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I

~4

J

<:ini ne

doive

s'y

réunir. Que

la

ven,te

des

biens nationaux s'effectue; qu'elle déyienne

active dans tout le

roya1~m~;

la

Franc~

est

'

s.auvee.

H

>>Je .pars done de ce point· fondamental; et

j'ai d'autant

plus ·de

raison _,

que,

quelque

sys–

teme qu'on embrasse, récons.titution, contrats,

quittances .de ti.nance, assignats, peu importe;

il

faut tot1jours en revenir

la.·

Que vous échan–

giez les créances sur l'état contre des t:itres

nouveaux et uniformes, qui aient · pour gage

d~s

biens nationaux;

ou

que les créanciers

soient admis

a

l'acquisition de ces biens' par

l'échange

immédiat de leur$

créances ;·

la

libre

disposition des biens nationaux,

fa

sfireté

de

l'acquisition pour les créanders n'est pas moins

· nécéssaire

dans

tous les cas, pour

q1~e

la li'{ui–

d ation de la dette-puisse s'opér,er. ,,_

'~

Qu'on ne s'imagine dons pas, en éne,rvant

la confiance due aux assignats, en présageant

d'apres cela une dégradation sensible de 'tear

prix,

pouvoir faire prédominer quelqu'autre

plan de liquidation; il

sero ~ t

frappé du

meme–

vice; et il faut eonvenir

~

ou

·qu'un assignat,

et une p ortion équivalente des biens natío-

. naux, e'

est

la

m{me

chose; ou

que

la

dett_~

/