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144

>

'eles mains empress.ées

a

luí

(~ire

remplir sa

destination? Se soutient-il? C'est une preuve

<iu'il

ess

nécessaire. Tend-il

a

descendre? La

vente des

biens

nationaux n'en est que

ph1s

prompte. ,.

)>-

Ici,

messieurs, comment

se

c;léf

endre

d'un

ressentimeat patúotique? Vous avez entendu

dans cet te tribune ce mot du

mémoire

minis–

tériel:

@n dira

aux

créanciers

de l'that,

achetez.

Jes hiens nationaux; mais

a

quelle époque et dans

quel

lieu?

A

QUELLE

:ÚP0QUE

!

A

l'époque

de

la dette

approfondie' connue, arreté-e;

a

l'é–

poque

011

toute la nation

met

son salut dans

la vente des biens nationaux, et saura cons...

' l'

1

º

'

l'

I

\

1

p1rer

a

accomp

ir;

a

epoque ou es

pro-

priétés territoriales reprt:ndront

leur prix, et

Re seront plus

grévées

par une féodalité bar–

bare, par des

-impositions

arbitraires

!

DANS

QUEL LIEU

?

Dans un lieu que le ciel a favo–

nsé

de

ses

plus heureuses

infhiences;

dans un

empire sur lequel

passeront

les

orages

de la

liberté,

pour

ne

laifr>ser

apres

eux que

le

mou–

vement

qui

vivifie, que les principes qui fer–

tilisent; dans un pays qui

appcllera

ceux qui

chercheBt un

gouvernement

libre ,

ceux qui

fuient et

4étestent

la

tyrannie. VoiJ

a a

qttelle

époque,

et

dans que.l lieu

les

créanciers

de

l'é-

tat