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priétés
foncieres sont
une
chose
aussi précieuse
que d s
mét~ux,
et qu'on ne peut pas faire
circuler en nature des
arpens
de terre, je
p~nse
qu'·l est égal d'en faire circuler le signe, et
qu'il do1t etre
priS p@ur
la chose meme
H.
'' Releverai-je
ici un singulier
r~pprochcment
fait entre nos assignats et le papie:--mcnno}c
ele
certaines banques
~
des Etats-Unis
de
l'A'4
mérique, .et de plusieurs
puiss~nces
du nord de
l'J:'urope?
(<
Plusieurs de
e.esbanques, dit-on,
)) malgré des hypotheq:ues territoriales, éqi..?.i–
)' valentes
3.
leurG
billet~,
n'en ont pas moins
)) fait baaqueroute. Les papiers de ces
puis–
)) sanees, malgré les biens pai-ticuliers
et na–
)>
tionaux qui les garantissent, n'en sont pas
~'
moins
tout-a-fait
dé~hus >~.
Pour mettre,
par
un scul argument
irrépli–
cable, nos
assignats
hors de pair avec de tels
papiers'
je
dcmanderai seulement
a
ceux qui
font ce parallele, si nos assignats, qui ne
s'é–
teignent
qu'a
une époque indéterminée, lors
de leur emploi pour
l'acquisition
des
bieGs
na–
tion~ux,
peuvent
etre
comparés
a
des
billes
de banque
pay2bles
a
vue, et qui _mettent
la
banque
en faillite
éUl
moment
011
elle
ces~ c
de
p aycr?
Je demandcr
i,
r lativcment au papier-·
mom ...
oie
des autres
pt
i~ances;
s'.'il
y
a
aucune