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drfi

• I

par . interet

a

pr€c er une

.

e

anee qui

es-

déprise, comme

iJlus

coupable

envers

la

so~

· c!été,

que celui dont la main criminelle dé–

grade les métaux précieux, et altere leur

titre

a

la foi publique.

~'

<<

Garantir cette base ctontre les

attaques de

la

mauvaise

foi,.

de la

légéreté,

des sophís- –

mes, ou de

l'ignorance;

e'est,

Messieurs ,.

ré–

pondre

a

la

plupart

dés

objections

élevées con-·

tre la proposition que nous avons

faite.

Et

je

ne

m"attendois pas'

je

l'avoue'

a

trouver toutes .

ces objections,

ramassées ,

accumulée~

,

dans –

le mémoire du

ci-<levant

ministr~

des

finances.,_

Dans

une matiere aussi grave, je. ne

lui

dois

que la vérité. Les égards qu'il mérite d'ailleurs , _

ne peuvent a:ffoiblir dans 1nes

ma~ns

une dé–

fense toute consacrée au

plus

grand

inté,ret

de

la

patrie.>~

"Quel n'a pas

été

mon étoAnement ,_et vou5

l"aurez partagé sans donte, Messieurs, d' en–

ten<lre ce

n1émoire,,

qui

semble, d'un bout

a

l'autre, vouloir óter tout crédit aux moyens

d'al!éger la

dette publique, d'arracher les

af–

faires, par une nouvelre résolntion,

a

cett e–

langueur qui nous tue

t

Tout ce mémoire

re~

pose sur l'avilissement présagé de nos assignats

5)

e..t

ne

renferme

pas un mot qui

rende

li.ne

i

LIS."!·

H4