(
I
í .~
)
tionanx
sont entre les mains
de la nation,
qtte
certainement elle en disposera
par
votre
or–
gane; de déclarer .que la
con~titution
est ren–
versée,. le désastre inévitable, la France en
·
·
<lissolution, si la vente des
biens.
nationa:ux_
1
•
•
ue s,.effectue pas immanquablement, si . elle
n
7
est
pas
par-tout protégée, encour4gée;
si
les
derniers
des
obstacles
qui peuvent
s'y
op–
poser
ne _sont pas renversés, détruits.; si le
. moindre acheteur peut éprouver de la part des
premiers usufruitiers, des premiers fermiers,.
quelqu,empechement
a
rechercher'
a
examiner
les
possessiong
a
sa convenance ; si tout _, .dans
ces acquisitions, en ua mot, ne présente pas '
une face accessible qui
l~es
favorise?
>~
«
Quel est le but de ces observa
ti
o
ns
?
V aus
ne l'ignorez pas, Messieurs; c'est qu'on sem–
ble enéore doüter, ou du moins on ·voudroit
faire douter, que la vente
d~s biens~
nationa1{x
puisse s'accomplir, et triompher
de~
difficultés
qu'on lui oppose )).
«
Ecoutez les
~iscours
qui s'e répandent;
lise~
_]es
écrits que
1'
on publie-;
voyez
sur-tout
le
mémoire du ·ministre des finan ces
~
qtíi
vient
attrister cette assemblée, au sein des es
1
pérances
dont je venois de
l'
~ntretenir.
Vous verrez
c¡u'on
ne
veut pas .croire
a
c~tte
opération na-
tionale;