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penuc1eux sysletne
!t
que
es etats
n
ont
pAus
qu'une apparence de prospérité, qui peut s"é–
vanouir au
premier revers.
On
ne
considere
pas , que ce sont des guerres insensées, de
coupables
profusions, de mémorables extra–
Vd~anccs,
qui ont obéré
a
la longue
le~
gon–
vernemens, accablé
les peuples,
corrompu
les mreurs, avili les ames. On
ne
considere
pas, que, si c'est
la
l'ouvrage du vice et de
la
folie,
il
n'est pas
d'une politique bien
sage
~
hi
en
vertueuse'
de
nous exhorter
a
le
main–
tenir
»·
'" On vous-dit, qu'avoir
en vue,
dans
ces
opérations financicres, de
faire -
hausser
ou
bais!;er le
prix
de
l'argent, c'est incapacité ou
charlatanisme.
Eh
!
messieurs ,
quand
l'inca–
pacité
ou
le
charlatanisme ont formé, dans
la capitale de l'empire., un tourbillon d'affaires ·
dévorantes, un
gouffre d'especes;
quand ils
ont
fait
excéder par ce
moyen
toute borne
au taux d.e l'argent; qu'on vous
permette
de
tenter
a
cet égard quelque 1·éforme; elle ne
peut etre que salutaire. Faire rétrogader
l'in·
t·ér
2t
par des
príncipes
contraires
a
ceux
qui
l'ont si monstrueusement élevé; c'est trav;i:.lle1·
a
t
p"·ospérité nationale;
c'est fonder le
Bien
<lu
c0mmerce, de l'agrir.:u.hure,
sur
l'ané2nti
~e-
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