(
I 1 I
]
•<
Je pense done.,
messieurs,
qu'apres
le grand
jour jeté de toutes
parts
sur cette question,
le meilleur mcyen de trouver une issue dans
.ce labyrinthe, c'est de nous rallier aux prin–
_cipes, de sáisir le fil qu'ils nous offrent,
e~
de
rnarcher alors avec courage,
a
travers les dif:.
bcultés et les fausses routes
~~.
~Ce
seroit également offenser vos lumieres;
_f!t
abuser d'un tems précieux, que de tenir
,compte de toutes les difficultés élt:vées contre
notre mayen de liquidation, et de m'occuper
a
Y répondre. Quelques tableaux
Oll
je retra–
.ceraÍ des vérités qu'on oublie., des
principes
.que l'on veut ébranler ;
o1i
je repousserai
~
entre des attaques quelconques , celles qui
m'ont semblé les plus spécieuses, et d'autres
meme qui peuvent emprunter quelqu,é.clat de
leurs auteurs ;
011
je ferai marcher en
oppos!.–
tion la mesure des assignats-monnoie, avec
c"autres mesures que l'on vous présente: voila
.ce que je vais mettre sous vos yeux
H.
'<
Pourquoi suis-je obligé, messieurs, d'insister
ce
nouveau sur un fait que nous regai;dons
tous comme la pierre angulaire de l'édifice que
nous élevons; de raffermir une
~ase
sur la–
~uelle
reposent toutes nos espérances ; de rap–
peler
que
les domaines
qi1e
nous appelons
na~