( 2IJ )
peut arriver
a
tous ceux que proinet la
hie–
rarchie ecclesiastique,
co~siderez
aussi que le
vicaire n'a pas renonce
a
ses
droits
patrin10-
niaux' qu'il a conserve tons ceux qu'offrc
la
societe, et vous convienclrez
avec 1noi
que ces
avantages
etant
perdus pour le moine,
VOHS
<levez l'en dedo1nmag:2r. La latitude qu'a oaa·-
~
L
courue
M.
Barnave
entre
800
liv.
et
1
oco
liv.
est celle que
j'avois voulu vous
faire
parcourir,
parce qu'elle
me
paro'it juste. Une autre obser–
vation
se
pr~sente
a
mon
esprit' et me paroit
digne de
fixer
votre atten.Jion. Le rcligieux
rendu
au
siecle '
condarnne
a
une pension
annuelle et fixe , an.·ivera
dan.s
ce
n1oade,
denue
de beaucoup de choses de premiere
necessite.
Co1nment se les
procurera-t!-il?
Il
ne peut les atte.ndre que de vous, et vous les
lui
devez.
'~
•>
J
e
proposero1s done
de donner aux
mo1nes ,
des
l'instant
ot1
ils s-0rtiront du
cloitre, une somme
~L
forfait, par exempl e,
la
moitie
de leur pension, en argent - monnoie.
Quoique
nous
n'ayons
tres-certainement
pas
eu l'intention de
faire une operation de
finance, je demande au preopinant la permis-–
sjon
de
presenter une observation £.nanciere;
accorder un sort
plus
fi1vorable
aux
religieux
0 3