7
I
•
I
r(
208 }
d'accorder
a
tout membre l'ajournement
d~une
I
motion qu'il desire
soumettre
a
l'assemblee,
je crois que
ce
n'est plus
le
cas ,
lors·que ,
par la nature de la chose
meme ,
la question
est
resolue )).
M. de Bouville
(au nom du
cote
droit): No1ts
.
.
.
ne
connozssons
pas
cette motion.
M.
MI
RA B EA
i.J.
«
Cette motion est
connue,
puisque
M.
de
Caz_al'es
n
a
I
nonce
le fond: je
demande
a
faire
une
observ.at ion
si t-"'
i e.
Nous sommes
lies
par l .e serment m
'!nora ble
et solemnel de ne
pas nous se?arer que la constitution ne soit
tern1inee: il est
impossible d'i1;1diqver
le mo–
ment
011
elle scr: faire ;
ii
est
done impossi–
ble de
decider
cette question :
quand
finira–
t-elle?
Nous avons
a
demander
~
ceux
qui
ne
sont pas de
meme
avis que nous , nous avons
a
lcltr
demander,
puisqu'ils
desirent la
fin de
nos travaux , de
ne
pas efl
interrompte
le
cours
,
et
de nous faire
perdre le
mo:ns de
terns pos–
sible. Si la question
de
M. Cazales _est
au~si
simple que facile
a
resoudre '
je demapdc,.
Ron
un ajournement , mais la decision sou–
daine qu'il
n'y a
pas
lieu
a
dtliher~r
:
si ,
ell
oontraire, je n?ai pas
prevu
comment
M.
de
(
,
Ca'l.a1cs