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nions?
Si cela
n'est pas ;
si~
nonobstant ses
cr":ntes, nous osons penser qu"on peut
néan...
rnoins
marcher en ava
1
1t _,
.ne
,.rnit-il
pas
des-.
lors au succes de nos réso lutions? Car les en-.
ncm~s
du bien
public
profitent de tout pour
nuire aux
2ft"di
res; et
pan:lÍ les
moyens
qu'ils
chC'rchent, celui .que leur fournit le mémoire
m~n1stériel'
ne
leur échappera certainement
pas .
.>)
<(Non que l'adopt!on d'une mesure quelcon....
que'
a
p1us forte raison d'une 1nesure si im-–
portante, doive jamais étre
irréfléchic
et pré–
cipitée; non que la confiance publique ne
doive étre le
fruit
d'un
mur
examen., d'un ju–
gement
éc1airé
par les discussions contraclic–
toires. Mais c'est précisément contre cette
ar"'(
dente précipitation
a
tranchei- une question
si
grave et si compliquéc, c'est contre e et te vio–
lence de censure que je m'éleve; c'est
pa1~ce
qu'un mouvement si impetueux, comme s'il
s'agissoit d'arracher la nation aux flammes
~
part d'un point assez élevé pour répandre une
frayeur aveugle,
po11r
remplir les esprits de
préventions; c'est pour cela que .l1ous sommes
fondés
a
le reprendre. Convient-il, dans
la
si–
tu2.t:on actuelle, de sonner la trompette de
la_
défian~e ~
ay
!isque
d'e¡(\;iter
c~tte dé.Sane~