

de !'indifference , doit &re

encourag~

,, facilite

J?.ar tot).s le:'\

mo:yens que l'experie11-ce et la i:aison suggerent,

L'emploi du ph;i,.rmacie11

e.st

de preparer !es remedes; i,t

nesoi:n ce. k .s bic;:n connoltre , et de n'ignorer

au~tme ~e.s

manipulations auxquelles on J-es soumet_. Or , pqur coirnoltre

les. rcmedes, ii faut. les avoir vus souvent, les avoii; com-

!?ares,

~'etfe

fait des tabkaux de tous li:;_s ·caracten:s ext.£.-

rieurs q,ui

I.es

Q.istingu.ent. Pour bien savoir et

pqm;

biei~

~ratiquer

toutes 1-es manipulations , il f.iut en

~voir et~

frequemment teJnoiri ,. et s'ette e)Cer.c.e,

so.

~-me.me

le~

re....

peter.

j,et

<le

me.decine

et.

cnirurgie

est

l..

e_t

-q

de·

du corps

huma~n

sain et ID;ilade : leur J.?ut est la guerisoµ:

de la mal;idie ou

c.onservation Je.

sante. To.utes

les connoissances necessaires pour ri:.mp\.i.r cc but s'acquierene

~gale.ment

par l'obse.r:vati9n.

C'e~t sur~tom

an lit des

mala~

qu'on les puise.

est plusi.eurs scienc;:e.s natu.relles que.

paro;isser.t liees

!'art.

ci~

guei:'r, mais

qyi

n'y sont

f2$

~'une

grande util'iti.

Est-il

i::aisonm1.J:>le de

leqi-:

donr.er

plt1.s

'·

Mm 3

)