,
(
~8
l
Quel
J,~n
citoyen
doit avoir Gesoin tie
t
espoir
d'une
place
sup~rieure
,
pour occuper celle
ou
il
peut
etre
utile
a
sa
patrie
?
Ce hon citoyea seroit
un
intrigaant
,
etc.
M. Duport
voulut l'ajournement.
~
.. MI
RAB EAU.
~<
Lorsqu'avec une facilite que '
rai
admiree
autant
qu'il ete>it
en moi' j'ai vu monter
a
la
tribune pour attaquer , en improvis.ant , une
tnotion que j'avois la conscience d avoir long–
tems_-meditee , et qu'appuyo ·
t
!'opinion de
Rousseau, c'est-
a-
dire , de l'homme
qui
a le
plus
reflechi
sur les choses humaies' je n'aurois
eu
qu'a
\me repeter pour
y
repondre ,;.
~
~<
Je fus appelle plusieurs fois
p~r
1m. de vos
( ,
comites
~
et je voHs den1andai d'ajourner la
disq1ssiorr
)~.
'' Lorsque j'entendis alors propo er l'ajour–
nement pour
1797 ,.
je crus que ce n'etoit
- qu'une agreable raillerie: en effet, c'est la pre–
.m,iere fois qu'on a voulu empecher les 1
'gis.–
lateurs d\!tendre leurs vues clans l'avenir
H.
'' On l'a
deja
observe : faire une constitu–
tion, c'est travailler pour le terns_, c'est
pre–
voir ·, c'
est determiner
de loin les mreurs ,
le~
~pinions,
les habitudes. Si la loi que
j~
vous