( 134 )
'ent toujours
été
ch~z
nous
fort
au-dessous
d ·
nos
besoins
;~
~
On craint une obstruction générale par ce¡
tu:croissement subi;t
~t
prodigieux
du numé""'
!faire-. Quant
a
moi-,
messieurs,
j'ai
une
crainte
!.Cl'un autre genre;
eest
que les opérations pré–
liminair~s
et indispe'nsables
pour
la liquidation.
'ele la dette, la vériíication des
ti
tres,_ la
fa:–
brication et la elélivrance
successive
des
ass.i~
gnats, en prenant
beaucoup
de tems, ne pro-–
longent
n0tre
langueur,
et
ne nous
privent
d'une partie des avantages qu\1ne plus
prompte,
émissi~n
d'assignats
nous.
procureroit
».
«
Nous appréhendons d'etre écrasés
sous
le
poi<ls de ce
numéraire
de
liquidation
!
Ne
le
son1mes-ncus done pas sous celui
de
la dette
que nous
devons liquider?
Les avantages
qui
do:vent résulter des remboursemens
et
du cré–
tlit
qui en
~est
la suite, l'Íe sont-ils pas une
belle r.:ponse
a
ceux qui
cra:gn~nt
que ce pré–
cieux
n1~méraire
ne s'avilisse, que l'argent
ne
fui e clevant luí? Vos
assio--nats-monnoie ne sont-t
o
ils pas un papier actif qui remplace le papier
tlonnant , le papier
facheux
dont
une- grande
partie de la dette
exigible
se compose? ''·
•<
Cette surabondance nous effraye
!
Que noG
voisins doivent rire de
no~
créVnte¡
!
Compare..,