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J
p1oyées
pour les grands
besoins,
~ns
@tre
ja~
mais
édv1 :1g1:.= e3
on tre d'autres
pieces?
2
°.
Qu'il
y
auroit
une
autre
partie de ces especes,
don~
1.a
conversion en moindres
valeurs _'e feroit ,'
-sans sortir
de
e~
nouveau
numéra.ire clont nous
vous parlons;
et
qu'enfin·
les moindres de
ces
pieces d'or
qui
se
rapprocheYoient
de
notre
numéraire actuei,
et
dont l'échange seroit né–
cessaire,
y
trouv-eroient de quoi
se convertir
en
écus, comme
ceux-ci
se
convertissent
e~
petítes pieces de monno-ie.
Ain~i,
s'accom....¡
pliroient
de
proche
en
proche,
et
sans embar-"'
ras'
~ous
les échanges
J.lécessa_ires
a
la
circula.
tion
générale
».
'' Maintenant, messieurs, mettez
des
a.ssignat$
de meme valeur
a
la
place
des grosses
especes
-el'
or
que
nous avo
ns
suppos,ées;
vous
ne
QJ.éran..
gez rien ; les choses restent dans le
meme
état; .
et
vos assignats entrent
dans la ]?artie de la cir–
culation
a
laque
lle ils "
sont propres;
ils s'é- .
changent -entre eux, et
avec notre
numéraire,
comme
feroient ces
masses
d'or
dont
nous ve–
nons
de
suivre
les divers
emplois
,t.
«
11 est vrai que je place
toujours vos
assi·
gnats sur la
meme
ligne
que
les métaux pré–
cieux; s'ils ne les valoi ent pas, il faudroit re...
...oncer
a
notre
mesure;
mais
comme
des prq,